31 mai 2019 | Local, Aérospatial

AETE testing upgraded Australian F-18 software compatibility

by Chris Thatcher

With modifications now complete on the first two operational Australian F/A-18A Hornets, the Royal Canadian Air Force (RCAF) has begun conducting testing and evaluation of their upgraded systems at 4 Wing Cold Lake, Alta.

The two fighter jets, which were accepted in February as part of the federal government's plan to address an interim gap in the Air Force's ability to concurrently meet both NORAD and NATO commitments, underwent a number of changes at L-3 MAS in Mirabel, Que., to bring them up to the same operational configuration as the Canadian CF-188 Hornets.

The modifications included Canadian operational software, a revised cockpit configuration, installation of the naval aircrew common ejection seat, new night vision imaging system external lighting on the tail, a sniper targeting pod support, changes to the landing gear, and the RCAF paint scheme.

The government intends to acquire 18 operational Australian jets and possibly up to seven more for spare parts.

The Aerospace Engineering Test Establishment (AETE) is now conducting a range of tests, “primarily to verify that the Canadian software is fully compatible with remaining Australian-unique hardware and systems, before being declared operational and integrated with the rest of the fleet,” a spokesperson for the Department of National Defence told Skies. “This is the normal practice for changes that occur on any aircraft fleet.”

AETE has also conducted test and evaluation of CF-188 Hornet systems and gear as the RCAF finalizes an upgrade package for its fleet of 76 fighter jets.

Both the RCAF Hornets and the Australian jets could also see an upgrade to their combat capability. A review by the Air Force is currently underway to assess any necessary improvements to the combat capability of the fleet after an Auditor General's report in November flagged a shortage of pilots and the declining combat capability of the aircraft as the two “biggest obstacles to meeting the new operational requirement.” The review is expected to be completed this spring.

Deliveries of the remaining Australian Hornets will continue at regular intervals for the next three years, with the final aircraft expected by the end of 2021. The jets will be distributed among the tactical fighter squadrons and operational training squadron at 3 Wing Bagotville, Que., and 4 Wing Cold Lake.

https://www.skiesmag.com/news/aete-testing-upgraded-australian-f-18-software-compatibility/

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Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ? Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire ! Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé ! Technologie désuète Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai. Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne. Et le moral des troupes ? Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels. Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats. Une fausse bonne affaire Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. 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