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August 10, 2020 | International, Aerospace

SpaceX and ULA win massive national security launch contracts

SpaceX and United Launch Alliance have won massive five-year National Security Space Launch contracts from the U.S. Space Force and National Reconnaissance Office, the Space and Missile Systems Center announced Aug. 7.

The contracts will support more than 30 heavy lift launches planned between fiscal 2022 through 2027, with task orders to be made from fiscal 2020 through 2024. 60 percent of launch services orders will go to ULA, with SpaceX taking up the remaining 40 percent. The two firm-fixed-price, indefinite delivery requirement contracts included funding for the first year of launches: $337 for ULA and $316 for SpaceX.

“This is a groundbreaking day, culminating years of strategic planning and effort by the Department of the Air Force, NRO and our launch service industry partners,” said William Roper, assistant secretary of the U.S. Air Force for Acquisition, Technology and Logistics, in a statement. “Maintaining a competitive launch market, servicing both government and commercial customers, is how we encourage continued innovation on assured access to space. Today's awards mark a new epoch of space launch that will finally transition the Department off Russian RD-180 engines.”

Following a Congressional mandate, the Department of Defense began the NSSL competition in 2019 to end U.S. reliance on the Russian propulsion systems used for the Atlas V and Delta IV rockets. A four-way competition ensued, with Blue Origin, Northrop Grumman and ULA designing new rockets for the military and SpaceX submitting their already certified Falcon 9 and Falcon Heavy rockets. The Space and Missile Systems Center claimed that a report issued in April by think tank RAND supported its decision to award contracts to only two launch providers, arguing that the market could only support two.

“This landmark award begins the dawn of a new decade in U.S. launch innovation, while promoting competition, maintaining a healthy industrial base, and reinforcing our global competitive advantage,” stated Lt. Gen. John Thompson, commander of SMC and program executive officer for space. “This acquisition will maintain our unprecedented mission success record, transition National Security Space payloads to new launch vehicles, assure access for current and future space architectures and cultivate innovative mission assurance practices.”

With the announcement, SMC announced the first three missions to be assigned under the new contracts: USSF-51 and USSF-106 for ULA, and USSF-67 for SpaceX. All three will take place in fiscal 2022.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2020/08/07/spacex-and-ula-win-massive-national-security-launch-contracts

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  • Elbit Systems Awarded $53 Million Contract to Supply and Integrate Intelligence Suites to a Navy in Southeast Asia

    July 6, 2020 | International, Naval

    Elbit Systems Awarded $53 Million Contract to Supply and Integrate Intelligence Suites to a Navy in Southeast Asia

    Haifa, Israel, July 1, 2020 – Elbit Systems Ltd. (NASDAQ: ESLT, TASE: ESLT) (“Elbit Systems” or “the Company”) announced today that it was awarded a contract valued at approximately $53 million to provide and integrate intelligence suites onboard vessels of the Navy of a country in Southeast Asia. The contract will be performed over a two-year period. Under the contract Elbit Systems will equip several vessels with suites that provide the capability to perform complex reconnaissance missions, generating an operational picture of the air, surface and underwater domains. Elbit Systems will supply and integrate comprehensive suites comprised of an array of systems from across the Company's maritime portfolio, including: AES-212 electronic intelligence systems, NATACS naval tactical communication intelligence systems and jamming capabilities, SPECTRO XRTM electro-optical payloads, M670 hull mounted sonars, TRAPS towed reel-able active/passive sonars, underwater communication systems and combat management systems. The program also includes maritime radars and satellite communication capabilities. In addition, the Company will provide training services. Elad Aharonson, General Manager of Elbit Systems ISTAR Division, said: “There is growing demand for our maritime solutions. I believe that the unique combination of a diverse portfolio of operational systems and groundbreaking technological innovation enables us to effectively address the evolving needs of maritime forces.” About Elbit Systems Elbit Systems Ltd. is an international high technology company engaged in a wide range of defense, homeland security and commercial programs throughout the world. The Company, which includes Elbit Systems and its subsidiaries, operates in the areas of aerospace, land and naval systems, command, control, communications, computers, intelligence surveillance and reconnaissance (“C4ISR”), unmanned aircraft systems, advanced electro-optics, electro-optic space systems, EW suites, signal intelligence systems, data links and communications systems, radios, cyber-based systems and munitions. The Company also focuses on the upgrading of existing platforms, developing new technologies for defense, homeland security and commercial applications and providing a range of support services, including training and simulation systems. For additional information, visit: https://elbitsystems.com/ , follow us on Twitter or visit our official Facebook, Youtube and LinkedIn Channels. Contacts: Company Contact: Joseph Gaspar, Executive VP & CFO Tel: +972-4-8316663 j.gaspar@elbitsystems.com Rami Myerson, Director, Investor Relations Tel: +972-77-2946403 rami.myerson@elbitsystems.com David Vaaknin, VP, Brand & Communications Tel: +972-77-2946691 david.vaaknin@elbitsystems.com IR Contact: Ehud Helft Gavriel Frohwein GK Investor Relations Tel: 1-646-688-3559 elbitsystems@gkir.com View source version on Elbit Systems Ltd: https://elbitsystems.com/pr-new/elbit-systems-awarded-53-million-contract-to-supply-and-integrate-intelligence-suites-to-a-navy-in-southeast-asia/

  • Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    January 8, 2020 | International, Aerospace

    Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    Avions de combat : Le PS, les Verts et le GSsA lancent ce mercredi le référendum contre l'achat de nouveaux jets. Ils étaient parvenus à couler le Gripen en 2014. La situation de départ est cette fois-ci différente. Ce 18 mai 2014, les bouchons de champagne avaient sauté au stamm de la gauche, à quelques pas de la gare de Berne. Au terme d'une campagne acharnée qui a même fait ensuite l'objet d'un documentaire, «La bataille du Gripen», de Frédéric Gonseth, 53,8% des votants avaient refusé d'acheter 22 avions de combat Gripen pour une somme de 3,126 milliards de francs. Tous les cantons romands avaient dit non. Cette année, potentiellement en septembre, les citoyens suisses devraient à nouveau se prononcer sur l'achat d'avions de combat. Le Parti socialiste, le Parti écologiste et le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) lancent le référendum ce mercredi contre l'arrêté de planification qui prévoit d'investir 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux jets. Les fronts sont les mêmes qu'en 2014, mais le contexte a changé. Un vote sur le principe et pas sur un type d'avion En 2014, le choix d'acheter le Gripen E, modèle en cours de développement, avait suscité la critique et la méfiance. Les détracteurs de ce jet parlaient d'avions de papier. Des membres des forces aériennes s'étaient aussi étonnés, en coulisses, du choix du jet suédois, alors que d'autres avions avaient obtenu de meilleures notes lors de l'évaluation. L'analyse Vox qui avait décortiqué le scrutin avait ainsi montré que 13% des votants avaient mis un non dans l'urne par rejet du Gripen. Cette fois-ci, les Suisses n'auront plus à se prononcer sur un type d'avion. Une seule question leur sera posée: acceptez-vous de payer 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux avions de combat? Le Conseil fédéral ne sélectionnera le modèle qu'après le scrutin, sur la base des évaluations conduites par ArmaSuisse. A noter que dans tous les cas, la Suisse n'achètera pas le Gripen: le constructeur Saab a renoncé dès lors qu'il a été écarté des essais en vol et au sol qui ont eu lieu l'an dernier sur la base militaire de Payerne. Il reste ainsi quatre jets en course: le Rafale de Dassault, l'Eurofighter d'Airbus, le Super Hornet de Boeing et le F-35 de Lockheed Martin (voir vidéos de présentation dans l'encadré). Viola Amherd à la place d'Ueli Maurer Gaffes en série, couacs de communication, allusions malheureuses: la campagne de 2014 avait été cauchemardesque pour le ministre de la Défense de l'époque, Ueli Maurer (UDC). Six pour cent des votants avaient déclaré, lors de l'analyse Vox, avoir dit non en raison de cette campagne cacophonique. Les électeurs du centre, qui se reconnaissent dans des partis traditionnellement acquis à l'armée, avaient joué un rôle déterminant. Aujourd'hui, c'est une centriste, Viola Amherd, qui est à la manoeuvre. La conseillère fédérale PDC met un accent particulier sur la transparence dans les achats de l'armée. Elle a aussi souhaité amener une caution à la fois scientifique et militaire à ce dossier. Elle a ainsi invité l'astronaute Claude Nicollier à rendre un second avis sur le rapport Air2030. La popularité et l'image de la Haut-Valaisanne joueront un rôle lors de la campagne. De nouveaux avions sinon rien? En 2014, le Gripen ne devait remplacer que la flotte des F-5. Les 32 F/A 18 devaient être remplacés dans un second temps. Aujourd'hui, les 30 avions de combat F/A-18 restants sont vieillissants. Il est prévu de prolonger leur durée de vie jusqu'en 2030. Ainsi, la gauche ne pourra pas déployer avec autant d'impact l'un de ses arguments clés de 2014: on peut dire non au Gripen, il reste des avions pour l'armée. A l'époque, selon l'analyse Vox, 24% des détracteurs du Gripen se disaient en effet partisans d'une armée forte, mais ils estimaient aussi que l'achat de ce jet n'était pas une nécessité vitale. Le message sera différent lors de la future campagne. Viola Ahmerd et ses alliés pourront marquer des points en affirmant que le scrutin déterminera la survie des forces aériennes. Fondamentalement, les référendaires ne contestent cela dit pas la nécessité d'avoir des avions mais uniquement pour faire la police du ciel. Ils estiment qu'on peut acheter moins et à un meilleur prix. Leur capacité de convaincre avec cet argument s'annonce déterminante. Des mesures compensatoires plus basses C'est une autre différence par rapport au vote de 2014. Les affaires compensatoires - ces contre-prestations exigées de la part du constructeur - se monteront à 60% du prix d'achat des avions. Pour le Gripen, c'était 100%. Sur ce point, la ministre Viola Amherd, critique face aux surcoûts engendrés par ces compensations, s'est imposée au parlement. Les entreprises romandes qui craignaient de ne pas voir la couleur des affaires compensatoires si elles étaient réduites à 60% se disent néanmoins satisfaites: les collaborations seront possibles au-delà du secteur de la sécurité. Elles s'étendront à onze autres domaines, dont celui des machines, de l'électronique ou encore de l'horlogerie. https://www.24heures.ch/suisse/change-echec-gripen-aujourdhui/story/22057626

  • Argentina chooses to buy US-made Chinook over Russian Mi-26

    June 17, 2022 | International, Aerospace

    Argentina chooses to buy US-made Chinook over Russian Mi-26

    Argentina has kicked-started the process for procuring four Boeing-made CH-47 Chinook heavy helicopters from the U.S., military sources in Buenos Aires have told Defense News.

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