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January 18, 2024 | International, Aerospace

Space Development Agency awards L3Harris $919 Million contract to build satellites for missile tracking program

The company’s technology will also support preliminary fire control capability for the SDA’s Proliferated Warfighter Space Architecture (PWSA).

https://www.epicos.com/article/786675/space-development-agency-awards-l3harris-919-million-contract-build-satellites

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  • AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    October 25, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    Alexis Pfefferlé Que produire en Suisse ? Mercredi 17 octobre 2018, 0800, Lausanne. Troisième journée BtoB et troisième introduction du Président du Groupe romand pour le matériel de Défense et de Sécurité (GRPM). « On ne vient pas en Suisse pour produire des choses simples et pas chères, on vient produire en Suisse des biens complexes ou pour dépasser des challenges techniques » C'est direct mais le ton est donné. Pour détendre l'atmosphère, l'introduction est ponctuée par une petite plaisanterie bienvenue car, on le sait bien à Berne, le rire, c'est bon pour la santé. D'European Fighter Aircraft à Typhoon Troisième journée BtoB et dernier avion européen en lice pour le programme AIR2030, l'Eurofighter-Typhoon. Produit d'une coopération unique en Europe et dans le monde, l'Eurofighter –Typhoon est un biréacteur de 4ème génération + né du souhait, au début des années 80, de plusieurs pays de fabriquer en coopération un avion multi-rôles européen dans un contexte de guerre froide. Partenaire au début, la France quitte rapidement le programme en 1985 pour développer son propre chasseur, le Rafale, lequel a fait l'objet de la journée BtoB du 16 octobre dont le compte rendu est disponible ici. Les « Eurofighters » ont tour à tour pris différents noms, d'abord EFA (European Fighter Aircraft) puis Eurofighter, puis Eurofighter 2000 pour enfin prendre le nom d'Eurofighter Typhoon. L'exemple de la coopération européenne et industrielle La présentation du jour se veut ambitieuse. En effet, l'Eurofighter Typhoon est aujourd'hui produit par un consortium industriel composé de quatre entreprises principales rattachées au quatre pays piliers du programme, AIRBUS pour l'Allemagne, BAE SYSTEMS pour le Royaume-Uni, LEONARDO pour l'Italie et EUROJET pour l'Espagne. Les différents pays / industries se partagent la production selon les investissements de leur pays dans le programme. Nous avons donc 33 % pour l'Allemagne, 33 % pour le Royaume-Uni, 21 % pour l'Italie et 13 % pour l'Espagne. Les quatre sociétés vont se succéder sur scène en l'espace d'une petite heure. Nous démarrons avec une introduction par le représentant d'AIRBUS. La force du programme Eurofighter c'est l'expérience industrielle et la coopération maitrisée. Les chiffres sont impressionnants : 623 avions commandés dont près de 500 actuellement en utilisation dans 5 forces aériennes européennes, 9 pays utilisateurs au total, 100'000 places de travail et plus de 400 sociétés impliquées dans 180 lieux de production différents. Toutefois, comme pour le Rafale, l'Eurofighter Typhoon est un programme mature avec peu ou pas de place pour une compensation directe dans le cadre du programme lui-même. Cependant, le consortium a fait ses devoirs avant de venir en Suisse et les exemples de coopération possibles ne vont pas manquer. Les quatre piliers On enchaine donc avec LEONARDO. Le groupe italien a décidé de mettre l'accent sur son expérience en matière d'affaires compensatoires. En chiffres, LEONARDO c'est 40 ans d'expérience dans les affaires compensatoires dans près de 30 pays, 100 projets en cours dans 12 pays différents et près de EUR 3mia à compenser dans les 15 prochaines années. Pour LEONARDO, l'EUROFIGHTER en Suisse c'est prendre part à un grand projet européen et pouvoir s'offrir un accès privilégié au marché international au travers des entreprises qui composent le consortium. C'est au tour du représentant de BAE SYSTEMS d'intervenir. Il insiste sur la taille du groupe, 3ème mondial, plus de 80'000 employés dans 40 pays et 80 pays clients. Pour son représentant, le groupe peut ouvrir à la Suisse les portes de marchés très intéressants comme les Etats-Unis ou le Golfe. BAE SYSTEMS met en avant les domaines du groupe à forte croissance et dans lesquels la Suisse pourra jouer un rôle de premier plan : Le cyber, l'électronique, surtout dans le domaine civil/commercial avec AIRBUS, et l'espace. Avec « la nouvelle philosophie suisse en matière de satellites » (petits satellites utilisés en réseaux) ils viennent chercher chez nous la technologie du futur. Touché, l'assemblée est flattée. Nous passons sans transition à l'espagnole EUROJET. Pour son représentant, la force d'EUROJET c'est sa capacité à travailler en équipe. EUROJET travaille sur l'EUROFIGHTER, l'A400 ou encore l'hélicoptère tigre, ces projets ont apporté au groupe l'expérience de la coopération internationale et de la coordination. Intégrer la Suisse ne sera pas un problème nous dit-on. S'en suit une présentation technique du moteur de l'Eurofighter. Comme mes voisins, je ne comprends pas tout mais je crois comprendre que pour son créateur, c'est un excellent moteur. Après cet interlude technico-ibérique, c'est au tour du représentant d'AIRBUS de conclure. En premier lieu quelques chiffres sur le groupe : EUR 59mia de chiffre d'affaire en 2017, 12'000 sous-traitants qui se partagent EUR 50 mia de commandes et 129'442 employés. Précis, allemand, efficace. Il précise qu'AIRBUS a 7'265 avions en commande dont 1'019 commandés en 2017. Vous cherchez un partenaire solide et pérenne ? Vous l'avez trouvé. En second lieu, comme pour BAE SYSTEMS, le représentant d'AIRBUS confirme que les secteurs qui montent et dans lesquels ils cherchent des partenaires sont le cyber, l'espace, l'urban mobility ou encore les drones. Autant de secteurs qui, très justement, aiguisent depuis quelques années l'appétit de l'industrie suisse et des EPF. Enfin, et c'est le premier constructeur à le soulever, AIRBUS souligne que remplir CHF 6mia en offset c'est une t'che difficile. Les partenaires d'EUROFIGHTER ne veulent pas acheter pour acheter ou simplement faire leur marché. La présentation se conclut en ces termes : Le consortium souhaite une vraie collaboration bilatérale avec la Suisse (!). L'Europe n'aura de cesse de nous surprendre. https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/22/air2030-a-la-rencontre-du-consortium-eurofighter-et-du-typhoon-3-5/

  • Contracts for April 30, 2021

    May 3, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Contracts for April 30, 2021

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  • McCarthy: Without budget growth, Army heads toward ‘collision course’

    March 5, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    McCarthy: Without budget growth, Army heads toward ‘collision course’

    Jen Judson WASHINGTON — Without top-line growth in the U.S. Army's future budgets, the service is headed toward a “collision course,” Army Secretary Ryan McCarthy said March 4 at the McAleese Defense Programs Conference. The Army has already gone through two-and-a-half years of deep budget scrubs through its “night court” process, which seeks to find funding areas in the budget that don't align with the National Defense Strategy and the service's modernization efforts, and moves those dollars into accounts that meet its priorities. In the Army's first night court, the chief, secretary, vice chief and undersecretary presided over decisions — big and small, easy and tough — for roughly 600 programs, shifting $33 billion from programs across the fiscal 2020 through FY24 five-year plan. In FY20, the Army is investing $8.6 billion in modernization efforts and, across the next five years, investing a total of $57 billion, a 137 percent increase from the previous year's five-year plan. The Army found another roughly 80 programs to scale back or cancel in order to free up funding in FY21, but Army leadership has admitted it's getting harder and harder to find low-hanging fruit in the process. The Army is now in the process of conducting its night court for FY22 in order to try to find more money to align with its modernization goals. Officials will have to start making choices in terms of restructuring procurement accounts to begin the divestiture of current capabilities in the force to make room for future programs that will enter Low-Rate Initial Production (LRIP) in the comings years. But that may not be enough if the Army doesn't get an increased top line of 3 to 5 percent in future budget years, McCarthy said. “What is going to be a challenge for us in ‘22 and ‘23 when [modernization programs] start to mature, we have to make choices in this milestone process, you start buying LRIP tranches,” he said. At the same time the Army has to grow the force because its current ratio of dwell time to deployment time is 1:1 worldwide, McCarthy said. “If we don't get 3 to 5 percent growth in the out-years, there is a collision course if you keep growing the force and starting bringing in all these capabilities,” he said. “Choices will have to be made if we can't increase the top line in ‘22 and ‘23, so will that mean will we have to flatten end-strength? Do we tier the weapon systems that we bring into the formations,” McCarthy asked. “These are the choices that we are talking about, we are looking at and we are going to be prepared to make.” McCarthy referenced recent comments from Defense Secretary Mark Esper regarding the need to review combatant command demands and asked, “Can we reduce demand worldwide? ... Are we being efficient with every soldier, sailor, airman and marine that we send forward? Can the allies do better? Can we increase their capabilities that do more of the burden that is everything from investing as well as putting more boots forward in the form of deterrence?” McCarthy told reporters following his speech that if the demand doesn't come down there, "there is no trade space left even if you are going to kill weapon systems that we've had for 40 to 50 years and if you are successful with Congress in getting that done.” The Army is discussing the numbers it needs with the White House, McCarthy added, but noted that “this is an election year. This is tough. This is going to be a march for the next couple of months.” But McCarthy stressed, the Army will “continue to grow until we are forced with a really difficult, really another inflection point, if you will, downstream.” https://www.defensenews.com/land/2020/03/04/mccarthy-without-budget-growth-army-heads-toward-collision-course/

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