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June 18, 2021 | International, Aerospace

US Army could soon have a high-power microwave to destroy small drone swarms

The Army wants to begin high-power microwave development and prototyping efforts in FY22 to defeat small drone swarms.

https://www.defensenews.com/land/2021/06/17/us-army-could-soon-have-high-power-microwave-capability-to-take-out-small-drone-swarms/

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  • Dassault Aviation poursuit sa stratégie d'implantation en Belgique

    June 12, 2018 | International, Aerospace

    Dassault Aviation poursuit sa stratégie d'implantation en Belgique

    Dassault Aviation a profité du salon Eurosatory pour signer ce 12 juin un protocole d'entente avec Thales Belgium pour l'implantation d'un centre d'excellence dédié à la cybersécurité en Belgique. Cet accord s'inscrit dans le cadre des compensations industrielles liées à l'offre française de Rafale pour les forces aériennes belges. Les offsets liés au contrat prévoient au moins 20 milliards d'investissements sur 20 ans et concerneraient quelques 5 000 emplois. Dassault Aviation n'exclut pas un "regain d'activité" et une augmentation de ces chiffres en cas de signature. Quatre-vingt accords ont d'ores et déjà été signés par la Team Rafale pour renforcer les partenariats industriels entre les deux pays. Parmi les coopérations envisagées, des centres de recherche sur l'interface homme-machine, la fabrication additive ou encore la simulation numérique, mais aussi la fondation d'un "centre de l'innovation" dans le domaine de la maintenance prédictive, ainsi que la mise en place d'un centre de maintenance Rafale. Ces accords de coopération seront mis en place en cas de victoire du GIE Rafale en Belgique, "Les activités pourront être lancées immédiatement", explique-t-on chez l'industriel - qui dit rester confiant sur ses chances d'attribution du contrat, estimé à 3,6 milliards d'euros. La France avait présenté à l'automne dernier une proposition "d'État à État" à la Belgique, sortant de fait de l'appel d'offres lancé en mars 2017 pour l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat. Face à la proposition française, Lockheed Martin et son F-35, ainsi que le consortium Eurofighter - la compétition semblant davantage se jouer entre les avions français et américain. https://www.journal-aviation.com/actualites/40676-dassault-aviation-poursuit-sa-strategie-d-implantation-en-belgique

  • La bataille du futur avion de chasse de l'armée suisse a démarré

    July 23, 2018 | International, Aerospace

    La bataille du futur avion de chasse de l'armée suisse a démarré

    La Suisse a lancé début juillet l'appel d'offres pour les nouveaux avions de combat. Les constructeurs Boeing, Airbus, Dassault, Saab et Lockheed Martin redoublent déjà d'efforts pour convaincre la Confédération. Cinq jets doivent être évalués: le Gripen E suédois (Saab), le Rafale français (Dassault), l'Eurofighter allemand (Airbus), et côté américain, le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Les constructeurs pourront soumettre leur offre à Armasuisse d'ici la fin janvier 2019. En Suède, l'opération de séduction a démarré à Linköping, petite ville de 150'000 habitants et capitale du Gripen. La localité est habituée aux rugissements du chasseur et au secret défense. Alors qu'il n'était qu'un projet en 2014, le Gripen E de Saab a désormais 30 heures de vols à son compteur. "Le Gripen E mûrit très vite", explique Rustan Nicander, responsable du marché suisse chez Saab. "Le Brésil et la Suède sont déjà clients, avant que la Suisse ne décide d'acheter l'appareil. Ce sera donc un appareil très mûr quand la Suisse fera son choix." Convaincre les politiques et l'industrie Pour remporter à nouveau l'appel d'offres, le constructeur suédois tente de rassurer, tout en misant sur son réseau. "Nous avions déjà remporté la dernière évaluation il y a quelques années", rappelle Jonas Hjelm, responsable des affaires aéronautiques. "Je pense que nous apportons cette fois un ensemble encore plus cohérent." Les performances du futur appareil ne constitueront pas le seul critère pour la Suisse. L'ultra-moderne F-35A américain n'a par exemple plus grand chose à prouver. L'entreprise américaine sait donc qu'elle doit aussi convaincre la politique et l'industrie. "Tous les pays qui ont acheté le F-35 ont eu un retour économique et industriel", affirme Yung A. Le, responsable de l'Europe du Nord chez Lockheed Martin. "Ce ne sera pas différent pour la Suisse. Nous avons des collaborateurs qui rencontrent l'industrie en Suisse romande, chez les Alémaniques et les italophones afin de mieux comprendre le tissu industriel." Après le travail de l'industrie, celui de la diplomatie Les entreprises étrangères avec lesquelles des contrats seront signés devront compenser 100% de la valeur des contrats par des affaires en Suisse. Discrète, la filiale allemande d'Airbus privilégie depuis son bureau bernois les coulisses aux grandes campagnes de communication pour vendre son Eurofighter. "Nous ne sommes pas nouveaux en Suisse, nous y avons déjà des contrats avec l'industrie, mais il faut que nous les développions davantage pour atteindre les besoins demandés", indique le Dr. Alexander-Long Vinh, responsable de cette campagne chez Airbus. Après le travail de l'industrie viendra celui de la diplomatie. Ce sera au gouvernement de chaque constructeur de transmettre une offre à la Suisse. Des tests au sol et en vol seront menés dans le pays entre mai et juillet 2019. Un deuxième appel d'offre pour les jets sera mené en novembre 2019 et les réponses sont attendues pour fin mai 2020. Le choix des modèles devrait tomber vers fin 2020. Le Parlement puis le peuple devraient pouvoir se prononcer sur la facture. Loïs Siggen-Lopez/tmun https://www.rts.ch/info/suisse/9717782-la-bataille-du-futur-avion-de-chasse-de-l-armee-suisse-a-demarre.html

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