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July 8, 2021 | International, Aerospace

The quiet supersonic airplane that could let you fly faster than ever

With the X-59, NASA and Lockheed Martin want to do the seemingly impossible -- build a jet that flies faster than the speed of sound, without the explosive boom.

https://www.cnet.com/news/nasa-lockheed-martin-x-59-the-quiet-supersonic-airplane-that-could-let-you-fly-faster-than-ever/

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  • Elbit Systems Awarded Approximately $53 Million Contract to Supply Crossbow Unmanned Turreted Mortar Systems for a European Customer

    May 9, 2024 | International, Land

    Elbit Systems Awarded Approximately $53 Million Contract to Supply Crossbow Unmanned Turreted Mortar Systems for a European Customer

    The contract will be performed over a period of 6 years.

  • How GSA is Helping Small Businesses Get Contracts Faster

    July 31, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    How GSA is Helping Small Businesses Get Contracts Faster

    By Jack Corrigan A newly launched pilot program lets the agency's contracting experts help push deals over the finish line. Officials at the General Services Administration on Monday said a new pilot program will speed up the government's adoption of innovative technologies by helping companies in the Small Business Innovation Research program more quickly strike deals with federal agencies. Last week GSA launched a pilot that would open up Assisted Acquisition Services to agencies and vendors in the third and final phase of the SBIR program. Run by the Small Business Administration, SBIR is divided into three phases. The first and second phases focus primarily on research and development, and during the third, companies work to commercialize their products. Under the pilot, GSA would collaborate with both customer agencies and SBIR vendors to hammer out initial contracts. After the products become commercialized, GSA would work to make them more widely available across government. Most of the 13 agencies involved in SBIR don't have specialists dedicated to finalizing phase three contracts, and delegating that responsibility to GSA would enable speedier deals and make products more widely available, said Mark Lee, assistant commissioner of the Federal Acquisition Service Office of Policy and Compliance. “Currently there isn't a shared services offering that provides assisted acquisition for SBIR contracts,” Lee said in a conversation with reporters. “[The pilot] would be setting up that capability across government.” While GSA will offer the additional services to all SBIR participants, Lee said he sees the program making a particular impact on the acquisition of cybersecurity and threat detection products, as well as emerging battlefield technologies. The pilot will be led by the GSA Assisted Acquisition Services' Great Lakes regional office and run through the end of fiscal 2019. Depending on the program's success, GSA will determine whether it can offer the service more broadly, said Senior Procurement Executive Jeff Koses. Koses told reporters the program originated after defense agencies approached GSA looking for ways to streamline the contracting process. The pilot comes as part of the administration's larger push to simplify acquisition policy, he said, while still including “a set of guardrails to make sure that we're innovative but with essential controls.” Koses added he hopes accelerating the contracting process would help attract more small businesses to the federal marketplace, which agencies have historically struggled to do. “I think this is a great example of us listening to our customer agencies, our industry partners and the Small Business Administration and [figuring out] where we can provide value in the federal marketplace,” said Lee. “We think this is an opportunity to inject innovation into the federal marketplace, help support commercialization of these unique solutions and ultimately help grow jobs.” https://www.nextgov.com/it-modernization/2018/07/how-gsa-helping-small-businesses-get-contracts-faster/150151/

  • Entretiens européens de la défense 2019 (1) : une ‘grand strategy’ pour l’Europe (J. Howorth)

    May 23, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Entretiens européens de la défense 2019 (1) : une ‘grand strategy’ pour l’Europe (J. Howorth)

    (B2) L'Union européenne doit reconsidérer sa relation avec les Etats-Unis et l'OTAN pour faire émerger une stratégie de défense européenne. C'est ce qu'a défendu Jolyon Howorth, professeur émérite à la Harvard Kennedy School, durant les seconds entretiens européens de la défense à Paris jeudi (16 mai) Face à la création d'une armée européenne, trois obstacles... Les Américains s'inquiètent des conséquences d'une défense européenne pour leur leadership. Les Britanniques jouent l'ambivalence pour ne pas froisser les États-Unis. Les Européens peinent à se mettre d'accord sur la marche à suivre. Trois obstacles qui ont fait « échouer » les deux premières tentatives de forger une armée européenne, la Communauté Européenne de Défense (CED) dans les années 1950 et la première version de la politique de défense (la PESD ou politique européenne de sécurité et de défense) à la fin des années 1990 début 2000, et qui continuent à freiner les nouvelles initiatives. Les Américains, d'accord sur le principe d'une défense européenne Les Américains, souvent critiqués pour le retard que prennent les initiatives européennes en matière de défense, n'étaient pas toujours défavorables à l'idée et ne s'y « opposent pas par principe, au contraire ». Mais une question les taraude, celle des « conséquences pour le leadership de l'Alliance, voire pour son avenir » si une défense européenne crédible devait se former. D'où l'ambivalence des États-Unis sur cette idée que Eisenhower regardait pourtant en 1951 comme un des objectifs de l'Alliance, idée légitimée par les multiples injonctions américaines à augmenter les budgets européens de défense. Cette position confuse s'inscrit dans le débat existentiel qu'est la définition de la prochaine « grand strategyaméricaine », explique Jolyon Howorth. ... mais des inquiétudes subsistent sur leur leadership au sein de l'Alliance Après « quarante ans de leadership incontesté des alliés européens », le courant « liberal hegemon » qui définit la politique des Etats-Unis depuis longtemps se voit contester par les partisans de « l'offshore balancing ». Lesquels prônent un repli américain sur « un nombre fort limité de bases stratégiques » et un « transfert aux Européens de la responsabilité principale de leur propre sécurité ». La question reste ouverte alors que Donald Trump « semble s'y associer », sans toutefois « comprendre un instant le sens profond de ce débat stratégique ». Les Britanniques, réfractaires à toute intégration européenne Les Britanniques ont été, eux, « beaucoup plus réfractaires que les Américains au projet dès le début ». Et ils continueront de « freiner l'avancée des Européens vers une autonomie stratégique », rendant l'axe Paris-Berlin « d'autant plus urgent ». La vision britannique est celle d'une sécurité européenne b'tie sur une « clé de voûte » : l'OTAN. Les Européens étant simplement relégués à un rôle « complémentaire ». C'est pourquoi « Londres a bloqué toute avancée » qui aurait pu mener à une armée européenne tout en réclamant pourtant « à cor et à cri » un « engagement inconditionnel » à la sécurité européenne, selon le professeur, lui-même British. Pourtant fermement soutenue par Winston Churchill dès le début, la défense européenne a vite inquiété outre-Manche, le Royaume-Uni anxieux de « préserver le partenariat avec les États-Unis ». Le pays avait par exemple refusé la CED dès 1953, craignant que « le succès de l'armée européenne n'entraîne le désengagement américain ». Les Européens indécis et divisés Mais au final, les Européens sont leurs propres ennemis. Les divisions nationales sur la manière de construire l'Europe persistent et se retrouvent, « de façon profonde, au sein des familles politiques ». Mais avec le nouveau contexte géostratégique, de plus en plus complexe et multidimensionnel, « l'Union européenne ne peut plus se permettre le luxe de ses divisions internes ». Il faut repenser notre stratégie pour « passer de l'Europe de la défense, à la défense de l'Europe ». Ces divisions cristallisent l'opposition entre « l'intégrationnisme » prôné par Monnet et « l'intergouvernementalisme », selon le modèle gaullien. La politique de sécurité et de défense commune (PSDC) a, depuis Saint-Malo, et la déclaration franco-britannique de 1998, été développée dans le cadre de ce dernier, un modèle « de plus en plus mis en question ». Les dernières évolutions en matière de défense nous placent à nouveau « face à la confrontation de ces deux méthodologies contradictoires ». Trois défis majeurs aujourd'hui Définir une stratégie européenne propre Il faut développer une « grand strategy » à l'européenne martèle Jolyon Howorth. L'un des problèmes fondamentaux de la première version de la PSDC fut son « manque d'ambition » par « crainte de froisser » les Américains. Pourtant, « la seule ambition qui vaille pour l'Union européenne est d'assumer sa propre défense collective ». Et donc d'arrêter de penser qu'il est impossible pour l'Europe de se défendre sans le soutien américain. Et il faut « pouvoir s'adapter à la nouvelle donne planétaire ». « Après Trump, il n'y aura pas de retour à la case départ ». À quel prix « L'armée européenne ne s'achètera pas parmi les soldes de chez Tati ». Les États membres de l'OTAN ont dépensé « 264 milliards de dollars » sur les questions de défense en 2018. Si tous les pays avaient atteint l'objectif fixé par l'OTAN de 2% du PIB, cela aurait majoré la somme de « près de 102 milliards de dollars ». Mais une armée européenne autonome pourrait représenter jusqu'à « 467 milliards de dollars supplémentaires » rappelle l'universitaire, se basant sur une étude récente du International Institute for Security Studies (IISS) qui fait l'hypothèse d'un retrait américain d'Europe. Un engagement conséquent donc. Et avec qui ? Si beaucoup pensent que l'armée européenne sera forgée « à l'extérieur de l'OTAN, sans les Américains, voire contre », Jolyon Howorth n'en est pas persuadé. Une armée européenne ne doit pas être construite contre les Américains, mais « en bonne intelligence avec eux ». Car l'Alliance ne va pas se dissoudre de sitôt. Et elle peut avoir un rôle moteur alors qu'il existe actuellement « quatre-vingt projets de coopération » entre l'OTAN et l'UE, et que les Américains « n'arrêtent pas de nous demander des efforts accrus, de nous encourager à assumer le leadership stratégique dans notre voisinage ». Il faudrait plutôt revenir au scénario initial : une alliance « rééquilibrée » dans laquelle les Européens « prennent graduellement la part du lion » et les Américains jouent « le rôle de facilitateurs ». Pour former une alliance qui ne soit pas « structurée par la dépendance, encore moins par la servitude ». (Coline Traverson st.) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/23/entretiens-europeens-de-la-defense-2019-une-grand-strategy-pour-leurope-j-howorth/

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