6 septembre 2017 | International, Aérospatial

Aerospace and Defense Industry Projected to Grow

According to a research report by Deloitte, the global aerospace and defense industry is likely to experience stronger growth in 2017.

The report indicates that the industry has experienced multiple years of positive but a subdued rate of growth and in 2017, the aerospace and defense industry is estimated to grow by about 2.0 percent

http://www.stockhouse.com/news/press-releases/2017/09/06/aerospace-and-defense-industry-projected-to-grow

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    Réfléchir à l’Europe de la défense de demain

    (B2) L'Europe doit-elle s'occuper de défense et de diplomatie ? Comment peut-elle le faire ? Observateur patenté des institutions européennes, B2 vous propose quelques pistes de réflexion... On ne peut pas se réjouir simplement que la coopération structurée permanente ait été mise en place ou qu'un Fonds européen de défense soit en train de naitre. L'Europe ne fait ainsi que rattraper un retard à l'allumage. Tous ces projets ont été conçus il y a dix ou vingt ans. Ce qui à l'échelle de l'évolution du monde est quasiment un siècle. Les mettre en place maintenant est indispensable. Mais la donne stratégique évolue. Il importe de continuer à avancer vite, pour rattraper le retard et combler toutes les lacunes. Se reposer sur les 'lauriers' serait une erreur tragique. La doctrine européenne : sans illusion, La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC), alias l'Europe de la défense. Elle n'est pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Ce qu'est l'Europe de la défense. Ce qu'elle n'est pas Mini QG militaire, Fonds européen de la défense, coopération structurée permanente... Ce n'est pas le grand soir annoncé par certains. Mais c'est une étape intéressante permettant à différents projets mis sur la table depuis un ou deux ans de progresser. Union européenne de défense : ce qui avance, ce qui bloque B'tir des structures institutionnelles Les dernières options travaillées au sein de la Commission européenne semblent favoriser une nouvelle direction générale au mandat élargi regroupant la Défense et la Sécurité, selon nos informations. Une DG défense et sécurité d'ici la fin de l'année ?* L'idée d'avoir une commission de plein exercice consacrée aux questions de défense dans le futur Parlement européen est sur la table. Sera-t-elle acceptée ? En route vers une commission Défense au Parlement européen ?* A force de parler d'armée européenne, il faudrait examiner ce que cela imposerait. Ne tentons pas de dire que cette idée est bonne ou mauvaise. Essayons de voir ce que cela supposerait. Imaginons un moment un consensus politique pour créer cette armée. Imaginons des moyens pragmatiques pour la mettre en œuvre. Et si l'armée européenne était un projet d'avenir ? Dynamiser la diplomatie européenne Pour avoir une diplomatie européenne plus réactive, pourquoi ne pas désigner un envoyé ou un représentant spécial pour une zone de crise, ou confier à une troïka ou un duo de pays membres le soin de mener les négociations. Deux outils oubliés de la diplomatie européenne de gestion de crises à ressusciter Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention. Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler. L'Union européenne dispose de représentants spéciaux en Asie centrale, au Moyen-Orient au Sahel, etc. Leur présence est-elle nécessaire aujourd'hui ? Huit représentants spéciaux de l'UE enkystés dans le paysage. Efficacité ? Refonder la gestion de crises Malgré de grands effets de manche, l'Union européenne a perdu en fait son ambition de maintien de la paix qui sur laquelle reposait sa politique de sécurité et de défense. Et cependant, il ne manque pas de raisons et de possibilités d'agir. Que pourrait-elle faire ? Les missions et opérations de sécurité et de défense communes sont aujourd'hui un peu les enfants délaissés de la politique extérieure de l'Union européenne (PESC). Elles ne suscitent que très peu d'attention des responsables européens. Certaines missions et opérations n'ont plus d'efficacité ou sont arrivées à leur terme. Il est temps d'en tirer la leçon ! Opération Sophia, EUBAM Rafah et Libya... l'UE doit apprendre à fermer des missions devenues inutiles Le concept des battlegroups est bon mais il est dépassé aujourd'hui. Cela reste un joujou d'exercice, impossible à mettre en pratique. Pour le rendre déployable trois éléments essentiels peuvent être travaillés : une autorisation politique préalable, des financements préalables, des éléments modulaires. Revoir le concept des battlegroups : une nécessité Développer l'autonomie industrielle Malgré des efforts certains, la plupart des pays européens n'ont pas le réflexe d'acheter chez leur voisin quand ils ne peuvent s'équiper en national. Et ils préfèrent acheter américain. L'achat d'un équipement militaire ne peut se résoudre à une question technique, il y a tout un accompagnement politique, logistique à prévoir que seuls les États-Unis aujourd'hui fournissent. Pourquoi les Européens n'arrivent pas à convaincre lors de l'achat d'équipements militaires ? (article publié jeudi) A suivre... (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2019/05/reflechir-a-leurope-de-la-defense-demain/

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    By: Mike Yeo MELBOURNE, Australia — China could stand to lose almost all of its ballistic and cruise missiles if it were to sign a new strategic arms control treaty, according to a new regional security assessment. The analysis, titled “The End of the Intermediate Range Nuclear Forces Treaty: Implications for Asia,” is one of the chapters of the annual Asia-Pacific regional security assessment published by the International Institute for Strategic Studies think tank. IISS' report was released June 5 and covered regional security topics such as Sino-U.S. relations, North Korea and Japanese policy. China could lose 95 percent of its ballistic and cruise missile stockpile if it signs a treaty similar to the 1980s Intermediate-Range Nuclear Forces Treaty, according to the chapter's co-authors Douglas Barrie, a senior fellow focused on military air power; Michael Elleman, the director of the Non-Proliferation and Nuclear Policy Program; and Meia Nouwens, a research fellow focused on Chinese defense policy and military modernization. The treaty, signed between by the United States and the Soviet Union in 1987, banned all ground-launched ballistic and cruise missiles systems with ranges between 310 and 3,420 miles (500-5,500 kilometres). The U.S. withdrew from the INF Treaty in August 2019, citing Russian violations of the agreement with its development and fielding of the 9M279 missile, although Russia denies that the missile violated range restrictions. However, the IISS report suggested the U.S. withdrawal was done with an eye toward China's missile arsenal, which has grown to what is believed to be the world's largest inventory of short- and medium-range ballistic missiles. IISS' own figures estimate China possesses more than 2,200 missiles that fall under the INF Treaty's restrictions. These short- and medium-range missiles are important assets in exerting pressure on Taiwan, which China sees as a rogue province and has vowed to reunite with the mainland, by force if necessary, although it continues to describe its fielding of ground-launched ballistic and cruise missiles as solely for defensive purposes. Given these missiles provide China with what Barrie described as a “comparative advantage” in the region, it's unlikely the country would willingly sign a potential arms control treaty like the INF Treaty. The U.S, for its part, has already started testing missiles previously prohibited by the treaty, and there have been suggestions that the country might deploy such missiles to the Asia-Pacific region to address an imbalance in such weapons between itself and its rivals without solely relying on air- and sea-launched cruise missiles. (Those cruise missiles existed under the INF Treaty, as they did not violate the pact.) The report cautioned there is a two-fold risk in deploying such weapons to the Asia-Pacific. Chief among those: exacerbating Chinese concerns that the missiles will be positioned for use against it, increasing the potential for a response from China that could lead to an “action-reaction cycle of weapons development and deployment” and continued regional instability. The U.S. is also faced with the quandary of basing any potential INF-busting systems, with regional allies and partners unlikely to accede to locating such missiles on their territory, partly because of the diplomatic and economic reprisals Beijing could inflict on them. And there's precedent here: China targeted South Korea's economy in response to and expressed its distaste at the deployment of a U.S. missile defense system on South Korean soil in 2017. As for the U.S. territory of Guam, basing missiles there would limit their utility due to the distances involved. The IISS report also raised questions about whether U.S. moves to develop and deploy weapons previously prohibited by the INF Treaty will bring China to the arms control negotiating table. However, the think tank conceded that not deploying such weapons is also unlikely to persuade China, noting that that Beijing has shown little appetite for participating in any form of strategic and regional arms control. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2020/06/05/china-could-lose-95-of-ballistic-cruise-missiles-under-strategic-arms-control-pact-says-new-analysis/

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