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March 16, 2021 | International, Land

US increases dominance of global arms exports

America now accounts for 37 percent of global arms exports, almost double that of its closest competitor Russia, according to new information from SIPRI.

https://www.defensenews.com/global/2021/03/15/us-increases-dominance-of-global-arms-exports/

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  • Thales obtient la certification de type du système de drone Spy'Ranger 330

    April 24, 2022 | International, Aerospace

    Thales obtient la certification de type du système de drone Spy'Ranger 330

    Thales a obtenu la certification de type du système Spy'Ranger 330, délivré par l'autorité technique de navigabilité de la Direction générale de l'armement (DGA). Le Spy'Ranger 330 équipe l'armée de Terre française au titre du programme SMDR (Système de Mini-Drones de Reconnaissance). Le certificat de type permet à l'armée de Terre de former et entraîner les opérateurs du SMDR et de mettre en œuvre le système en opérations extérieures (OPEX), sans autorisation de vol spécifique et de manière pérenne. « Le système de mini-drones Spy'Ranger 330 offre aux forces armées les technologies d'imagerie les plus innovantes disponibles sur le marché », indique Thales. Le Spy'Ranger 330 a été conçu, développé, industrialisé et produit pour le programme SMDR sous maîtrise d'ouvrage de la DGA, par la filière française des systèmes de drones légers de contact. La famille Spy'Ranger répond aux besoins des unités de contact et de renseignement, engagées sur des thé'tres d'opérations extérieures. « Ces unités disposent ainsi d'une capacité d'appui au contact et de renseignement d'origine image combinant plusieurs éléments au sein d'un même système : un drone endurant et robuste, résistant aux environnements exigeants, une chaine image contribuant à la supériorité tactique, une liaison de données sécurisée et enfin, un système de contrôle/commande (C2) simple à opérer », explique Thales. La Tribune et Zone-Bourse.com du 21 avril

  • Startups Need Free Data To Work With Army: Venture Capitalists

    July 21, 2020 | International, C4ISR, Security

    Startups Need Free Data To Work With Army: Venture Capitalists

    Because open-source software lacks the same kind of cyber certification that comes with more sensitive information, it is fertile ground for start-ups looking to work on military data, provided each service makes an open-source library available. By KELSEY ATHERTONon July 20, 2020 at 7:01 AM ALBUQUERQUE: Venture capitalists want the Pentagon to be a good market. But for an industry that makes many unsuccessful bets in the promise that just a few pan out spectacularly, marketing software exclusively to the Pentagon poses an almost unacceptable risk. To ease startups into contracting, investors suggest the Army should provide unclassified, open-source data as the Air Force already does. Near the top of his investors' wishlist, says Stu Solomon, CTO of intelligence provider Recorded Future, is removing “a lot of the friction necessary to get innovation into the government without having to be directly aligned or affiliated with the big solution integrators.” Hitching new technology to a company already firmly ingrained in the Pentagon's ecosystem is a popular way to shepherd new software through the acquisitions process. It is also partly explains how, despite hundreds of millions of dollars in military contracts going to Silicon Valley companies, tech adoption seems as slow from the Valley as elsewhere. Solomon's remarks came during a panel at AFCEA's 2020 AFCEA Army Signal conference. Recorded Future was founded in 2008, received early funding from IN-Q-TEL, received a contract from DIU in 2017, and a contract from Cyber Command in 2020. Much of Recorded Future's product is built on ingesting open-source information and offering analysis. As a feature, that meant the company could sustain itself in the commercial market, selling enterprise software, while still planning long-term to contract with the military, DHS, and intelligence services. “If you think this is eventually going to be a market that matters to you, you're not going to be able to wait four years for the procurement process to mature as your product matures,” said Elizabeth Lawler, founder of Founder of AppLand. If a startup's focus is solely on processing classified data, the capital investors need to be aligned directly with that goal to fund it since getting certified to handle classified material is one of the major sources of cost and friction. “My current startup, focused on providing real-time up-to-date software images, works on things that are less sensitive as a starting point,” said Lawler, “for example, some of the code bases in the Air Force's open source code repository.” Because open-source software lacks the same kind of cyber certification that comes with more sensitive information, it is fertile ground for start-ups looking to work on military data, provided the service makes an open-source library available. “When it comes to this Valley of Death, I really view what we do when we start companies as an awful lot like a really difficult special forces mission,” said Andy Palmer, co-founder and CEO of data management company Tamr. “When you go in, you drop onto the ground to start a company, with a small team of people, and limited resources, and what oftentimes feels like an unreasonable objective. It's hand to hand combat for much of it, it's not pretty. The goal is survival.” So, if the Army wants to bring new data tools to the battlefields of the future, it could start by creating open-source environments that allow companies to solve problems, at a smaller scale and without the hurdles of classification, suggested several panelists https://breakingdefense.com/2020/07/startups-need-free-data-to-work-with-army-venture-capitalists

  • Les start-up spécialisées dans la défense et la sécurité poussent tous azimuts

    April 2, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Les start-up spécialisées dans la défense et la sécurité poussent tous azimuts

    Par Michel Cabirol Cinq des dix start-up accompagnées par Generate, l'accélérateur du Groupement des Industries Françaises de Défense et de Sécurité Terrestres et Aéroterrestres (GICAT), sont devenues des scale-up. Qui a dit que la défense et la sécurité n'étaient plus un domaine d'innovations... Deux ans après le lancement de son accélérateur de start-up dans le domaine de la défense et de la sécurité (Generate), le Groupement des Industries Françaises de Défense et de Sécurité Terrestres et Aéroterrestres (GICAT) tire un bilan positif des deux premières promotions de start-up accompagnées. Sur les dix ayant intégré Generate dès le départ, cinq ont franchi un cap pour devenir les fameuses scale-up (ou TPE). Ce sont le cas d'Aleph Networks, qui explore le deep et le dark web, de CerbAir (lutte anti-drone), de Diodon (drones), d'Internest, qui améliore la sécurité des vols des drones et des hélicoptères et, enfin, de l'éditeur de logiciels Linkurious, qui fournit des analyses de réseaux sociaux. En revanche, Othello, qui a développé une approche scientifique du comportement humain, Numalis, qui analyse les logiciels pour détecter et corriger les vulnérabilités numériques, Physip, qui propose des solutions d'analyse automatique de l'activité cérébrale basées sur l'EEG (électroencéphalogramme) et Uniris, qui fournit des services inviolables d'authentification, vont rester une année supplémentaire au sein de Generate afin de d'essayer de passer le cap de start-up. Enfin, Sterblue, qui édite une solution de pilotage automatique adaptable à tous les drones du marché, va se consacrer aux marchés civils. Cette start-up nantaise, créée par des anciens d'Airbus, a réussi fin 2018 une première levée de fonds de 2 millions de dollars. 8 millions d'euros de levées En deux ans, 50% des start-up de Generate ont réussi à lever des fonds, nouer des partenariats industriels, remporter des contrats et se projeter à l'export. Ainsi, elles ont réussi à lever 8 millions d'euros de fonds auprès d'investisseurs publics, privés et notamment des Venture Capital d'industriels du GICAT. Elles ont réalisé un chiffre d'affaire de 4,8 millions d'euros et près d'une start-up sur deux est aujourd'hui présente à l'export et y remporte des marchés. Elles emploient aujourd'hui près d'une centaine de personnes, dont la moitié a été recrutée sur les deux dernières années. Enfin, elles ont remporté sept trophées et prix aussi bien dans la défense et la sécurité, mais également auprès d'organisme civil. Pour le GICAT, ces résultats confirment sa volonté de poursuivre le recrutement de nouvelles pépites, en développant son système de parrainage, en se faisant connaitre auprès d'investisseurs et en accompagnant nos partenaires institutionnels (Délégation générale de l'armement, Agence Innovation défense, Armées, Ministère de l'intérieur, etc.). Generate accueille ou a accueilli au total 28 start-up depuis ses débuts. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/les-start-up-specialisees-dans-la-defense-et-la-securite-poussent-tous-azimuts-811829.html

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