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December 14, 2018 | International, Naval

Three shipbuilding teams shortlisted to build new warships in UK

Teams will receive contracts worth up to £5 million to push ahead with plans to build five new Type 31e warships.

Three shipbuilding teams have been awarded multi-million-pound contracts to push ahead with plans to build five new Type 31e warships in the UK for the Royal Navy, Defence Minister Stuart Andrew has announced today in Portsmouth.

The Minister revealed that teams led by BAE Systems, Babcock and Atlas Elektronik UK have been shortlisted for the competition to build the five frigates for £1.25 billion. Each group has today been awarded a contract worth up to £5 million to fund the next stage of their plans, with the preferred bidder for the design and manufacture of the ships due to announced by the end of next year. The MOD want the first ship delivered in 2023.

Speaking at Her Majesty's Naval Base in Portsmouth, Defence Minister Stuart Andrew said:

This is the first frigate competition the UK has run in a generation, and today we are funding three shipbuilding teams with extremely exciting concepts to continue developing their plans. Next year we will announce the winning bidder, and one of these designs will go on to bolster our future fleet with five new ships, creating UK jobs and ensuring our Royal Navy maintains a truly global presence in an increasingly uncertain world.

The awarding of the contracts is a key milestone in the National Shipbuilding Strategy, which was launched in September 2017. The Strategy met the challenges set by an independent report written by Sir John Parker, a figure with a wealth of leadership and boardroom experience in shipbuilding, and was underpinned by the commitment to build the new Type 31e ships.

The bold Type 31e programme will move through procurement at an unprecedented pace: the vessel will commence production within 3 years of the launch of the programme, far quicker than similar programmes of this type.

The ships will make up the next generation of the Royal Navy fleet, along with eight Type 26 warships which will start being delivered from the mid-2020s. The names of all eight Type 26 frigates have now been announced, and the Defence Secretary Gavin Williamson has also outlined that they will be homed in Devonport. The decision on where the Type 31e frigates will be based is still to be made.

The Minister made the announcement on-board HMS Diamond, which returned to Portsmouth last month having been in the Mediterranean.

https://www.gov.uk/government/news/three-shipbuilding-teams-shortlisted-to-build-new-warships-in-uk

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  • Florence Parly cherche à rassurer sur les prélèvements de Rafale pour la Grèce

    September 21, 2020 | International, Aerospace

    Florence Parly cherche à rassurer sur les prélèvements de Rafale pour la Grèce

    La ministre des Armées Florence Parly assure que les prélèvements de Rafale sur la flotte de l'armée de l'Air au profit de la Grèce, qui compte acquérir 18 avions de combat français dont plusieurs d'occasion, seront réalisés "avec infiniment de sérieux" pour éviter tout impact. Revenant sur la vente de Rafale à la Grèce, la ministre des Armées Florence Parly cherche à rassurer, en promettant de minimiser l'impact pour l'armée de l'Air de la France. Dans un contexte de tensions accrues avec la Turquie voisine, Athènes a annoncé samedi son intention d'acquérir 18 Rafale, dont six appareils neufs et douze d'occasion, selon le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, qui a évoqué de premières livraisons à la Grèce en 2021. "C'est une excellente nouvelle pour l'Europe", a insisté Florence Parly, interpellée en commission défense de l'Assemblée nationale sur le risque de trou capacitaire pour l'armée de l'Air, très engagée sur de multiples fronts mais qui va devoir céder à Athènes certains appareils sur sa flotte actuelle de 102 Rafale. "C'est ma priorité de m'assurer que de tels prélèvements n'auront pas d'impact opérationnel sur nos forces. C'est ma responsabilité première", a réagi Mme Parly. "Nous examinons ces possibles prélèvements avec infiniment de sérieux", a-t-elle assuré. "Est-ce à dire qu'il n'y a pas de marge de manoeuvre, qu'il n'y a pas de solution intelligente? La réponse est évidemment non", a poursuivi la ministre. "Il y aura un petit creux sur une période qui reste à définir mais on fera en sorte de minimiser l'impact au maximum pour l'armée de l'Air", commente-t-on au ministère des Armées, en soulignant notamment que "l'armée de l'Air rénove 55 Mirage qui permettent d'assumer un certain nombre de missions". Entre 2022 et 2024, Dassault Aviation doit produire 28 appareils pour la France. En fonction de la cadence de production, tout ou partie des 6 avions neufs grecs pourraient être finalement prélevés sur les 28 à produire pour Paris. "Nous ne pouvons pas à la fois vouloir promouvoir une politique de préférence européenne et puis nous désoler lorsque la Grèce fait ce choix", une première pour un pays européen, a poursuivi la ministre devant la commission parlementaire, en vantant également "une très bonne nouvelle pour notre industrie" dans un contexte économique profondément assombri par la crise sanitaire. "Sans les exportations d'armement, nous ne pourrions pas assurer à nous seuls l'entretien et la pérennité des chaînes industrielles", a-t-elle insisté. En outre, "les activités d'exportation permettent aussi de réduire le coûts d'acquisition pour nos armées des capacités dont nous avons besoin". https://www.capital.fr/economie-politique/florence-parly-cherche-a-rassurer-sur-les-prelevements-de-rafale-pour-la-grece-1380855

  • Armement : l'Italie au nirvana en Egypte, la France aux oubliettes

    June 15, 2020 | International, Naval

    Armement : l'Italie au nirvana en Egypte, la France aux oubliettes

    Par Michel Cabirol | 13/06/2020, 8:00 | L'Italie va vendre deux frégates FREMM à l'Égypte, autrefois cliente de l'industrie d'armement française. Rome souhaite également vendre de 12 à 24 Typhoon au Caire. L'erreur majeure de la France en Égypte continue d'exploser à la figure de Paris. Comme prévu, l'Italie va réussir à vendre au Caire deux frégates FREMM, qui était initialement destinées à la marine italienne, pour un montant de 1,2 milliard d'euros. Depuis la visite du 28 janvier 2019 d'Emmanuel Macron en Égypte où il s'était autorisé à donner la leçon sur les droits de l'homme au maréchal Abdel Fattah Sissi chez lui, la France s'est fait complètement sortir du marché de l'armement égyptien au profit notamment de l'Italie et de l'Allemagne. Les nouvelles ventes de Rafale et de corvettes Gowind semblent définitivement enterrées. La vente de deux FREMM italiennes va se concrétiser alors que l'affaire entre Le Caire et Rome portant sur l'étudiant italien Giulio Regeni, retrouvé mort et atrocement mutilé et torturé, n'a jamais été résolue en dépit des demandes de l'Italie. Quelle ironie du sort pour la France, qui a joué la carte des droits de l'homme début 2019 alors que l'Italie a quant à elle préféré la realpolitik même si elle tente de ménager son opinion publique : "Le gouvernement et les institutions italiennes continuent d'exiger la vérité des autorités égyptiennes par le biais d'une coopération réelle, efficace et effective", a assuré mercredi aux députés le ministre des Affaires étrangères Luigi di Maio. "La vente des frégates est une opération commerciale qui n'a rien à voir avec la recherche de la vérité sur la mort de Giulio Regeni. Au contraire, c'est seulement en maintenant les canaux ouverts que nous pouvons penser obtenir quelque chose de l'Egypte", ont pourtant expliqué des sources gouvernementales relayées par le quotidien La Repubblica. Un feu vert imminent Le gouvernement italien a donné jeudi soir son feu vert à la vente des deux frégates à l'Égypte. Ces deux frégates seront prélevées sur le programme de la Marina militare (9e et 10e) : Spartaco Schergat et Emilio Bianchi. Fincantieri s'est notamment appuyé pour cette vente sur un intermédiaire proche de Sissi, l'homme d'affaires Ahmed Elsewedy. Il ne reste plus que l'accord formel d'une administration en charge des exportations d'armements pour rendre définitive cette vente. Le feu vert pourrait être donné ce dimanche, selon nos informations. Le projet est financé à 100% par un crédit comme le souhaitait Le Caire. Il est piloté par Cassa Depositi e Prestiti (CDP) associé à la banque... https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/armement-l-italie-au-nirvana-en-egypte-la-france-aux-oubliettes-850137.html

  • Une législation américaine bloque la vente de «Rafale» à l'Egypte par la France

    February 20, 2018 | International, Aerospace

    Une législation américaine bloque la vente de «Rafale» à l'Egypte par la France

    L'information a été révélée par le journal économique français La Tribune. Une nouvelle vente de « Rafale » en Egypte serait bloquée à cause des Etats-Unis. Washington brandit sa législation sur les exportations d'armement pour compromettre la vente de missiles de croisière européen « Scalp » que l'armée égyptienne souhaite à tout prix monter sur ses « Rafale ». Jusqu'à la révolution égyptienne, Le Caire était un très bon client des Etats-Unis, mais les Français et les Russes ont effectué depuis une impressionnante percée dans ce pays. Les autorités françaises essayeraient donc de trouver un arrangement avec les Américains, pour qu'ils autorisent l'exportation vers l'Egypte, de composants fabriqués aux Etats-Unis entrant dans la fabrication de missiles européens. C'est l'un des arguments de poids, des industriels de l'armement sur le vieux continent. « Acheter Européen, pour se soustraire à la domination américaine ». Mais les choses ne sont pas si simples, car les Etats-Unis disposent d'une carte maitresse dans leur jeu, la norme ITAR (International Traffic in Arms Regulation) destinée à réguler leurs ventes d'armes dans le monde. Le problème, c'est qu'elle ne concerne pas uniquement les matériels fabriqués aux Etats-Unis, mais qu'elle peut s'appliquer à tout système d'arme étranger incorporant un composant américain. Dans le cas de l'Egypte, Washington s'offusquerait de la vente de missiles MBDA Scalp assemblés dans une usine du Loir-et-Cher dans le centre de la France mais dans lesquels se cachent des éléments fabriqués aux Etats-Unis. Il s'agit souvent de petites puces électroniques. La question s'était déjà posée quand la France voulait vendre des Rafale au Brésil, mais cela n'avait finalement pas pesé significativement sur la négociation. Joint par RFI, le Groupe Dassault certifie qu'il n'y a pas de composants américains dans ses avions de combat, mais qu'il y en a effectivement dans les missiles de croisières qu'emporte le Rafale. L'application de la norme ITAR, n'est toutefois pas toujours aussi rigide. Sous l'administration Obama, la France n'avait pas eu trop à s'inquiéter des blocages de Washington pour vendre des armes au Moyen-Orient mais avec Donald Trump la donne est différente. http://www.rfi.fr/economie/20180216-une-legislation-americaine-bloque-vente-rafales-egypte-france

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