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August 15, 2018 | International, Aerospace

Tinker cracks down on tool checkouts after ‘lapses’ lead to impounded aircraft

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The 552nd Maintenance Group at Tinker Air Force Base in Oklahoma has issued strict new rules on who can check out tools after several recent “minor lapses” in keeping track of them.

In an emailed statement Monday, 552nd Air Control Wing spokesman Ron Mullan said the lapses in tool accountability did not cause any mishaps. However, the lost tool incidents led the 552nd to impound two aircraft to make sure they were safe before returning them to full flying status.

“The 552nd Air Control Wing employs a multitude of standard procedures regarding activities in and around aircraft to ensure safety," Mullan said. ”Occasionally, despite sound procedures, we identify emerging trends which cause us to review and adjust these procedures as needed to maintain the highest standards of safety."

The 552nd Maintenance Group supports the wing's 28 E-3 Sentry, or AWACS, aircraft. The wing's official website said those planes are worth a total of $8.4 billion.

“Ensuring the safety, health and welfare of the men and women of the 552nd Air Control Wing is always a top priority and essential to mission effectiveness,” wing commander Col. Geoffrey Weiss said in a Thursday email. “Therefore, I have asked our maintenance group commander and his team to review tool checkout and accountability procedures and make necessary changes to ensure our ground and flight operations remain fully safe and effective across the full range of our mission responsibilities.”

Full Article: https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2018/08/14/tinker-cracks-down-on-tool-checkouts-after-lapses-lead-to-impounded-aircraft/

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    July 23, 2018 | International, Aerospace

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    PARIS (Reuters) - Boeing serait "ravi" de participer au nouveau programme d'avion de combat britannique, même si le projet doit encore être précisé, a déclaré vendredi à Reuters Leanne Caret, patronne de Boeing Defense, Space & Security. La Grande-Bretagne, qui n'a pas développé d'avion de combat seule depuis les années 1960, a dévoilé lundi son futur avion "Tempest" au salon de Farnborough, près de Londres, parallèlement au programme franco-allemand piloté par Paris à horizon 2040. "Ils sont encore en train de mener leurs propres études militaires et de déterminer où ils vont", a dit Leanne Caret au salon de Farnborough. "S'il y a une opportunité pour Boeing de participer et de jouer un rôle, nous serons absolument honorés et ravis d'être du voyage". Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation a raillé jeudi le "réveil" des Britanniques vis-à-vis des avions de combat, tandis que ce projet crée une nouvelle lutte fratricide comme celle que se livrent actuellement le Rafale, l'Eurofighter et le Gripen suédois.. Il reste à savoir si les deux projets pourraient fusionner à la suite de la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne prévue en mars 2019 ou si Londres nouera de nouvelles alliances, peut-être avec le suédois Saab, constructeur du Gripen. Une alliance entre le britannique BAE Systems, Saab et peut-être le brésilien Embraer, récemment allié à Boeing, pourrait faire émerger un sérieux concurrent au projet franco-allemand. Boeing, qui construit les F/A-18E/F et F-15, pourrait ainsi trouver l'occasion de revenir dans un programme de développement d'avion de combat après avoir perdu le contrat du F-35 au détriment de Lockheed Martin en 2001.

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    Le missile Air-Air très longue portée russe R37M entrera bientôt en service

    FABRICE WOLF Avec plus de 4000 avions de combat modernes de tout type, l'OTAN dispose de la plus formidable force aérienne au monde, très supérieure aux forces russes (1300 appareils) et chinoises (1500 appareils). Consciente qu'elle ne pourra jamais rivaliser numériquement avec cette force, la Russie a développé une stratégie de défense aérienne multi-couches reposant sur des systèmes de défense anti-aérienne à longue, moyenne et courte portée, intégrée dans un réseau global et coordonnant ses actions avec l'importante flotte de chasseurs russes de plus de 800 appareils Su27-30-35 et MIG-29, et les 130 intercepteurs MIG-31. Ainsi organisée, la défense anti-aérienne russe représente un challenge important pour les forces aériennes occidentales, qui doivent utiliser des avions de brouillage ou des appareils furtifs pour espérer garder la supériorité aérienne. Pour articuler cette puissance aérienne, qui représente aujourd'hui 80% de la puissance de feu de l'Alliance selon le British Defense Comittee, l'OTAN déploie un nombre important d'appareils de veille aérienne AWACS, de surveillance électronique, et une flotte massive d'avions ravitailleurs. Le missile à longue portée hypersonique R37M a été développé pour engager et abattre ces appareils, avec une portée supérieure à 300 km et une vitesse supérieure à Mach6. Destiné à équiper les intercepteurs rapides MIG-31 et les chasseurs lourds furtifs Su-57, le R37M permettra de repousser les appareils de soutien de l'OTAN très loin de la zone d'engagement, limitant de fait très sensiblement leurs performances. Un appareil qui, comme le F-35 américain, n'a qu'un rayon d'action de 1000 km, sera ainsi largement contraint s'il doit se ravitailler à 500 km de ses objectifs. En outre, les forces russes auront la possibilité de mener des « raids tactiques », des incursions rapides destinées à porter le danger au plus profond du dispositif adverse, suivi d'un retour rapide dans la zone de supériorité alliée. Au delà des AWACS et ravitailleurs, le nouveau missile menacera donc l'ensemble des appareils lourds de l'alliance atlantique, incluant les avions de transport en charge du train logistique transatlantique indispensable, ainsi que les appareils de patrouille maritime, surtout ceux évoluant à moyenne altitude comme le P8 Poséidon, très exposés dès qu'ils évolueront à moins de 2000 km d'une base aérienne russe. Les mêmes causes ayant les même conséquences, la Chine a elle-aussi développé un missile à très longue portée, estimée à 400 km, et destiné à abattre les appareils de soutien occidentaux. Le nouveau missile, dont la nomenclature est encore floue, a déjà été aperçu sous les ailes des J-11 et des J-16 de l'Armée Populaire de Libération. Ce type de missile n'a pas d'équivalent en Occident. En effet, les forces aériennes chinoises et russes dépendent beaucoup moins des appareils de soutien que leurs homologues occidentaux. En revanche, les états-majors de l'OTAN ont privilégié des missiles d'une portée inferieure, de l'ordre de 150 km, mais très efficaces contre les agiles chasseurs adverses, comme le missile européen Meteor. L'entrée en service du R37M devra donc engendrer une rapide évolution des doctrines aériennes de l'OTAN, comme dans la conception des appareils lourds, qui devront nécessairement être équipés de systèmes d'autodéfense performants capables de détecter, brouiller et leurrer de tels missiles. https://analysedefense.fr/blogs/articles/le-missile-air-air-tres-longue-portee-russe-r37m-entrera-bientot-en-service

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