Back to news

June 8, 2023 | International, Naval

US Marine Corps gives update on drone, ship needs for amphibious ops

The Marine Corps is mulling future amphibious concepts and platforms, even while a Pentagon study on the near-term acquisition of amphib ships is ongoing.

https://www.c4isrnet.com/naval/2023/06/08/us-marine-corps-gives-update-on-drone-ship-needs-for-amphibious-ops/

On the same subject

  • A la recherche de l'IA hybride

    April 3, 2020 | International, Aerospace

    A la recherche de l'IA hybride

    Vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales, David Sadek intervenait jeudi 24 octobre à Toulouse au Forum Innovation IA, un événement organisé par Sciences et Avenir pour le groupe Challenges. Explicabilité, validité, intégrité... " Pour une IA de confiance " : c'était l'intitulé de l'intervention de David Sadek, le vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales. "Nous aimerions tous pouvoir toujours faire confiance à tous nos outils technologiques. Mais en réalité tout dépend du contexte. Dans le cas des outils reposant sur l'IA, si Netflix me recommande un film que je trouve détestable, ce n'est pas bien grave, on s'en remettra. Mais dans le cas des systèmes critiques tels que l'on en conçoit régulièrement chez Thales pour des applications défense, espace et aéronautique, la question de la confiance est primordiale". David Sadek énonce trois impératifs, qui sont autant d'axes stratégiques de la feuille de route IA chez Thales, pour aller vers cette " IA de confiance ". Pour qu'une application de l'IA soi digne de confiance, il faut d'abord qu'elle soit capable d'expliquer. Si elle se contente de proposer ou décider sans être capable de dire pourquoi et comment elle est arrivée à cette proposition ou décision, la défiance s'installera. Elle doit donc être capable de répondre à la question : " Pourquoi ? ". "Si par exemple un copilote IA recommande au pilote humain de virer à 45°, et que ce dernier demande " pourquoi ", le copilote doit pouvoir répondre par exemple : " parce qu'il y a un problème météo (ou une menace ...) droit devant ". Il ne s'agit pas de simplement tracer la décision, de pouvoir indiquer à ses concepteurs quels neurones, quelles couches de neurones, ont fait pencher la balance dans un sens ou un autre, mais bien d'expliquer dans une langue compréhensible immédiatement par le pilote". Ce qui indique qu'à l'aspect intelligence artificielle s'ajoute celui de " l'interaction homme-machine ". IA connexionniste et IA symbolique Cela implique, en restant sur cet exemple, une capacité de compréhension et de génération du langage naturel. Mieux, le pilote appréciera de pouvoir dialoguer dans un langage mixte, reposant sur l'oral et le geste (pour désigner un point sur une carte, etc.). Deuxième impératif selon David Sadek : il faut pouvoir démontrer la validité d'une application de l'IA. C'est-à-dire sa conformité aux spécifications. "Le système développé doit faire tout ce l'on attend de lui et rien que ce que l'on attend de lui. Ce qui suppose que l'on sache spécifier très proprement". On connait l'exemple d'un jeu de bataille navale, un " serious game " destiné à former des officiers de la marine, qui gagnait à tous les coups, parce qu'il sacrifiait systématiquement chaque vaisseau touché, pour ne pas ralentir la flotte. Aucune règle ne prévoyait, n'interdisait ce cas de figure, passablement inacceptable. Troisième impératif pour une " IA de confiance ", selon David Sadek, la responsabilité des systèmes reposant sur l'IA. C'est-à-dire leur conformité aux cadres légaux, réglementaires et moraux. On connait le tendon d'Achille des réseaux de neurones : ce sont des boîtes noires, on voit ce qui entre et ce qui sort, mais on ne sait pas (trop) ce qu'il se passe à l'intérieur. C'est pourquoi David Sadek insiste sur le fait qu'il faut s'intéresser aussi à " l'autre IA ", l'IA symbolique, celle qui repose sur des règles et des raisonnements et qui s'oppose à l'IA connexionniste des réseaux de neurones. Cette IA symbolique, qui fait moins les gros titres, qui n'a pas connu les progrès fulgurants de l'IA des réseaux de neurones, est plus à même de répondre à ces trois exigences : expliquer, valider, responsabilité. C'est pourquoi la réponse à cette triple exigence passe sans doute, entre autres, par " l'IA hybride ", une IA tirant parti de ces deux branches de l'intelligence artificielle. Par Pierre Vandeginste https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/intelligence-artificielle/ia-pvdg_138526

  • BAE Systems to develop filter technology to improve radar, communications, and electronic warfare capabilities

    September 23, 2022 | International, C4ISR

    BAE Systems to develop filter technology to improve radar, communications, and electronic warfare capabilities

    The COFFEE program aims to provide elemental-level protection for these systems against interferers that could adversely impact the operation in congested environments

  • Germany in talks with Lockheed Martin over ‘fragile’ missile defense program

    December 9, 2019 | International, Aerospace

    Germany in talks with Lockheed Martin over ‘fragile’ missile defense program

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany – German defense officials are negotiating with contractors Lockheed Martin and MBDA Deutschland about a bid proposal for a next-generation antimissile program that the government believes is missing crucial components, according to a new defense ministry report. Information about the status of the high-profile TLVS program, short for Taktisches Luftverteidigungssystem, is included in the latest, unclassified portion of a biannual assessment by the defense ministry on the progress of key military acquisition programs. The document constitutes the defense ministry's first public evaluation of the U.S.-German industry consortium's second and final bid, submitted in June. “The analysis of the second offer shows that the proposal still falls short of the government's requirements because key elements and services were not included, some of which had been previously agreed,” the document states. Additionally, some performance requirements, which are left unexplained in the report, were not addressed in the industry bid, it adds. Talks with the companies are ongoing to clarify outstanding issues by the end of 2019, the defense ministry wrote. Overall, the government considers the program to be “fragile” based on a high degree of technological and managerial complexity. That is compared to a more upbeat assessment in the previous report, dated June, which found “significant progress” had been made over the previous six months. The defense ministry did not respond to a request for comment on what elements the Lockheed Martin-MBDA proposal was lacking. A Lockheed spokesman referred questions to the German government, writing in an email, “It is a matter for the German MoD to comment on the content of its latest project report and position relating to TLVS.” The report offers an explanation for why defense officials have been unable to articulate a time table for submitting the multibillion-dollar program to the German parliament for consideration. For one, the government must first wait for a foreign military sales process to play out with the United States over access to key performance data of the Lockheed-made PAC-3 MSE interceptor, the primary missile of the TLVS system. Germany launched the petition for the requisite goods and services in April 2019. In addition, officials are unable to formulate a path for integrating a secondary interceptor into the system, the IRIS-T SL, to be made by Germany's Diehl Defence, officials wrote. That is because the most recent Lockheed-MBDA proposal lacks the detailed interface documentation that would be needed to integrate such an interceptor into TLVS. Without that information, however, officials are unable to solicit a bid from Diehl, according to the report. German officials consider the ability to use IRIS-T missile a must-have for TLVS because those missiles are domestically made and because they are cheaper. Amid the runaway program complexity giving officials headaches, the government still appears to believe in the promise of the TLVS system as a replacement of the country's fleet of Patriot batteries. If it can be made to work, the military expects a “technological advantage” that will position the country as a NATO leader in missile defense, the report states. Officials will make decisions about the way ahead after ongoing talks with industry come to an end, it adds. https://www.defensenews.com/global/europe/2019/12/06/germany-in-talks-with-lockheed-martin-over-fragile-missile-defense-program

All news