September 11, 2024 | International, Aerospace
Boeing to launch space-based quantum demo in 2026
Through the effort, Boeing hopes to learn more about how to build quantum networks that could prove transformational for a number of industries.
January 21, 2020 | International, Aerospace
By: Jen Judson
WASHINGTON — The Sikorsky-Boeing SB-1 Defiant coaxial demonstrator flew more than 100 knots in a Jan. 13 flight test as the aircraft — built for the U.S. Army's Joint Multi-Role Technology Demonstrator program — continues to expand its flight envelope in weekly sorties.
The aircraft also maneuvered at 30-degree bank turns during the flight in a test of its agility at the Lockheed Martin-owned Sikorsky's Development Flight Test Center in West Palm Beach, Florida.
Defiant has been flying for nearly a year. Its first flight was in March 2018 after a delay to the program to challenges mostly related to the manufacturing its rotor blades.
The program seems to have picked up the pace. In October, Ken Eland, Boeing's director and manager of its Future Long-Range Assault Aircraft program, told reporters that the aircraft flew three times in March and April, but the company took a pause in flight operations after discovering an issue with the gearbox of the propulsion system test bed, or PSTB, which the team is using for extensive ground tests of the aircraft.
Defiant was back up in the air by Sept. 24 when it flew in every direction at speeds of 20 knots. The company said last fall that it planned to push the aircraft to 40 knots and believed it would be able to hit top speeds of 250 knots, which is more than the 230-knot requirement set by the Army.
The aircraft is one of two demonstrators flying as part of the Army's Joint Multi-Role Technology Demonstrator, or JMR TD, program, which is meant to inform the service's Future Vertical Lift programs of record, specifically a future long-range assault aircraft the Army wants to field by 2030.
The other demonstrator is Bell's V-280 Valor tilt-rotor demonstrator, which as been flying for more than two years and recently completed autonomous test flight series in December.
While the official JMR TD phase has ended, according to the Army, both Valor and Defiant continue to fly as each team works to drive down risk related to technology development that would ultimately help a possible program of record move more quickly down the road.
Even though the two demonstrators are in different places in their flight test plans, Maj. Gen. Thomas Todd, the program executive officer for Army aviation, said earlier this month that the service wasn't planning to wait for each competitor to reach the same goal posts before proceeding. The only advantage a vendor might have in meeting timelines is that it is able to burn down risk in technology development, he added.
The Army is preparing to award an other transaction authority contract to begin a competitive demonstration and risk reduction, or CDRR, effort in March. An OTA is a type of contract that enables rapid prototyping. The CDRR will consist of two phases that last approximately one year each.
“In the CDRR, we're really trying to develop a weapons system, not the tech demonstrator,” Brig. Gen. Wally Rugen, who is in charge of the Army's aviation modernization, recently said. “So we're trying to take it to the next level.”
https://www.defensenews.com/land/2020/01/17/defiant-exceeds-100-knots
September 11, 2024 | International, Aerospace
Through the effort, Boeing hopes to learn more about how to build quantum networks that could prove transformational for a number of industries.
May 14, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security
HASSAN MEDDAH INTERNATIONAL , ALLEMAGNE , AÉRONAUTIQUE , SPATIAL , DÉFENSE PUBLIÉ LE 13/05/2020 À 18H43 Les présidents du GIFAS et de son équivalent allemand le BDLI appellent de façon urgente à un plan de relance européen ambitieux et à accélérer les investissements dans le domaine de la défense et de l'espace. Face à la crise du coronavirus qui frappe lourdement le secteur aéronautique, industriels allemands et français ont décidé d'agir en concert. Le GIFAS (Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales) et son homologue allemand (german aerospace industries association) ont tenu en commun ce 13 mai le bureau de leur conseil d'administration par vidéoconférence. Dans la foulée, les deux présidents respectifs Eric Trapper - par ailleurs PDG de Dassault Aviation - et Dirk Hoke, président du BDLI et CEO d'Airbus Defence & Space ont profité d'une conférence de presse pour lancer un appel commun à un plan de relance européen ambitieux. Les industriels aéronautiques des deux pays auraient dû se voir en chair et en os à cette date... si le salon aéronautique de Berlin (Allemagne) n'avait pas été annulé à cause de la pandémie mondiale. "Ensemble, nous étions forts avant la crise et nous partageons l'idée qu'il faudra que nous soyons forts après la crise pour faire face à la concurrence mondiale", a souligné Eric Trappier, le patron de Dassault Aviation. Accélérer le programme d'avion de combat du futur Selon les deux groupements, les secteurs de la défense et de l'espace peuvent permettre d'amortir le trou d'air que traverse le secteur aéronautique. Ils appellent les deux gouvernements à renforcer leurs budgets de défense afin de conserver les capacités dans ce domaine stratégique. "Ce serait une grave erreur de réduire les dépenses du secteur de la défense. C'est un facteur de stabilité qui ne doit pas être sous-estimé", a précisé Dirk Hoke. Le GIFAS et le BDLI misent sur l'accélération des programmes en coopération. La France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne, ont lancé le programme SCAF (système de combat aérien du futur). Ce programme, à l'horizon 2040, permettra le remplacement des Rafale français et des Eurofighter allemands. "Ce programme est un défi et nous sommes convaincus qu'il faut le renforcer et ne pas prendre de retard. Les industriels ont commencé à travailler. Nous avons besoin d'une vision à long terme et de contrats pour atteindre la première échéance d'un démonstrateur en 2026", a exhorté Eric Trappier. Des deux côtés de la frontière, l'accélération de ce programme pourrait apporter une bouffée d'oxygène à tous les acteurs qui y participent : avionneurs, fabricants de moteurs, électroniciens et leurs sous-traitants. Cela permet également de faire d'une pierre deux coups, puisque la plupart des entreprises de l'aéronautique travaillent également pour le secteur de la défense. La manne du programme spatial européen Dirk Hoke a également évoqué l'importance du secteur spatial comme amortisseur à cette crise. Il a rappelé que l'agence spatiale européenne (ESA) avait approuvé en fin d'année dernière le lancement de nombreux programmes. En novembre 2019, lors de la réunion des ministres européens en charge du secteur spatial à Séville, l'ESA avait en effet dégagé un budget de 14,4 milliards d'euros pour les cinq prochaines années. La France et l'Allemagne étant les principales contributrices avec respectivement 3,3 milliards d'euros et 2,7 milliards. Les deux partenaires ont également sollicité l'aide de l'Europe. Ils craignent toutefois que le budget du fonds européen de défense soit la victime des ajustements budgétaires en cours de négociation. A l'origine, il devait atteindre 13 milliards d'euros sur la période 2021-2027. "Ce serait un mauvais signe si ce budget était coupé pour la construction et l'autonomie stratégique de l'Europe", a averti le patron du GIFAS. https://www.usinenouvelle.com/article/pourquoi-les-industriels-europeens-de-l-aeronautique-misent-sur-les-secteurs-de-la-defense-et-l-espace.N964041
December 26, 2024 | International, Land, C4ISR
The British Army has conducted “successful” trials of an RFDEW, which can neutralise drone swarms using radio waves.