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August 31, 2021 | International, Aerospace

US Army's recon, electronic warfare-capable aircraft flies for the first time

L3Harris has flown a new technology demonstrator aircraft that could bring to the U.S. Army enhanced ISR and electronic warfare capabilities.

https://www.defensenews.com/industry/2021/08/27/us-armys-recon-electronic-warfare-capable-aircraft-flies-for-the-first-time/

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    March 27, 2023 | International, Naval

    Coast Guard wants $1.6 billion extra to hasten modernization projects

    The Coast Guard wants to accelerate its aircraft improvement and life extension projects, and build up its Fast Response Cutter fleet, if given more money.

  • Cinq candidats évalués jusqu’à fin juin

    May 1, 2019 | International, Aerospace

    Cinq candidats évalués jusqu’à fin juin

    Par Sébastien Galliker Avions de combatEurofighter, F/A-18 Super Hornet, Rafale, F-35A et Gripen E sont testés par Armasuisse sur la base de Payerne. Cinq avions de combat sont en lice pour remplacer les Tiger et les F/A-18 de l'armée suisse. Quatre jours de tests sont prévus pour chacun, selon l'ordre alphabétique. L'Eurofighter d'Airbus était le premier sur la sellette, dès le 11 avril. La phase de sélection du F/A-18 Super Hornet de Boeing a débuté le 29 avril. Le Rafale de Dassault suivra dès le 20 mai, puis le F-35A de Lockheed-Martin le 6 juin et enfin le Gripen E de Saab à partir du 24 juin. Pour chaque avion, Armasuisse a prévu un après-midi aux spotters et autres citoyens intéressés pour approcher l'avion respectif à l'intérieur de l'aérodrome militaire. Les places sont toutefois limitées et l'attrait du public et surtout des photographes est grand. «C'est un peu comme le Paléo pour s'inscrire, il faut être connecté au moment où les places sont ouvertes», commente un spotter. Armasuisse précise aussi sur son site qu'«il ne s'agit pas d'un meeting aérien. Aucune manœuvre supplémentaire, des loopings par exemple, ne sera présentée.» Les essais incluent huit missions comportant des t'ches spécifiques. Effectuées par un ou deux avions de combat, parfois en en solo par un pilote étranger pour le F-35A et le Gripen E qui sont des monoplaces et sinon en présence d'un ingénieur helvétique, ces missions consisteront en 17 décollages et atterrissages. Elles seront axées sur les aspects opérationnels, les aspects techniques et les caractéristiques particulières. «L'objectif n'est pas de sélectionner le meilleur avion, mais le meilleur pour la Suisse», avait présenté Christian Catrina, délégué du Conseil fédéral pour ce dossier, lors de sa présentation. La taille de la future flotte n'est pas encore déterminée, même si les prévisions oscillent entre 30 et 40 avions de combat. Le Conseil fédéral fera son choix à fin 2020, début 2021 et la facture totale sera de l'ordre de 8 milliards de francs, y compris la défense sol-air. La population suisse se prononcera sur cette acquisition, mais pourrait ne voter que sur l'achat des avions, pour un montant estimé de 6 milliards de francs. (24 heures) https://www.24heures.ch/news/news/cinq-candidats-evalues-jusqu-fin-juin/story/30895634

  • Les inquiétudes persistent sur la taxonomie européenne réservée au secteur de la défense

    January 7, 2022 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Les inquiétudes persistent sur la taxonomie européenne réservée au secteur de la défense

    Le président du GIFAS Guillaume Faury s'inquiète des réticences du secteur bancaire à financer le secteur de la défense, appelant les pouvoirs publics français à exercer « une influence sur les critères de sélection des bons investissements (...) un message positif et une direction claire des autorités en général sur tout ce qui est ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et taxonomie ». Bruxelles travaille sur la mise en place de nouveaux critères de label écologique de l'UE pour les produits financiers. Un projet de label dont seraient pour le moment exclues les industries de défense européennes. « Nous voulons nous assurer que la défense n'aura pas non seulement un traitement de défaveur, mais au contraire un traitement de faveur dans la capacité de financement » a insisté Guillaume Faury. Sous la pression d'éventuelles sanctions américaines et des ONG, les banques appliquent désormais des règles de conformité (compliance) strictes pour les entreprises de défense considérées comme des entreprises à risque pour un financement, de plus en plus difficile à trouver pour certaines ETI, PME et startups de la filière, dont certaines se voient même refuser d'ouvrir un compte bancaire. Un constat que faisait le président du Comité Défense du Conseil des Industries de Défense Françaises (CIDEF) et PDG de MBDA, Eric Béranger, au Paris Air Forum. La Tribune du 6 janvier

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