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June 23, 2021 | Local, C4ISR, Security

Triode renforce la sécurité de ses données gr'ce au programme de certification CyberSécuritaire Canada - Stiq

La cybersécurité étant un enjeu très important, Triode fait maintenant partie de la première cohorte […]

https://www.stiq.com/2021/06/21/triode-renforce-la-securite-de-ses-donnees-grace-au-programme-de-certification-cybersecuritaire-canada

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    April 16, 2024 | Local, Land

    Thales to provide seven more GM200 MM/C radars for Dutch Army

    The Netherlands' Command Materiel and IT (COMMIT) has finalised an agreement with Thales to purchase seven GM200 MM/C radars.

  • Flash-conférence avec le Commandant de la Marine royale canadienne - jeudi 8 déc.-22 à 19h

    December 6, 2022 | Local, Naval

    Flash-conférence avec le Commandant de la Marine royale canadienne - jeudi 8 déc.-22 à 19h

    Bonjour à tous,   Nous souhaitons vous inviter à un flash-conférence, en français, organisé par l'Institut militaire de Québec (IMQ) dans le cadre de la tenue du Conseil de la marine à Québec. La conférence virtuelle se tiendra sur Zoom, le jeudi 8 décembre 2022 à 19h00.   Le Commandant de la Marine royale canadienne (MRC), le Vice-amiral Angus Topshee, OMM, MSM, CD partagera sa vision de l’avenir de la marine canadienne. Une occasion d’obtenir une mise à jour éclairante sur les activités de la MRC et son implication dans les opérations internationales à venir.   Voici les détails de la connexion : No de réunion : 829 4516 7595 Code secret : imq1929$ Lien d’accès direct : https://us02web.zoom.us/j/82945167595?pwd=L0JaRmhFbjdtdzJ3VWRpUzRUYXJxUT09   En espérant vous avoir des nôtres (virtuellement)!   //   Good day,   We would like to invite you to a flash conference, in French, organized by the Institut militaire de Québec (IMQ) in the context of the Conseil de la marine in Quebec City. The virtual conference will be held on Zoom on Thursday, December 8, 2022, at 7:00 p.m.   The Commander of the Royal Canadian Navy (RCN), Vice-Admiral Angus Topshee, OMM, MSM, CD will share his vision of the future of the Canadian Navy. An opportunity to get an enlightening update on the activities of the RCN and its involvement in upcoming international operations.   Here are the connection details: Meeting number: 829 4516 7595 Secret code: imq1929$ Link:  https://us02web.zoom.us/j/82945167595?pwd=L0JaRmhFbjdtdzJ3VWRpUzRUYXJxUT09   Hoping to have you with us (virtually)!

  • Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    October 24, 2018 | Local, Land

    Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

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