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November 15, 2019 | International, C4ISR

U.S. Government Designates Lockheed Martin's Latest Generation Radar: AN/SPY-7(V)1

MOORESTOWN, N.J., Nov.14, 2019 /PRNewswire/ -- The world's latest generation solid-state radar technology, formerly known as Lockheed Martin's (NYSE: LMT) Solid State Radar (LM SSR), has been designated as AN/SPY-7(V)1 by the United States government. The designation of AN/SPY-7(V)1 is a direct reflection of the maturity and capability of Lockheed Martin's solid-state radar technology.

The Japanese Ministry of Defense selected AN/SPY-7(V)1 for two planned Aegis Ashore installations in 2018. Additionally, variants of AN/SPY-7(V)1 will be used by the Royal Canadian Navy for the Canadian Surface Combatant program and the Spanish Navy for the upcoming F-110 frigate program.

"Lockheed Martin's solid state solution meets the mission now and is flexible to adapt to the evolving threats of the future," said Paul Lemmo, vice president and general manager at Lockheed Martin. "This new designation solidifies our ability to provide the most technically advanced capabilities our warfighters require."

AN/SPY-7(V)1 is a modular and scalable solid state radar, allowing for continuous surveillance and protection. It will be fully integrated with the Aegis Combat System, providing advanced technology for future ship classes.

With 50 years of constant evolution and innovation, Lockheed Martin has a trusted history of producing, integrating and delivering radars and combat systems. Lockheed Martin and the Aegis Combat System continue to keep pace with evolving integrated air and missile threats, introducing new capabilities to create the latest generation of advanced solid state technologies, integrated with the Aegis system, to provide world-class defense and ensure future safety and security.

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 105,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services.

SOURCE Lockheed Martin

https://news.lockheedmartin.com/2019-11-14-U-S-Government-Designates-Lockheed-Martins-Latest-Generation-Radar-AN-SPY-7-V-1

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  • Boeing awarded $9.8B contract for Saudi F-15 support

    November 12, 2020 | International, Aerospace

    Boeing awarded $9.8B contract for Saudi F-15 support

    By Ed Adamczyk Nov. 11 (UPI) -- Boeing Co. was awarded a $9.8 billion contract to support F-15 fighter planes of the Royal Saudi Air Force, the U.S. Defense Department announced. The deal covers modernization and sustainment of the Saudi fleet of nearly 130 aircraft over the next five years, the Pentagon said on Tuesday. The package of upgrades includes hardware, software, interface design, development, integration, test, installation of future modifications and enhancements to the F-15 Saudi weapon system. The contract also includes an option for an additional five years beyond the inital November 2025 time period. The F-15 was first put into service as a tactical fighter plane in 1978, and is in use by the air forces of the United States, Japan, Israel, Singapore and Qatar. The newest aircraft of the Royal Saudi Air Force are the F-15SA variant, which come with wing-mounted weapons-carrying packages allowing the plane to carry and launch a wider array of new weapons configurations. The Advanced Missile and Bomb Ejection Racks, or AMBER, allow the plane to carry up to 22 AIM-120 missiles, nearly double the capability of previous F-15s. The F-15QA variant to be used by the Qatar Emiri Air Force, regarded as the most advanced current version of the plane, is based on the Saudi design. Earlier this week, the Pentagon awarded two contracts totaling $734.8 million for infrastructure and equipment for the QEAF. The larger of the two deals is a $657.2 million contract for parts and training for Qatar's F-15 program, beginning with the arrival of the first F-15QAs in 2021. https://www.upi.com/Defense-News/2020/11/11/Boeing-awarded-98B-contract-for-Saudi-F-15-support/2971605119323/

  • Telerik Report Server Flaw Could Let Attackers Create Rogue Admin Accounts

    June 4, 2024 | International, Security

    Telerik Report Server Flaw Could Let Attackers Create Rogue Admin Accounts

    Critical security flaw discovered in Progress Telerik Report Server (CVE-2024-4358, CVSS 9.8/10). Remote attackers could bypass authentication.

  • Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    January 8, 2020 | International, Aerospace

    Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    Avions de combat : Le PS, les Verts et le GSsA lancent ce mercredi le référendum contre l'achat de nouveaux jets. Ils étaient parvenus à couler le Gripen en 2014. La situation de départ est cette fois-ci différente. Ce 18 mai 2014, les bouchons de champagne avaient sauté au stamm de la gauche, à quelques pas de la gare de Berne. Au terme d'une campagne acharnée qui a même fait ensuite l'objet d'un documentaire, «La bataille du Gripen», de Frédéric Gonseth, 53,8% des votants avaient refusé d'acheter 22 avions de combat Gripen pour une somme de 3,126 milliards de francs. Tous les cantons romands avaient dit non. Cette année, potentiellement en septembre, les citoyens suisses devraient à nouveau se prononcer sur l'achat d'avions de combat. Le Parti socialiste, le Parti écologiste et le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) lancent le référendum ce mercredi contre l'arrêté de planification qui prévoit d'investir 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux jets. Les fronts sont les mêmes qu'en 2014, mais le contexte a changé. Un vote sur le principe et pas sur un type d'avion En 2014, le choix d'acheter le Gripen E, modèle en cours de développement, avait suscité la critique et la méfiance. Les détracteurs de ce jet parlaient d'avions de papier. Des membres des forces aériennes s'étaient aussi étonnés, en coulisses, du choix du jet suédois, alors que d'autres avions avaient obtenu de meilleures notes lors de l'évaluation. L'analyse Vox qui avait décortiqué le scrutin avait ainsi montré que 13% des votants avaient mis un non dans l'urne par rejet du Gripen. Cette fois-ci, les Suisses n'auront plus à se prononcer sur un type d'avion. Une seule question leur sera posée: acceptez-vous de payer 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux avions de combat? Le Conseil fédéral ne sélectionnera le modèle qu'après le scrutin, sur la base des évaluations conduites par ArmaSuisse. A noter que dans tous les cas, la Suisse n'achètera pas le Gripen: le constructeur Saab a renoncé dès lors qu'il a été écarté des essais en vol et au sol qui ont eu lieu l'an dernier sur la base militaire de Payerne. Il reste ainsi quatre jets en course: le Rafale de Dassault, l'Eurofighter d'Airbus, le Super Hornet de Boeing et le F-35 de Lockheed Martin (voir vidéos de présentation dans l'encadré). Viola Amherd à la place d'Ueli Maurer Gaffes en série, couacs de communication, allusions malheureuses: la campagne de 2014 avait été cauchemardesque pour le ministre de la Défense de l'époque, Ueli Maurer (UDC). Six pour cent des votants avaient déclaré, lors de l'analyse Vox, avoir dit non en raison de cette campagne cacophonique. Les électeurs du centre, qui se reconnaissent dans des partis traditionnellement acquis à l'armée, avaient joué un rôle déterminant. Aujourd'hui, c'est une centriste, Viola Amherd, qui est à la manoeuvre. La conseillère fédérale PDC met un accent particulier sur la transparence dans les achats de l'armée. Elle a aussi souhaité amener une caution à la fois scientifique et militaire à ce dossier. Elle a ainsi invité l'astronaute Claude Nicollier à rendre un second avis sur le rapport Air2030. La popularité et l'image de la Haut-Valaisanne joueront un rôle lors de la campagne. De nouveaux avions sinon rien? En 2014, le Gripen ne devait remplacer que la flotte des F-5. Les 32 F/A 18 devaient être remplacés dans un second temps. Aujourd'hui, les 30 avions de combat F/A-18 restants sont vieillissants. Il est prévu de prolonger leur durée de vie jusqu'en 2030. Ainsi, la gauche ne pourra pas déployer avec autant d'impact l'un de ses arguments clés de 2014: on peut dire non au Gripen, il reste des avions pour l'armée. A l'époque, selon l'analyse Vox, 24% des détracteurs du Gripen se disaient en effet partisans d'une armée forte, mais ils estimaient aussi que l'achat de ce jet n'était pas une nécessité vitale. Le message sera différent lors de la future campagne. Viola Ahmerd et ses alliés pourront marquer des points en affirmant que le scrutin déterminera la survie des forces aériennes. Fondamentalement, les référendaires ne contestent cela dit pas la nécessité d'avoir des avions mais uniquement pour faire la police du ciel. Ils estiment qu'on peut acheter moins et à un meilleur prix. Leur capacité de convaincre avec cet argument s'annonce déterminante. Des mesures compensatoires plus basses C'est une autre différence par rapport au vote de 2014. Les affaires compensatoires - ces contre-prestations exigées de la part du constructeur - se monteront à 60% du prix d'achat des avions. Pour le Gripen, c'était 100%. Sur ce point, la ministre Viola Amherd, critique face aux surcoûts engendrés par ces compensations, s'est imposée au parlement. Les entreprises romandes qui craignaient de ne pas voir la couleur des affaires compensatoires si elles étaient réduites à 60% se disent néanmoins satisfaites: les collaborations seront possibles au-delà du secteur de la sécurité. Elles s'étendront à onze autres domaines, dont celui des machines, de l'électronique ou encore de l'horlogerie. https://www.24heures.ch/suisse/change-echec-gripen-aujourdhui/story/22057626

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