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February 21, 2024 | International, Aerospace

ST Engineering unveils wheeled ground robot equipped with aerial drone

The firm completed development of the four-wheel drive electric vehicle last year, but is only now showing it to the public.

https://www.c4isrnet.com/unmanned/2024/02/21/st-engineering-unveils-wheeled-ground-robot-equipped-with-aerial-drone/

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  • Northrop Grumman Delivers 500th AN/APG-81 AESA Radar for the F-35 Lightning II

    November 8, 2019 | International, Land

    Northrop Grumman Delivers 500th AN/APG-81 AESA Radar for the F-35 Lightning II

    Baltimore - November 7, 2019 - Northrop Grumman Corporation (NYSE: NOC) has delivered its 500th AN/APG-81 fire control radar for the F-35 Lightning II. The Northrop Grumman AN/APG-81 active electronically scanned array is the cornerstone of the F-35's advanced sensor suite, providing unparalleled battlespace situational awareness that translates into platform lethality, effectiveness and survivability. “As a principal member of the Lockheed Martin-led F-35 industry team, our continued investment in facilities and equipment, production enhancements in process and design, and expanded supply chain capability through second sourcing helped reach this milestone,” said Chris Fitzpatrick, director, F-35 programs, Northrop Grumman. “The 500th delivery of this top-of-the-line fighter radar was made possible by our continuous focus on quality and excellence across our company.” The AN/APG-81 radar has long-range active and passive air-to-air and air-to-ground modes that support a wide range of demanding missions. These modes are complemented by an array of stealth features as well as electronic warfare and intelligence, surveillance and reconnaissance functions. Northrop Grumman plays a key role in the development, modernization, sustainment and production of the F-35. In addition to producing the AN/APG-81 radar, the company manufactures the center fuselage and wing skins for the aircraft, produces and maintains several sensor systems, avionics, mission systems and mission-planning software, pilot and maintainer training systems courseware, electronic warfare simulation test capability, and low-observable technologies. To learn more about Northrop Grumman's role on the F-35 Lightning II, visit this website. Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in autonomous systems, cyber, C4ISR, space, strike, and logistics and modernization to customers worldwide. Please visit news.northropgrumman.com and follow us on Twitter, @NGCNews, for more information. View source version on Northrop Grumman: https://news.northropgrumman.com/news/releases/northrop-grumman-delivers-500th-anapg-81-aesa-radar-for-the-f-35-lightning-ii

  • Le Parlement canadien se réunit de nouveau après la formation du gouvernement libéral minoritaire

    December 10, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Le Parlement canadien se réunit de nouveau après la formation du gouvernement libéral minoritaire

    Par Roger Jordan 9 décembre 2019 La Chambre des communes du Canada s'est réunie de nouveau jeudi pour la première fois depuis les élections fédérales du 21 octobre, qui ont abouti à un gouvernement libéral minoritaire. Ayant perdu plus de 30 sièges par rapport à son premier mandat, le premier ministre Justin Trudeau a clairement indiqué qu'il cherchera un «terrain d'entente» avec les forces de la droite dure du Parti conservateur, tout en comptant sur son partenariat étroit avec les syndicats et le soutien des néo-démocrates (NPD) pour donner à son gouvernement minoritaire une couverture «progressiste». Le discours du Trône du gouvernement libéral, prononcé par la gouverneure générale Julie Payette, a principalement été consacré à cultiver l'image «progressiste» frauduleuse des libéraux. Des promesses ont été faites pour lutter contre les changements climatiques, travailler à la «réconciliation» avec la population autochtone, élargir l'accès aux services de santé mentale, introduire un régime fédéral d'assurance-médicaments et aider la «classe moyenne» avec une modeste réduction des impôts et une augmentation du salaire minimum fédéral. Le but d'une telle posture progressiste a été révélé cette semaine par la performance de Trudeau au sommet du 70e anniversaire de l'OTAN à Londres. S'exprimant aux côtés du président américain Donald Trump, Trudeau s'est vanté que son gouvernement a déjà entrepris une augmentation de plus de 70 % des dépenses militaires d'ici 2026 et qu'il prévoit en faire davantage. Trudeau a ensuite annoncé mercredi que le Canada affectera six autres chasseurs à réaction et une frégate à la Force de haute disponibilité de l'OTAN, qui vise à faciliter la mobilisation de 30 bataillons terrestres, 30 escadrons aériens et 30 navires de combat dans un délai de 30 jours en cas de crise de guerre avec la Russie. Cela amène la contribution totale du Canada à 12 avions de chasse, une force opérationnelle expéditionnaire aérienne, un avion de patrouille maritime, trois frégates, un sous-marin, un bataillon d'infanterie mécanisée, un hôpital militaire et une section de lutte contre la contamination biologique, radiologique et nucléaire. Lors de l'annonce du nouveau déploiement, Trudeau a salué la participation de l'armée canadienne à une série d'interventions agressives menées par les États-Unis autour du monde. «Aujourd'hui, le Canada dirige des missions de l'OTAN en Lettonie, en Irak et des forces maritimes de l'OTAN en mer Méditerranée et dans la mer Noire, et il fait progresser le programme sur les Femmes, la paix et la sécurité», a-t-il déclaré. Dans une section du discours du Trône largement ignorée dans la couverture médiatique, intitulée «Positionner le Canada pour réussir dans un monde incertain», le gouvernement libéral a décrit sa politique étrangère militariste agressive. Derrière les invocations creuses de «démocratie», de «droits de l'homme» et du «droit international», le gouvernement s'est engagé à renforcer l'engagement du Canada envers l'OTAN et à «défendre l'ordre international fondé sur des règles lorsque cet ordre est remis en question, particulièrement lorsqu'il s'agit de questions de commerce ou de politique numérique». L'«ordre fondé sur des règles» est l'hégémonie mondiale de l'impérialisme américain, qui s'est maintenue depuis la Seconde Guerre mondiale gr'ce au déploiement impitoyable de forces militaires sur chaque continent. Le fait que les libéraux soient prêts à défendre cet ordre «particulièrement lorsqu'il s'agit de questions de commerce ou de politique numérique» est une attaque claire contre la Chine, montrant clairement que l'écrasante majorité de la bourgeoisie canadienne soutient la volonté de Washington d'isoler économiquement son concurrent stratégique et de se préparer au conflit militaire avec lui. Le programme de droite du nouveau gouvernement ne se limite pas aux questions de politique étrangère. L'engagement à chercher un «terrain d'entente» avec les autres partis politiques et les gouvernements provinciaux sert d'écran de fumée pour établir une étroite collaboration avec les forces de la droite dure, notamment les conservateurs unis de Jason Kenney en Alberta, les conservateurs de Doug Ford en Ontario, la Coalition Avenir Québec de François Legault et Scott Moe en Saskatchewan. Depuis les élections fédérales, le gouvernement Kenney a déposé un budget provincial contenant des réductions de dépenses publiques de plus de 10 % en termes réels et a exigé que les travailleurs du secteur public acceptent des réductions salariales allant de 2,5 à 5 %. Ford a imposé un plafond annuel de 1 % sur les augmentations de salaires et d'avantages sociaux d'un million de travailleurs du secteur public pour les trois prochaines années et se prépare à criminaliser les grèves des enseignants. Trudeau a récemment tenu une réunion de réconciliation avec Ford, et les deux politiciens se sont engagés à travailler ensemble. Cela faisait suite à une campagne électorale au cours de laquelle Trudeau et les libéraux, avec l'appui des syndicats, se sont présentés comme des opposants déterminés à Ford et à ses mesures d'austérité. Cela a permis aux libéraux de remporter 79 des 121 sièges de l'Ontario et de défendre leur position en tant que plus grand parti parlementaire. Fait significatif, la ministre responsable de superviser ces relations intergouvernementales est l'ancienne ministre des Affaires étrangères Chrystia Freeland. Principal faucon de guerre du premier mandat de Trudeau, Freeland s'est fait un nom en tant que critique véhémente de la Russie et en tant que partisane d'un partenariat militaire et stratégique plus approfondi avec les États-Unis. Dans son discours de lancement de la nouvelle politique de défense des libéraux en 2017, elle a affirmé que la «force dure», c'est-à-dire la guerre, faisait partie du passé du Canada et devait faire partie de son avenir. Dans le cadre de son rôle nouvellement élargi de vice-première ministre, Freeland communiquera avec Kenney et Moe dans le but manifeste d'écouter les intérêts de l'ouest. En réalité, cela signifie servir les demandes des grandes pétrolières pour des oléoducs vers les eaux navigables, l'expansion de l'exploration énergétique et l'intensification des attaques contre la classe ouvrière pour accroître les profits des entreprises. Freeland continuera également de jouer un rôle de premier plan dans la gestion des relations canado-américaines. Outre Freeland, une autre nomination importante au Cabinet est celle de Bill Blair au poste de ministre de la Sécurité publique. L'ancien chef de la police de Toronto est connu pour avoir dirigé la répression brutale contre les manifestations anti-G20 en 2010. Pendant le premier mandat des libéraux, il était responsable de la supervision de la sécurité frontalière et a donc joué un rôle de premier plan dans l'intégration du Canada à la chasse aux sorcières d'immigrants de Trump. Les premières actions du nouveau gouvernement Trudeau soulignent que, durant son deuxième mandat, il effectuera un nouveau virage à droite en matière de politique étrangère et intérieure et dépendra encore plus des syndicats et du NPD pour se présenter comme étant «progressiste». Le mois dernier, le gouvernement canadien a joué un rôle de soutien important dans le coup d'État de droite appuyé par les États-Unis qui a renversé le président bolivien Evo Morales. Le Canada a appuyé financièrement la mission de l'Organisation des États américains qui a déclaré nulle et non avenue l'élection présidentielle d'octobre, ouvrant la voie à la prise du pouvoir par les militaires et réprimant brutalement l'opposition populaire. Les libéraux ont également travaillé en étroite collaboration avec la bureaucratie syndicale en coulisse pour mettre fin à une grève d'une semaine des travailleurs du CN selon les conditions de l'entreprise. La ministre des Transports, Marie-Claude Bibeau, a effectivement lancé un ultimatum, affirmant que le gouvernement interviendrait pour mettre fin à la grève par voie législative. Un jour plus tard, le syndicat des Teamsters a mis fin à la grève et a refusé de divulguer toute information sur l'entente qu'il avait conclue. La bureaucratie syndicale a joué un rôle central dans la réélection de Trudeau. Au cours de l'été, les congrès annuels de la Fédération canadienne des enseignants et d'Unifor, deux des syndicats les plus influents du pays, se sont transformés en rassemblements de campagne électorale du Parti libéral. Au cours de la campagne, les syndicats ont continué de revendiquer frauduleusement que les libéraux constituaient une alternative «progressiste» à Andrew Scheer et à ses conservateurs. Le rôle du NPD est particulièrement trompeur. Le chef du NPD, Jagmeet Singh, a cherché mercredi à donner l'impression que son parti est en train de conclure un marché difficile en disant aux journalistes que Trudeau devra compter sur l'appui des conservateurs ou du Bloc québécois s'il ne veut pas faire de «progrès significatifs». Pourtant, Singh et le NPD ont passé toute la campagne électorale à pratiquement supplier les libéraux de former une coalition ou une sorte d'arrangement parlementaire pour établir un gouvernement «progressiste». Lorsque les libéraux ont été impliqués dans le coup d'État bolivien, Singh a publié une déclaration hypocrite qui évitait de critiquer directement le gouvernement Trudeau, notant simplement qu'ils devraient se concentrer sur la promotion de la «démocratie» dans le pays sud-américain. Singh a également rencontré Trudeau à la mi-novembre et a fait remarquer par la suite qu'il était sûr que les deux parties pourraient travailler ensemble. Fait révélateur, après avoir critiqué le discours du Trône de jeudi parce qu'il n'allait pas «assez loin», Singh a quand même laissé la porte grande ouverte pour que les députés néo-démocrates votent en sa faveur. La réalité est que même si Singh et le NPD critiquent parfois les libéraux, le gouvernement Trudeau comptera sur les sociaux-démocrates pour leur fournir la couverture de gauche dont ils ont tant besoin. Pour sa part, le NPD jouera le rôle qui lui a été attribué, en faisant fi des prétentions «progressistes» des libéraux et en leur apportant son soutien au besoin, y compris lors de votes parlementaires cruciaux. Cela renforcera la volonté des libéraux d'aller de l'avant avec des attaques sauvages contre la classe ouvrière partout au pays gr'ce à leur collaboration avec des gens comme Kenney et Ford, et alors qu'ils détournent des dizaines de milliards de dollars prévus pour répondre aux besoins sociaux dans le financement de nouvelles flottes d'avions de guerre et de cuirassés dont le gouvernement a besoin pour promouvoir les intérêts et ambitions impérialistes canadiens sur la scène internationale. https://www.wsws.org/fr/articles/2019/12/09/nglm-d09.html

  • Indian Air Force chief defends Rafale fighter deal against claims of crony capitalism

    October 4, 2018 | International, Aerospace

    Indian Air Force chief defends Rafale fighter deal against claims of crony capitalism

    By: Pierre Tran and Vivek Raghuvanshi NEW DELHI and PARIS — Indian Air Force chief, Air Chief Marshal Birender Singh Dhanoa defended the decision of India's ruling National Democratic Alliance to buy 36 Rafale fightersfrom France, calling it “a game changer" even as the opposition party criticizes the deal. Addressing annual news conference, Dhanoha said: "At the appropriate level, the Indian Air Force was consulted, but it is for the government to choose. It was decided to buy two squadrons through a government to-government deal, to meet up emergency requirements.” India and France signed the €7.8 billion (U.S. $8.99 billion) inter-governmental agreement Sept. 23, under which 36 Rafale fighter aircraft will be procured from Dassault Aviation for Indian Air Force (IAF) in fly away condition. France will invest 30 percent of the total contract value in India's military aeronautics-related research programs and 20 percent into local production of Rafale components to fulfil the mandatory offsets under the deal. The deliveries of Rafale fighters will start this month. India's main opposition party, Indian National Congress, has claimed on several occasions that the Rafale deal is grossly overvalued and tainted by crony capitalism. The Congress said the Modi government had failed to answer several questions on why public sector Hindustan Aeronautics Limited (HAL) had lost the manufacting deal to industrialist Anil Ambani's Reliance Defence Ltd. “The earlier deal for 126 medium multirole combat aircraft reached an impasse during negotiations," Dhanoa said,, referring to a $12 billion medium, multi-role combat aircraft program that was launchced in 2007 but scrapped 10 years later. "We had three options: wait for something good to happen, withdraw the global tender and start over again, or do an emergency purchase. We did an emergency purchase.” Dhanoa called the cost of 36 Rafale was “reasonable and adequate." The latest comments from Dhanoa come after Indian defence minister Nirmala Sitharaman called baseless congressional allegations of a reduction in the number of Rafale jets being purchased from France. Congress has demanded the government explain why instead of 126 Rafale fighter jets, only 36 are being purchased if they were cheaper under the NDA deal than the prior deal. Sitharaman is expected to hold the first annual defence ministers dialogue with her counterpart Florence Parly in Paris Oct. 12-13, as the two countries seek to expand bilateral defense and strategic ties. In France, Dassault said the company had picked Reliance as its Indian partner to meet requirements for local offset established by the Indian Defense Procurement Procedure and Make in India policy. The statement followed controversy sparked by remarks by former French president François Hollande, who said the Indian government selected Reliance as the local partner and that the company "had nothing to say on the subject, we had no choice, we took the partner which was presented.” Dassault put out its statement on the deal for 36 Rafale to India Sept, 21 statement, stating that, in accordance with the policy of Make in India, Dassault Aviation decided to make a partnership with India's Reliance Group. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2018/10/03/indian-air-force-chief-defends-rafale-fighter-deal-against-claims-of-crony-capitalism

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