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January 3, 2019 | International, Aerospace

The US Navy's carriers have a gaping hole in their defenses against a growing threat, and drones may soon fill it

Christopher Woody

The return of great-power competition has the US military refocusing on the potential for a conflict with a sophisticated adversary whose submarines can sink the US's supercarriers.

Defense experts are increasingly concerned by a resurgent Russian undersea force and by China's increasingly capable boats.

But the centerpiece of the US Navy's fleet has a decade-old gap in its submarine defenses, and filling it may require new, unmanned aircraft.

Full article: https://www.businessinsider.com/hole-in-navy-carrier-anti-submarine-defenses-may-be-filled-by-drones-2018-12

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  • GE awarded $180 million contract to support T700 engines

    June 25, 2020 | International, Aerospace

    GE awarded $180 million contract to support T700 engines

    Lynn, MA, June 22, 2020 – GE Aviation has been awarded a five-year, $180 million contract by the U.S. Naval Air Warfare Center Aircraft Division (NAWCAD) to repair and overhaul T700 rotorcraft engines in support of the U.S. Navy's MH-60 Seahawk, and the U.S. Marine Corps' AH-1Z Viper and Bell UH-1Y Venom/Huey helicopters. “GE is grateful for the opportunity to provide T700 overhaul and repair support to the US Navy and Marine Corps fleets for another five years,” said Harry Nahatis, vice president and general manager of GE Aviation's Rotorcraft & Turboprop Engines. “This contract will allow GE to work closely with the Navy to improve fleet readiness while reducing cost.” Upon service entry in 1978 in the Sikorsky UH-60 Black Hawk, the T700 quickly proved its mettle in helicopter service, and its operational benefits also made it an ideal derivative as a turboprop powerplant. Today, the T700/CT7 family of turboshaft and turboprop engines power 15 types of helicopters and fixed-wing aircraft with more than 130 customers in more than 50 countries. The T700/CT7 family has surpassed 20,000 units delivered and more than 100 million total flight hours. The T700/CT7 engine line has become increasingly more powerful and reliable during its history. Many technological advances have been incorporated into the subsequent growth versions. Current models in the 2,000-3,000 shaft-horsepower range retain all the proven features and operating characteristics of earlier versions while delivering enhanced performance. The highly reliable T700/CT7 design has proven itself in the harshest environments, logging more than five million flight hours in hot-harsh combat zones like Iraq and Afghanistan. T700/CT7 helicopter engines power a variety of civil aviation and military applications including transport, utility and attack, medical evacuation, air rescue, firefighting, special operations and marine patrol. They serve five branches of the U.S. military, numerous international customers and civil aviation operators. Prime turboshaft applications include the Sikorsky Black Hawk, Seahawk, Jayhawk, Pave Hawk, S-70, S/H-92, CH-148, HH60-W CRH, and VIP transport helicopters; the Boeing AH-64 Apache, Bell UH-1Y Huey, AW-1Z Super Cobra,214ST Super Transport and 525 Relentless, Kaman SH-2G Super Seasprite, NHIndustries NH90, Leonardo AW101 and AW189 and KAI Surion. About GE Aviation GE Aviation, an operating unit of GE (NYSE: GE), is a world-leading provider of jet and turboprop engines, components and integrated systems for commercial, military, business and general aviation aircraft. GE Aviation has a global service network to support these offerings. For more information, visit us at www.ge.com/aviation. Follow GE Aviation on Twitter at http://twitter.com/GEAviation and YouTube at http://www.youtube.com/user/GEAviation # # # For further information, contact: Nick Hurm 513.484.4450 nick.hurm@ge.com View source version on GE Aviation: https://www.geaviation.com/press-release/military-engines/ge-awarded-180-million-contract-support-t700-engines

  • Réfléchir à l’Europe de la défense de demain

    May 22, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Réfléchir à l’Europe de la défense de demain

    (B2) L'Europe doit-elle s'occuper de défense et de diplomatie ? Comment peut-elle le faire ? Observateur patenté des institutions européennes, B2 vous propose quelques pistes de réflexion... On ne peut pas se réjouir simplement que la coopération structurée permanente ait été mise en place ou qu'un Fonds européen de défense soit en train de naitre. L'Europe ne fait ainsi que rattraper un retard à l'allumage. Tous ces projets ont été conçus il y a dix ou vingt ans. Ce qui à l'échelle de l'évolution du monde est quasiment un siècle. Les mettre en place maintenant est indispensable. Mais la donne stratégique évolue. Il importe de continuer à avancer vite, pour rattraper le retard et combler toutes les lacunes. Se reposer sur les 'lauriers' serait une erreur tragique. La doctrine européenne : sans illusion, La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC), alias l'Europe de la défense. Elle n'est pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Ce qu'est l'Europe de la défense. Ce qu'elle n'est pas Mini QG militaire, Fonds européen de la défense, coopération structurée permanente... Ce n'est pas le grand soir annoncé par certains. Mais c'est une étape intéressante permettant à différents projets mis sur la table depuis un ou deux ans de progresser. Union européenne de défense : ce qui avance, ce qui bloque B'tir des structures institutionnelles Les dernières options travaillées au sein de la Commission européenne semblent favoriser une nouvelle direction générale au mandat élargi regroupant la Défense et la Sécurité, selon nos informations. Une DG défense et sécurité d'ici la fin de l'année ?* L'idée d'avoir une commission de plein exercice consacrée aux questions de défense dans le futur Parlement européen est sur la table. Sera-t-elle acceptée ? En route vers une commission Défense au Parlement européen ?* A force de parler d'armée européenne, il faudrait examiner ce que cela imposerait. Ne tentons pas de dire que cette idée est bonne ou mauvaise. Essayons de voir ce que cela supposerait. Imaginons un moment un consensus politique pour créer cette armée. Imaginons des moyens pragmatiques pour la mettre en œuvre. Et si l'armée européenne était un projet d'avenir ? Dynamiser la diplomatie européenne Pour avoir une diplomatie européenne plus réactive, pourquoi ne pas désigner un envoyé ou un représentant spécial pour une zone de crise, ou confier à une troïka ou un duo de pays membres le soin de mener les négociations. Deux outils oubliés de la diplomatie européenne de gestion de crises à ressusciter Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention. Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler. L'Union européenne dispose de représentants spéciaux en Asie centrale, au Moyen-Orient au Sahel, etc. Leur présence est-elle nécessaire aujourd'hui ? Huit représentants spéciaux de l'UE enkystés dans le paysage. Efficacité ? Refonder la gestion de crises Malgré de grands effets de manche, l'Union européenne a perdu en fait son ambition de maintien de la paix qui sur laquelle reposait sa politique de sécurité et de défense. Et cependant, il ne manque pas de raisons et de possibilités d'agir. Que pourrait-elle faire ? Les missions et opérations de sécurité et de défense communes sont aujourd'hui un peu les enfants délaissés de la politique extérieure de l'Union européenne (PESC). Elles ne suscitent que très peu d'attention des responsables européens. Certaines missions et opérations n'ont plus d'efficacité ou sont arrivées à leur terme. Il est temps d'en tirer la leçon ! Opération Sophia, EUBAM Rafah et Libya... l'UE doit apprendre à fermer des missions devenues inutiles Le concept des battlegroups est bon mais il est dépassé aujourd'hui. Cela reste un joujou d'exercice, impossible à mettre en pratique. Pour le rendre déployable trois éléments essentiels peuvent être travaillés : une autorisation politique préalable, des financements préalables, des éléments modulaires. Revoir le concept des battlegroups : une nécessité Développer l'autonomie industrielle Malgré des efforts certains, la plupart des pays européens n'ont pas le réflexe d'acheter chez leur voisin quand ils ne peuvent s'équiper en national. Et ils préfèrent acheter américain. L'achat d'un équipement militaire ne peut se résoudre à une question technique, il y a tout un accompagnement politique, logistique à prévoir que seuls les États-Unis aujourd'hui fournissent. Pourquoi les Européens n'arrivent pas à convaincre lors de l'achat d'équipements militaires ? (article publié jeudi) A suivre... (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2019/05/reflechir-a-leurope-de-la-defense-demain/

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    July 5, 2021 | International, Land

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    The U.S. Army Contracting Command awarded Oshkosh Defence a $152 million contract for the Joint Light Tactical Wheeled Vehicles, trailers and associated kits, the Department of Defense announced.

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