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August 14, 2018 | International, Aerospace

US Air Force seeks to improve student pilot learning through new initiative

Key Points

  • The USAF sought to decrease the time of pilot training without sacrificing learning
  • Pilot Training Next relied heavily on simulators and other existing and emerging technologies

The US Air Force (USAF) sought to decrease the time and cost of pilot training without sacrificing the depth of learning through its Pilot Training Next (PTN) initiative.

PTN, which ran from February to 3 August 2018, included blended learning and data-centric facets by using existing and emerging technologies such as virtual and augmented reality, advanced biometrics, artificial intelligence (AI), and data analytics, according to a service statement. The knowledge gained was to be used to refine scientific measuring capabilities and teaching techniques.

https://www.janes.com/article/82339/us-air-force-seeks-to-improve-student-pilot-learning-through-new-initiative

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  • US State Dept OKs possible sale of Apache helicopters to Poland for $12 bln -Pentagon | Reuters

    August 21, 2023 | International, Aerospace

    US State Dept OKs possible sale of Apache helicopters to Poland for $12 bln -Pentagon | Reuters

    The U.S. State Department has approved the potential sale of AH-64E Apache helicopters and related equipment to Poland in a deal valued at up to $12 billion, the Pentagon said on Monday.

  • Fusil anti-drone, camionnette espion... Milipol, le grand bazar de la sécurité

    November 26, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Fusil anti-drone, camionnette espion... Milipol, le grand bazar de la sécurité

    HASSAN MEDDAH Des allées pleines de visiteurs, des exposants toujours plus nombreux, des stands truffés d'innovations... La 21eme édition du salon Milipol dédiée à la sécurité et la sûreté des Etats, qui se tient à Paris du 19 au 23 novembre, fait encore le plein. A Paris Nord Villepinte, du 19 au 23 novembre, la 21eme édition de Milipol, qui vise 30 000 visiteurs professionnels, souligne le dynamisme du marché de la sécurité et de la sûreté au niveau mondial mais en France également. Forte de 130 000 personnes, la filière tricolore génère un chiffre d'affaires de 30 milliards d'euros dont un tiers réalisé à l'export. Outre son cycle de conférences, ce salon s'impose comme le véritable bazar de la sécurité. Les acheteurs professionnels, comme les 170 délégations étrangères qui ont fait le déplacement, ont pu trouver de quoi assurer leurs besoins en protection. Dans les stands, on trouve de tout... ou presque. 1/ Le fusil électromagnétique anti-drone de la gendarmerie Les gendarmes exposent sur le stand du ministère de l'Intérieur leur dispositif de lutte anti-drone. Une mallette équipée d'un dispositif rayonnant permet de détecter toute intrusion dans un rayon de 5 km. Le gendarme arrose alors le drone avec un fusil brouilleur émettant des ondes électromagnétiques avec une portée d'un km environ et dans un cône de 70° d'ouverture environ. Les ondes émises brouillent le GPS et neutralisent les communications entre l'opérateur du drone et son engin, forçant ce dernier à se poser. Cette solution a été conçue par la société italienne CPM Elettronica. 2/ La camionnette espion La société Intellexa expose un van d'un genre très particulier. En plus de ses deux passagers, il embarque un véritable centre de contrôle et d'espionnage pour mener des missions de renseignements dans le plus grand secret : caméras pour filmer les allées et venues dans les environs à travers les vitres teintées, antennes d'interception à 360° des communications sans-fil (Wifi, 2G, 3G, 4G...), outils d'investigation et d'infection numérique à distance... 3/ Des fusils en veux-tu, en voilà Sur le stand de l'armurier italien Beretta, se côtoient des armes pour snipper pour atteindre des cibles à plus de 2km, des armes semi automatiques capables de tirer plus de 800 coups par minute, des fusils d'assaut... 4/ Le laboratoire mobile d'analyse ADN Pour identifier des victimes au plus près du terrain lors d'une catastrophe (crash d'avion, ouragan, terrorisme...), la société TraceIP a conçu un laboratoire mobile d'analyse ADN. Opérationnel deux heures après l'arrivée sur site, il peut analyser une vingtaine d'échantillons en 30 minutes, gr'ce à une innovation développée et brevetée par l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale. 5/ Le drone dopé à l'intelligence artificielle Drone Volt présente sur son stand un drone de surveillance. L'appareil embarque deux cameras, l'une offrant un zoom optique *30, l'autre thermique pour la surveillance nocturne. Les images traitées par un moteur d'intelligence artificielle, identifient les formes, détectent des plaques d'immatriculation... Pour gagner en robustesse, son fuselage est constitué d'une structure carbone monobloc. 6/ Le détecteur de snippers La PME française Cilas présente sur son stand un système de détection avant-tir de sniper basé sur l'effet «œil de chat». Le laser du dispositif balaie une zone à risque préalablement définie envoyant un rayon invisible susceptible d'être réfléchi par la lunette du fusil du sniper ou ses jumelles. Le système permet alors de localiser le tireur jusqu'à 1 km de distance en fonction de la taille de l'optique détectée. Il est déployable en une dizaine de minutes. 7/ Le dispositif anti-voiture bélier Stopper net un véhicule de 7,5 tonnes lancé à 80 km/heure. C'est la capacité du dispositif contre les voitures bélier développé par la société Kopp. Ce ralentisseur à double sens d'arrêt est composé de deux peignes métalliques biseautés capables de relever à 50 cm de hauteur en moins de 3 secondes. Cet obstacle escamotable nécessite très peu de génie civil, se fondant dans la chaussée à 50 cm de profondeur. 8/ Les smartphones grand public avec une sécurité militaire Ercom, société récemment rachetée par Thales, présente à Milipol des téléphones sécurisés permettant l'échange de données confidentielles gr'ce à une carte SIM capable de chiffrer les appels, les SMS, les data.... Basée sur des smartphones Samsung, l'offre vise les collaborateurs des gouvernements et des grands groupes pour protéger leurs données sensibles en mobilité, et en cas de perte, de vol et d'écoute. Ces appareils bénéficient de l'agrément Diffusion Restreinte de l'OTAN et l'ANSSI, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information. https://www.usinenouvelle.com/editorial/en-images-fusil-anti-drone-camionnette-espion-milipol-le-grand-bazar-de-la-securite.N906149

  • US Army chief: How COVID-19 will impact modernization is a wait-and-see situation

    March 20, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    US Army chief: How COVID-19 will impact modernization is a wait-and-see situation

    By: Jen Judson WASHINGTON — It's realistic for the U.S. Army to wait and see how the new coronavirus might affect its ambitious plans to modernize the force, Army Chief of Staff Gen. James McConville told Defense News in a March 18 interview. With major economic centers on both U.S. coasts restricting public gatherings, and with most of the country attempting social distancing to avoid the spread of the virus, industry as of this week appeared to still be sorting out how it would handle its own workforce and keep employees safe from infection. Much of what the Army is doing to address its top modernization priorities depends on industry collaboration and efforts. “We're watching what is happening,” McConville said. “We do have some high-priority tests that we think are continuing to go, and industry is doing the same thing that we're doing — they're putting measures in place with their people. They're weighing risks to the force and, really, risk to their missions as they do that.” Some high-priority tests will continue, he said, while “other ones will slow down.” While he did not list all high-priority tests that would likely go on, McConville noted that the Army is still moving forward with contract awards and making progress where it can. He pointed to the service's recent contract awards to Bell and Sikorsky to continue to develop and test aircraft for the Army's Future Long Range Assault Aircraft program. That contract was awarded on the expected timeline. The Army also tested its Extended Long-Range Cannon Artillery system at Yuma Proving Ground, Arizona, on March 6, but that was only as uncertainty was just beginning to build in the U.S. regarding the spread of COVID-19. The service has an abundance of important milestones planned across its modernization priorities this year, to include a robust flight test program for the Precision Strike Missile at White Sands Missile Range in New Mexico, and a likely imminent flight test of a jointly developed hypersonic glide body. The Army also plans to award contracts to build Future Attack Reconnaissance Aircraft prototypes this month. But it's unclear how other programs will move forward. The previously troubled Integrated Battle Command System for air and missile defense is finally slated to go into a limited-user test in May this year, which is critical to the program's success. The Army planned to conduct a series of industry days to restart its effort to competitively procure a Bradley Infantry Fighting Vehicle replacement, but according to sources, a virtual industry day to kick things off has been postponed and the Army plans to post informational slides to industry on Beta.Sam.Gov in the near term instead. “The acquisition cycle continues to move on,” McConville said, “and we'll have a better idea over the next 30 to 60 days, as more measures are implemented in certain states, what and how that really plays out.” https://www.defensenews.com/smr/army-modernization/2020/03/19/army-chief-how-covid-19-will-affect-army-modernization-is-a-wait-and-see-situation/

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