Back to news

May 2, 2023 | Local, Aerospace

With new avionics, Snowbirds? CT-114 Tutor likely to keep performing until 2030 - Skies Mag

The installation of several critical systems on the CF Snowbirds fleet of CT-114 Tutor aircraft will keep the aircraft performing until 2030.

https://skiesmag.com/news/new-avionics-snowbirds-ct-114-tutor-performing-2030/

On the same subject

  • F-35: Lockheed Martin promet des retombées de 16,9 milliards $ au Canada d’ici 2058

    August 6, 2020 | Local, Aerospace

    F-35: Lockheed Martin promet des retombées de 16,9 milliards $ au Canada d’ici 2058

    PAUL-ROBERT RAYMOND Le Soleil Le Canada est un partenaire de premier plan dans le programme de l'avion de chasse F-35 depuis les débuts de celui-ci, il y a plus de 20 ans. Celui-ci apporterait des retombées économiques se chiffrant à 16,9 milliards $ jusqu'en 2058 et maintiendrait entre 1675 et 2525 emplois annuellement au pays dans des secteurs de pointe. C'est le message qu'a voulu livrer l'avionneur Lockheed Martin jeudi matin. Lors d'une conférence sur Zoom, Lockheed Martin a signifié que le programme de fabrication de l'avion F-35 implique en ce moment 110 entreprises canadiennes dans 200 projets industriels. Les contrats accordés à celles-ci représentent 2 milliards $ en occasions d'affaires et font travailler 150 000 personnes durant la réalisation du programme. L'avionneur a procédé à cet exercice de relations publiques presque une semaine après avoir officialisé son intention de participer au processus de remplacement de la flotte de chasseurs du Canada. Rappelons que Boeing, avec son Super Hornet Block III (la version la plus moderne du F-18), et Saab, avec son JAS 39 Gripen, sont dans les rangs dans cet appel d'offres visant à acquérir 88 avions de chasse pour l'Aviation royale canadienne (ARC). Les retombées économiques ne seront pas uniquement générées par la construction de ces 88 avions, «mais pour l'ensemble des plus de 3000 avions qui seront commandés dans le monde», assure Steve Callaghan, vice-président à la stratégie et au développement des affaires chez Lockheed Martin. Sachant qu'un autre concurrent pourrait être choisi, il a voulu se faire rassurant. «Si le Canada ne choisit pas le F-35, nous honorerons les contrats avec les entreprises canadiennes jusqu'à leur échéance», a-t-il dit. «Même si le programme du F-35 est mondial, l'industrie canadienne est complètement intégrée dans celui-ci. Nous croyons qu'elle continuera à y contribuer même si le choix de l'ARC est autre que celui du F-35.» Par ailleurs, M. Callaghan assure que les délais encourus en raison de la pandémie de COVID-19 n'affecteraient pas les livraisons des avions pour les Forces armées canadiennes. «Nous commencerons comme prévu la production de vos avions en 2025», a-t-il dit. D'ici la fin de l'année 2020, Lockheed Martin prévoit livrer 141 appareils aux huit forces aériennes qui ont commencé à l'utiliser. Parmi les entreprises canadiennes qui participent au programme F-35, au Québec, il y a Héroux-Devtek, basée à Laval. Plusieurs autres entreprises sont localisées, dans les provinces maritimes, au Manitoba, en Colombie-Britannique, et en Ontario, notamment. https://www.lesoleil.com/affaires/f-35-lockheed-martin-promet-des-retombees-de-169-milliards--au-canada-dici-2058-da3dae8df5db9ac1dd4ef7e7e2944e87

  • Arctic Offshore Patrol Ship fleet to fully operational in 2025, says DND

    April 25, 2019 | Local, Naval

    Arctic Offshore Patrol Ship fleet to fully operational in 2025, says DND

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN The Canadian Forces and Department of National Defence has updated the status of a number of its major procurement programs including the Arctic Offshore Patrol Ships which it says will be fully operational by 2025. Under the schedule the first ship is to be delivered sometime this summer to the Royal Canadian Navy but won't be operational until 2020, according to the update. Other ships will follow over the years with the fleet being declared fully operational in 2025, according to the schedule. Each ship will go through various tests and sea trials, with ships being brought on line as those are finished and crews are trained. The Arctic Offshore Patrol Ships, or AOPS, being built by Irving Shipbuilding, were announced in 2007 by then prime minister Stephen Harper. The vessels were supposed to be in the water by 2013. But the program has faced delays. Critics have also questioned why Canada is paying around $400 million per ship when Denmark received similar vessels for $70 million each. In November 2018 the Liberal government announced it was building a sixth Arctic patrol ship to add to the five originally commissioned from Irving Shipbuilding. But it acknowledged that ship will cost taxpayers $800 million — double the price-tag of each of the other vessels. The Liberal government announced the construction of the sixth AOPS after a push by Irving and its employees for additional work. The project was originally to build five AOPS and only proceed with a sixth if Irving could find savings and work within the existing budget. That didn't happen, Department of National Defence officials noted. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/arctic-offshore-patrol-ship-fleet-to-fully-operational-in-2025-says-dnd

  • Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    November 21, 2018 | Local, Aerospace

    Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    Le Canada dispose d'un nombre insuffisant d'avions de chasse pour répondre au niveau d'alerte le plus élevé et honorer ses engagements à l'endroit de l'OTAN. C'est la conclusion inquiétante du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson, qui déplore du même coup l'absence de plan pour mettre fin notamment à l'importante pénurie de pilotes et de techniciens. Un texte de Marc Godbout Des appareils qui ne sont pas à jour et un sérieux manque de pilotes et de techniciens : les conclusions du vérificateur général sont loin d'être rassurantes. En fait, même si la Défense nationale disposait d'un nombre suffisant d'appareils, les problèmes ne seraient pas réglés pour autant, confirme Michael Ferguson. Elle n'a aucun plan pour surmonter les plus grands obstacles au respect de la nouvelle exigence opérationnelle, à savoir la pénurie de pilotes et le déclin de la capacité de combat de ses aéronefs. Extrait du rapport Il faudra donc plus que les 3 milliards de dollars déjà prévus pour prolonger la durée de vie de la flotte actuelle et pour acheter, exploiter et entretenir des avions de chasse d'occasion de l'Australie. « Les investissements décidés ne suffiront pas pour lui permettre d'avoir chaque jour un nombre suffisant d'appareils disponibles afin de répondre au niveau d'alerte le plus élevé du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord) et honorer dans le même temps l'engagement du Canada envers l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) », précise Michael Ferguson. Y a-t-il un pilote dans l'avion? Le rapport confirme que la Défense nationale disposait de seulement 64 % des pilotes de CF-18 qualifiés pour satisfaire aux exigences opérationnelles. Entre avril 2016 et mars 2018, l'Aviation royale canadienne a perdu 40 pilotes de chasse qualifiés et en a formé seulement 30 nouveaux. Extrait du rapport Michael Ferguson va même plus loin : « Si les pilotes continuent de quitter à ce rythme, il n'y aura pas assez de pilotes expérimentés pour former la prochaine génération de pilotes de chasse. » Le problème est confirmé par le ministre des Transports fédéral, Marc Garneau. « C'est un défi qu'on a au Canada de recruter plus de pilotes, non seulement du côté militaire, mais aussi du côté commercial. C'est un dossier sur lequel je me penche en ce moment pour essayer de trouver des solutions pour recruter plus de gens », a indiqué le ministre aux journalistes mardi. M. Garneau souligne que le coût d'une formation de pilote est très élevé, et que c'est la raison principale pour laquelle pas assez de gens sont attirés vers le domaine. « Pour devenir un pilote commercial, ça coûte 80 000 $ », dit-il. Par ailleurs, Marc Garneau ne voit pas de contradiction entre le fait d'acheter des avions usagés australiens et l'absence de pilotes pour les conduire. « Nos forces armées sont en train de travailler très fort pour recruter des pilotes, et quand les pilotes vont être là, il faut que les avions soient là. Alors il faut s'occuper des deux en parallèle », pense-t-il. Manque de techniciens pour préparer les avions De plus, les techniciens avaient été en mesure de préparer à peine 83 % des aéronefs nécessaires pour satisfaire aux engagements en matière de défense auprès du NORAD et de l'OTAN. Or, si le nombre de techniciens expérimentés n'augmente pas, prévient Michael Ferguson, les vols que pourra effectuer chaque pilote de CF-18 diminueront. Le rapport précise que, l'an dernier, les pilotes avaient enregistré moins d'heures de vol que le nombre minimal requis de 140 heures. La Défense nationale n'a pas pu faire le nécessaire, constate le vérificateur général, « vu l'incertitude entourant la date de remplacement de la flotte d'avions de chasse ». Sécurité des ambassades, graves lacunes Près de 8000 employés travaillent dans les missions canadiennes à l'étranger, dont la moitié se trouvent dans des endroits où leur sécurité était menacée en raison de l'imprévisibilité politique ou de troubles civils. Or, le vérificateur général en arrive à un autre constat inquiétant : « Affaires mondiales n'avait pas pris toutes les mesures de sécurité dans ses missions à l'étranger en fonction de l'évolution des menaces. » Le ministère avait pourtant relevé des lacunes qui devaient immédiatement être corrigées, dont de nombreuses failles majeures dans plusieurs de ses 175 missions diplomatiques et consulaires. Les délais pour remédier aux lacunes entraînent « des retards pour assurer efficacement la protection du personnel et des biens à l'étranger », conclut Michael Ferguson. Vidéosurveillance inadéquate, absence de barrière pour restreindre l'accès des véhicules aux entrées des missions et mécanismes d'alarme défaillants sont cités en exemple par le vérificateur général. Une mission située dans un endroit où la menace était élevée ne disposait pas d'appareil de radiographie pour contrôler les visiteurs, alors que l'on en trouvait dans des endroits où la menace était plus faible. Extrait du rapport De plus, de nombreux employés qui travaillaient dans des endroits dangereux n'avaient toujours pas suivi la formation obligatoire. Michael Ferguson souligne que les retards sont attribuables « à une mauvaise gestion et à une surveillance inadéquate des projets » par Affaires mondiales. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136935/avions-chasse-canadiens-verificateur-general

All news