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June 28, 2018 | International, Naval

Spain cleared to buy five Aegis systems

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WASHINGTON – The U.S. State Department has cleared Spain to purchase five Aegis weapon systems, potentially worth $860.4 million.

The systems would be placed aboard Spanish frigates, which are interoperable with NATO allies such as the U.S. Spain currently operates five existing Aegis-equipped frigates.

Adding the systems to Spain's fleet will “afford more flexibility and capability to counter regional threats and continue to enhance stability in the region,” according to an announcement posted by the Defense Security Cooperation Agency.

In addition to the five systems, the package includes six shipsets Digital Signal Processing, five shipsets AWS Computing Infrastructure MARK 1 MOD 0, five shipsets Operational Readiness Test Systems (ORTS), five shipsets MK 99 MOD 14 Fire Control System, five shipsets MK 41 Baseline VII Vertical Launching Systems (VLS), two All-Up-Round MK 54 Mod 0 lightweight torpedoes, twenty SM-2 Block IIIB missiles and MK 13 canisters with AN/DKT-71 warhead compatible telemeter, as well as other equipment.

Being cleared by the State Department does not guarantee a sale will be completed. Congress can still intervene, and final price and quantity are often altered during negotiations. The proposed sale is being handled under a Foreign Military Sales vehicle.

Should the sale clear, it primary work would be done by Lockheed Martin in Moorestown, NJ, and Manassas, VA; Raytheon in Waltham, MA; and General Dynamics in Williston, VT.

There are also a “significant number of companies under contract with the U.S. Navy that will provide components and systems as well as engineering services” to support the sale, the DSCA notes.

https://www.defensenews.com/smr/nato-priorities/2018/06/26/spain-cleared-to-buy-five-aegis-systems

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  • L’Alliance, navire de recherche de l’Otan, teste des drones sous-marins dans le grand Nord

    July 3, 2018 | International, Naval

    L’Alliance, navire de recherche de l’Otan, teste des drones sous-marins dans le grand Nord

    (B2 – En mer de Norvège) Alors qu'il naviguait entre l'Islande et la Norvège, nous avons pu embarquer quelques heures à bord du Nato Research Vessel (NRV) Alliance. Ce navire original, qui embarque des spécialistes de différents pays de l'Otan, teste des drones sous-marins dans les eaux glacés de l'Arctique. « Nous amenons la science à la mer », résume le docteur Catherine Warner, l'Américaine qui dirige le Centre de recherche et d'expérimentation maritime (CMRE) dont dépend le bateau. Bardé d'antennes, de sonars et de machines expérimentales, ce b'timent fait la fierté de l'Otan. Les officiels en visite à bord y voient une preuve de la capacité des Alliés à développer de nouvelles solutions pour répondre aux besoins des militaires. Les drones sous-marins ou gliders Si le NRV Alliance est susceptible de travailler sur tous les domaines identifiés comme prioritaires par les marines de l'Otan (lutte anti-sous-marines, lutte-anti-mines, renseignement...), ses travaux sont actuellement concentrés sur les drones sous-marins, appelés gliders en anglais. Des engins qui pourraient révolutionner de nombreuses missions. NB : Le NRV Alliance et ses drones participent régulièrement à des manoeuvres de l'Otan, comme l'exercice de renseignement interalliés Unified Vision 2018. Lire ici. Plus endurants que les hommes ? Ces drones séduisent au sein de l'Otan. C'est un haut gradé, riche d'une expérience dans le renseignement militaire maritime, qui en résume tout l'attrait : « Un équipage humain a besoin de retourner au port pour dormir, manger et voir sa famille. Ces robots peuvent rester des mois en mer. » Peu coûteux, discrets, polyvalents, endurants et autonomes, ces engins sont au cœur des expérimentations menées par les 25 scientifiques à bord. Ceux qu'ils utilisent actuellement, des Slocum G3 de l'Américain Teledyne, cartographient les fonds marins et font des relevés de températures et de courants. Des informations cruciales pour repérer et surveiller les mouvements de sous-marins, par exemple. Multiusages Le potentiel des gliders intéresse dans des domaines divers. Ces engins ont été testés dans la lutte anti-mines, avec des robots capables de patrouiller, de reconnaître des menaces et de les signaler à l'homme qui pourra ensuite intervenir. Un moyen intéressant de palier à une flotte européenne de navires de lutte anti-mines de plus en plus vieillissante et coûteuse à remplacer. Dans un autre registre, des drones pourraient mailler les fonds de certains points stratégiques pour surveiller les mouvements de sous-marins adverses. D'ici quelques années, si des puissances étaient capables de bloquer ainsi certains axes clefs, la dissuasion nucléaire pourrait se voir impactée et devrait se réinventer dans sa composante navale. C'est l'un des intérêts du grand Nord, où transitent régulièrement des sous-marins nucléaires. De l'aveu d'un haut gradé de l'Otan, spécialiste en matière de renseignement, ces drones sous-marins sont à l'heure actuelle presque indétectables. Les sous-marins remis en cause L'arrivée de ces submersibles risque de remettre en question tout le fonctionnement sous-marin. D'autant plus qu'ils sont très majoritairement automatisés : vu la difficulté pour assurer les communications sous l'eau, il n'est pas possible de les piloter en permanence. L'homme se contente donc en réalité de suivre les mouvements sur des écrans, ne donnant que quelques ajustements pour les remontées régulières en surface. Une évolution stratégique qui rappelle au docteur Catherine Warner un autre grand changement au sein de l'US Air Force, où elle s'occupait de plusieurs programmes de drones : « Les sous-mariniers sont pour l'instant sceptiques. Comme pour les pilotes de l'US Air Force lorsque les Predator sont arrivés à l'époque. Mais aujourd'hui, ils ont pleinement intégré l'intérêt de ces drones et ils ont accepté de travailler dessus. » Un navire presque unique Conçu sur mesure Le NVR Alliance est un navire conçu sur mesure pour les besoins de l'Otan, dans les ateliers de l'Italien Fincantieri. Livré en 1988, il embarque une multitude d'équipements de recherche qui en font un laboratoire en pointe dans le domaine des études maritimes. Il dispose des dernières technologies dans les domaines océanographique, acoustique, météorologique ainsi que de son propre atelier pour réparer ou modifier le matériel. « La force de ce navire, explique un scientifique à bord, c'est qu'il permet d'aller tester des idées dehors, en conditions réelles. » Le b'timent peut de fait aller naviguer dans les eaux polaires. Le tout avec des conditions de vie à bord qui restent très confortables : la quasi-totalité des chercheurs dispose de cabines individuelles ! L'Alliance au sein de l'Otan Le NRV Alliance est, avec le CRB Leonardo, l'un des deux navires détenus en propre par l'Otan. Rattaché au Centre de recherche et d'expérimentation maritime (CMRE) de La Spezia (Italie), il est chargé de tester des technologies au profit des Alliés. Le b'timent a longtemps été opéré par des marins allemands, jusqu'en 2015. Pour simplifier la logistique dans son port d'attache, il a été transféré aux mains de la marine italienne qui a rapidement séduit les scientifiques à bord avec sa botte secrète : la pizza en guise de casse-croûte nocturne ! Des pionniers pas toujours suivis Les équipes du NVR Alliance travaillent en collaboration avec des industriels et des universités. Ils développent souvent leurs propres solutions aux problématiques identifiées. Ils ont par exemple acheté un drone Bluefin au Français Thales, dans lequel ils ont intégré leurs propres équipements. Le fabricant a pu bénéficier des retours et progresse ainsi dans son développement, gr'ce aux essais de l'Otan. Côté autorité publique, l'enthousiasme n'est pas toujours aussi présent. De l'aveu du docteur Catherine Warner, les découvertes à bord ne sont pas toujours suivies par les États commanditaires qui hésitent à poursuivre les investissements. https://www.bruxelles2.eu/2018/07/03/lalliance-navire-de-recherche-de-lotan-teste-des-drones-sous-marins-dans-le-grand-nord/

  • Raytheon tests information-sharing technology with JADC2 in mind

    November 18, 2022 | International, C4ISR

    Raytheon tests information-sharing technology with JADC2 in mind

    The demonstration included two locations as well as a range of hardware, waveforms and data formats.

  • Iron Dome batteries activated to fill cruise missile defense gap

    November 17, 2020 | International, Land

    Iron Dome batteries activated to fill cruise missile defense gap

    By: Jen Judson WASHINGTON — The Army has activated two air defense artillery batteries at Fort Bliss, Texas, that will evaluate the Iron Dome system for possible integration into the Army's air-and missile defense architecture, according to a Nov. 13 statement from the service. The Iron Dome batteries will serve as an interim capability to fill a cruise missile defense gap. The change was mandated by Congress while the Army determines a long-term solution to combat such threats in addition to countering rockets, artillery, mortars and drones. The Army took receipt of the first Iron Dome battery in Israel in October. The Fort Bliss-based units are expected to receive one Iron Dome system in December followed by the second in January. To stand up the two batteries, the Army is converting a Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) battery and realigning resources from the U.S. Army Air Defense Artillery School — which is a part of the Army's force realignment initiative — according to the statement. The move is expected to be complete by Nov. 16 and will result in 26 additional personnel at Fort Bliss. The Army chose Fort Bliss because of its proximity to White Sands Missile Range, New Mexico, where the systems will be tested and evaluated. The units will spend the next year training, testing and working with the systems to prepare Iron Dome for operation deployment by late 2021. Part of the effort, according to the statement, will include integration of Iron Dome into the Army's Integrated Battle Command System, which is the command-and-control element of the service's future Integrated Air and Missile Defense architecture. The IBCS system is expected to reach a production decision this month and will undergo an initial operational test and evaluation in 2021. Northrop Grumman is the prime contractor on the program. The Army plans to make a final stationing decision on where and how to employ the systems “through either a forward stationing decision and/or Dynamic Force Employment concept in response to contingency operations” when the batteries reach operational deployment capability, the statement notes. The service plans to hold a shoot-off to determine an enduring capability for its Indirect Fires Protection Capability Increment 2 system — designed to defend against C-RAM, UAS and cruise missile threats — in the spring of 2021. Elements of the Iron Dome system will be part of that shoot-off. Iron Dome has a long track record of operational success in Israel and is produced through a partnership with Israeli-based Rafael and Raytheon. Those companies are making plans to produce Iron Dome systems in the United States and are expected to pick a location for production by the end of the year. https://www.defensenews.com/land/2020/11/13/iron-dome-batteries-activated-to-fill-cruise-missile-defense-gap/

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