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July 4, 2024 | International, Land

US Army accepts T901 Engines - Army Technology

The US Army has initiated flight testing of the T901 engine as part of its efforts to modernise the UH-60 Black Hawk.

https://www.army-technology.com/news/us-army-accepts-t901-engines/

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  • Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    February 18, 2019 | International, Security

    Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    (B2) Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention Avec mes amis de ‘La faute à l'Europe‘ (J. Quatremer, Y. A. Noguès, K. Landaburu, H. Beaudoin), qui reçoivent ce week-end Michèle Alliot Marie, alias MAM, l'ancienne ministre de la Défense (sous Jacques Chirac) et ministre des Affaires étrangères (sous Nicolas Sarkozy), nous parlons ‘défense', ‘Europe puissance' et notamment de ce Conseil de sécurité européen (video). @bruxelles2 pèse le pour et le contre d'un Conseil de sécurité européen à l'image de @ONU_fr pic.twitter.com/JfbkGh4Kot Une proposition franco-allemande Cette proposition ne nait pas de nulle part. Elle figurait en dernier lieu dans la déclaration de Meseberg adoptée par les deux dirigeants Emmanuel Macron et Angela Merkel en juin 2018. L'objectif est d'avoir un « débat européen dans de nouveaux formats » et « d'accroitre la rapidité et l'efficacité de la prise de décision de l'Union européenne [en matière] de politique étrangère » (lire : Défense, Sécurité, Migrations, Développement, l'accord franco-allemand de Meseberg). Une explication merkelienne Au Parlement européen, en novembre 2018, la chancelière Angela Merkel souligne l'importance d'« une enceinte au sein de laquelle des décisions importantes pourront êtres prises », avec une « présidence tournante » (lire : « Une armée (européenne) montrerait au monde qu'entre (nous) il n'y aurait plus de guerre » (Angela Merkel). Le format serait limité précise-t-on du côté allemand : « un petit cercle d'États se relayant et représentant l'ensemble de l'UE [pour] travailler plus promptement et intensément au règlement des crises en cours. » (1) Une certaine réserve française Du côté français, on ne peut pas dire que le projet suscite une grande mobilisation. A l'Élysée, la prudence est de règle : « C'est une idée [de] la Chancelière. Ce pourrait être une proposition commune, mais cela mérite encore [d'être travaillé] » l'che en ‘off' un Élyséen, à quelques journalistes (dont B2) en novembre 2018. Et d'ajouter : « Nous n'avons pas de détails proposés par le gouvernement allemand : est-ce un forum pour discuter ou pour décider des questions de politique étrangère ? Ce n'est pas encore une position qui est mûrie. » (3) Une idée mal perçue dans les milieux européens Dans les couloirs européens, cette idée est à peine commentée. « Je suis un peu sceptique sur la création d'une nouvelle structure. Est-elle vraiment nécessaire. N'a-t-on pas déjà pas assez de structures » s'interroge un bon connaisseur des questions sécuritaires interrogé par B2, résumant assez bien le sentiment à Bruxelles, perplexe et qui a, à peine, réfléchi sur l'idée. Un vide béant de réflexion stratégique Cette proposition répond pourtant à un réel besoin. L'Union européenne souffre aujourd'hui d'un vide béant d'absence de direction politique au plus haut niveau, d'anticipation stratégique et de réactivité en cas de crise majeure. Parler d'autonomie stratégique ou de réflexion sans avoir une instance capable de décider est un leurre. Des leaders européens absents collectivement Certes, en théorie, le Conseil européen doit se pencher une fois par an au minimum sur les grandes questions de sécurité. Mais cette disposition du Traité de Lisbonne est restée plutôt lettre morte. Force est de constater que ces dernières années, sur toutes les crises majeures — Libye, Syrie, Irak, Ukraine, crise migratoire, coup d'état en Turquie, etc. — les Chefs d'État et de gouvernement européens, collectivement, ont été ‘à la ramasse'. Un manque d'anticipation certain Pour en attester, il suffit de reprendre la liste des crises récentes. Les 28 ont-ils à la veille de signer l'accord d'association avec l'Ukraine clairement évalué les conséquences de cet acte sur les relations avec la Russie, donné leur accord en bonne et due forme ? Ont-ils planifié un dispositif de gestion de crise soit diplomatique, soit militaire en cas d'intervention russe (largement prévisible) ? Lors de la déroute du printemps arabe en Syrie, ont-ils anticipé la crise des réfugiés et des migrants à venir ? Après l'intervention franco-britannique en Libye, qui laisse un pays déchiré et un État failli, ont-ils envisagé et débattu de la solution à apporter à la crise, en commençant par résoudre leurs différends ? Lors du coup d'Etat en Turquie, y-t-a-il eu une réunion de crise par rapport à un pays le plus proche ? Non, non ! Des questions posées trop vite abordées Au mieux, les ‘Leaders' ont discuté une ou deux heures pour s'accorder sur les traitements collatéraux de la crise (rupture des liens diplomatiques, aide humanitaire, sanctions...). La plus longue discussion au cours de ces dernières années a été consacrée à définir l'intensité des sanctions mises en place sur la Russie. Mais rarement pour tenter de résoudre leurs différends, trouver des solutions ou b'tir des feuilles de route. Au pire, ils ont préféré ne pas trop se pencher sur la question. Une réforme facile à mettre en place Si l'on met de côté certains aspects proposés par A. Merkel, avoir un Conseil de sécurité de l'Union européenne est possible dans le cadre existant. Pas de modification de traité Ce projet ne nécessite pas de modification des traités constitutifs. Il suffit juste de changer les usages. On peut décider (par exemple) de consacrer une demi-journée lors de chaque Conseil européen aux grandes questions internationales ou (autre exemple) dédier une de ses quatre réunions annuelles aux questions internationales. Il serait même possible de tenir une ou deux fois par an un Conseil européen informel dans un pays tournant (permettant à un chef de gouvernement de coprésider la réunion). Juste changer les usages Rien n'empêche d'ailleurs quelques pays plus proches en matière d'approche sécuritaire — France, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie — de tenir régulièrement des conciliabules préparatoires à l'image des réunions G6 des ministres de l'Intérieur (un petit cercle conjoint). Rien n'empêche aussi de joindre à ces réunions des Chefs, une réunion parallèle des ministres de la Défense ou des Affaires étrangères, voire des ambassadeurs, pour mettre en musique immédiatement les mesures décidées par les Chefs. Toutes ces dispositions, tout à fait possibles dans les traités existants, permettraient de se rapprocher du modèle prôné par A. Merkel. Un dispositif diplomatique et technique prêt à répondre Au-dessous du niveau politique, le dispositif européen en cas de crise est plutôt complet et prêt à travailler. On a ainsi des ambassadeurs des 28 (le Comité politique et de sécurité), qui siègent en permanence à Bruxelles, avec au minimum deux réunions par semaine (sans compter les petits déjeuners, goûters et autres dîners informels) permettant d'échanger et affiner des positions communes. En cas d'urgence, une réunion du COPS peut être improvisée. Ces diplomates, discrets mais parfaits connaisseurs de leurs sujets, sont tenus d'être là, 24h/24 sur le pont. J'en ai été témoin à plusieurs reprises. Des réunions ont eu lieu le dimanche, au mois d'août, à 6 heures du matin ou à 22 heures le soir. Un dispositif de veille et d'analyse On a aussi un dispositif de veille du renseignement (l'IntCen) (dirigé aujourd'hui par un Allemand ancien des services de renseignement) qui produit régulièrement des notes d'analyses. Ces notes — environ 1400 par an — sont plutôt bien appréciées de leurs destinataires, selon mes informations. On peut ajouter à cela des dispositifs de réaction de crise — cellule de protection civile à la Commission européenne, état-major militaire de l'UE (EUMS), commandement des missions civiles (CPCC) etc. — qui existent et ne demandent qu'à produire des résultats. Tous ces dispositifs peuvent au besoin être renforcés et rendus plus performants. (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/02/16/mettre-en-place-un-conseil-de-securite-europeen-une-idee-du-futur/

  • Amentum closes $1.9 billion acquisition of PAE

    February 16, 2022 | International, Other Defence

    Amentum closes $1.9 billion acquisition of PAE

    This is at least the second acquisition by Amentum in recent years.

  • After COVID delay, high-stakes test of Army’s critical battle command system underway

    August 3, 2020 | International, Land

    After COVID delay, high-stakes test of Army’s critical battle command system underway

    By: Jen Judson WASHINGTON — A high-stakes test of the U.S. Army's battle command system expected to control air and missile defense shooters and sensors is underway following a delay due to the coronavirus pandemic, Kenn Todorov, Northrop Grumman's vice president for missile defense solutions, told Defense News in a recent interview. Northrop Grumman is the developer of the Integrated Air and Missile Defense Battle Command System, or IBCS. The system's development and its fielding is the Army's top air and missile defense modernization priority. IBCS has had a long and marred history due to struggles in previous tests as well as increasing requirements causing a plethora of challenging software changes. But recent successful tests over the past several years have resulted in a deeper confidence of the system, and the Army has been racing to move through a limited-user test, or LUT, at White Sands Missile Range, New Mexico, to reach a production decision. The test will decide the fate of the program. The program was supposed to reach initial operational capability last year, but those plans slipped in 2017 by four years following software problems in the system's first LUT in 2016. IBCS was originally meant to serve as the command-and-control system for the Army's future Integrated Air and Missile Defense system against regional ballistic missile threats, but now the service sees a much more expansive future for the technology, with plans to tie it to sensors and shooters capable of defeating complex threats like unmanned aircraft. According to Todorov, the Army and Northrop had to take a “COVID pause” to ensure the safety of all of the participants of the LUT before proceeding. Originally, the IBCS test was scheduled for earlier in the spring as COVID-19 was spreading quickly across the United States. Precautions are taken to ensure participants stay healthy, Todorov said, but he doesn't believe those measures will sacrifice any of the rigor within the test. The LUT will have a broader range of threats to counter than the original, from ballistic missiles, cruise missiles and air-breathing threats, and this test will include the integration of some joint air assets, Brig. Gen. Brian Gibson, the head of the Army's missile defense modernization effort, told Defense News last year. Northrop took the extra time from the pause caused by the pandemic to improve the system's readiness and develop policies and procedures to ensure employees take precautions to avoid the spread of the virus during the LUT. The test is expected to go through the month of August and include endurance runs as well as two major flight tests. In Northrop's second-quarter fiscal 2020 earnings call on July 30, CEO Kathy Warden said that “successful completion of this [engineering and manufacturing development] milestone will support IBCS production, deployment and fielding to execute the Army's [IAMD] modernization strategy,” adding that the program is on track to reach a production decision later this year. Warden also noted that success with the IBCS program and the Air Force's Advanced Battle Management System puts the company on a path to contribute heavily to an anticipated “next-generation” program called Joint All-Domain Command and Control. JADC2 is expected to provide an information architecture across all service and domains of warfare. Northrop's IBCS development efforts are seen as a springboard into work it could do to develop JADC2, Todorov said. He added that the IBCS system in particular has gone through “tremendous advances,” as it has adapted to maturing and changing threats. One of the reasons the system has been able to quickly evolve is due to its designation by Congress — among just a few Defense Department programs — to adopt an agile software-development process that allows the system to be frequently updated with software upgrades or patches, as opposed to big software drops that potentially happen only once a year. https://www.defensenews.com/land/2020/07/31/after-covid-delay-high-stakes-test-of-armys-critical-battle-command-system-underway/

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