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January 27, 2021 | International, Naval

Saab Signs Two Contracts for Next Generation Corvettes for Sweden

January 25, 2021 - Saab and the Swedish Defence Materiel Administration, (FMV), have signed two agreements concerning the next generation of surface ships and corvettes. A Product Definition Phase for the Mid-Life Upgrades (MLU) of five Visby-class corvettes, as well as a Product Definition Phase for the next generation; Visby Generation 2 corvettes. The collected value of the contracts is 190 MSEK.

The contracts include requirements' analysis and are respectively the start of the modification work of the five corvettes and the acquisition of the Visby Generation 2.

“The contract is a major step forward for Sweden's surface combat capability, with the upgrade of current corvettes and the creation of the next generation vessels. The Visby corvettes have been pioneers for 20 years, and after Mid-Life Upgrades they will be well equipped for future assignments. The experience and knowledge that the Visby class has gathered over the years will feed into the development of Visby Generation 2,” said Lars Tossman, Head of Business Area Kockums.

The Visby Generation 2 is a development of Visby-class version 5 and will be equipped with a modern anti-ship missile system, torpedo system and air defence missile system.

The first Visby-class corvette was launched on June 8, 2000 and today five corvettes are in operational service. The product definition phase regarding Mid-Life Upgrades, aims to make the five ships in the class operationally relevant beyond 2040. In addition to modifying the ships' existing systems, an air defence missile system will be added as a new capability. The RBS15 anti-ship missile system will be upgraded to the latest version as well as will the torpedo system with the new Saab Lightweight Torpedo.

For further information, please contact:
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Saab serves the global market with world-leading products, services and solutions within military defence and civil security. Saab has operations and employees on all continents around the world. Through innovative, collaborative and pragmatic thinking, Saab develops, adopts and improves new technology to meet customers' changing needs.

View source version on Saab: https://www.saab.com/newsroom/press-releases/2021/saab-signs-two-contracts-for-next-generation-corvettes-for-sweden

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  • Lord: Defense Contractors Need Billions In COVID-19 Relief

    June 11, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Lord: Defense Contractors Need Billions In COVID-19 Relief

    The Pentagon is likely to seek double-digit billions of dollars to reimburse defense contractors that were authorized to seek the money by the CARES Act to preserve their workforce during the COVID-19 crisis, the Pentagon's top procurement officer told lawmakers June 10. The problem is that while the section of the $2 trillion COVID-19 relief bill allows contractors to seek that reimbursement, the bill did not provide any related funding. For just one prime contractor, the estimated costs to keep its workforce in a steady state throughout the crisis exceeds $1 billion, Ellen Lord, the under secretary of acquisition, logistics and technology, said during a House Armed Services Committee hearing. Without additional funding, Lord warns that the Pentagon will “eat into readiness and modernization and slow down readiness and modernization on an ongoing basis.” Aviation and aviation propulsion are two of the hardest-hit areas of the defense industrial base, because of the implosion of the civil aviation industry, she said. Satellite launches also have been hit, given their dependence on the commercial industry, Lord said. Lawmakers were looking for details about how much would be needed for defense contractors, as they anticipate a new COVID-19 spending bill will move through Congress at the end of July. According to Lord, there have been 960 closures and 859 reopenings due to COVID-19. The average closure is about 57 days. But contractors will be specifically requesting reimbursement for issues that affected their employees. So far, contractors are holding back from seeking claims because they are aware that no appropriation exists yet. The Pentagon's internal acquisition group has been tracking data from prime contractors; subcontractors, though, may not be sharing all of their issues to avoid revealing proprietary data, she said, while pledging to provide specific guidance on allowable costs within 30 days. “The defense industrial base is the nexus of economic and national security and it's vitally important to make sure it stays as healthy as possible,” she said. https://aviationweek.com/defense-space/budget-policy-operations/lord-defense-contractors-need-billions-covid-19-relief

  • Entretiens européens de la défense 2019 (1) : une ‘grand strategy’ pour l’Europe (J. Howorth)

    May 23, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Entretiens européens de la défense 2019 (1) : une ‘grand strategy’ pour l’Europe (J. Howorth)

    (B2) L'Union européenne doit reconsidérer sa relation avec les Etats-Unis et l'OTAN pour faire émerger une stratégie de défense européenne. C'est ce qu'a défendu Jolyon Howorth, professeur émérite à la Harvard Kennedy School, durant les seconds entretiens européens de la défense à Paris jeudi (16 mai) Face à la création d'une armée européenne, trois obstacles... Les Américains s'inquiètent des conséquences d'une défense européenne pour leur leadership. Les Britanniques jouent l'ambivalence pour ne pas froisser les États-Unis. Les Européens peinent à se mettre d'accord sur la marche à suivre. Trois obstacles qui ont fait « échouer » les deux premières tentatives de forger une armée européenne, la Communauté Européenne de Défense (CED) dans les années 1950 et la première version de la politique de défense (la PESD ou politique européenne de sécurité et de défense) à la fin des années 1990 début 2000, et qui continuent à freiner les nouvelles initiatives. Les Américains, d'accord sur le principe d'une défense européenne Les Américains, souvent critiqués pour le retard que prennent les initiatives européennes en matière de défense, n'étaient pas toujours défavorables à l'idée et ne s'y « opposent pas par principe, au contraire ». Mais une question les taraude, celle des « conséquences pour le leadership de l'Alliance, voire pour son avenir » si une défense européenne crédible devait se former. D'où l'ambivalence des États-Unis sur cette idée que Eisenhower regardait pourtant en 1951 comme un des objectifs de l'Alliance, idée légitimée par les multiples injonctions américaines à augmenter les budgets européens de défense. Cette position confuse s'inscrit dans le débat existentiel qu'est la définition de la prochaine « grand strategyaméricaine », explique Jolyon Howorth. ... mais des inquiétudes subsistent sur leur leadership au sein de l'Alliance Après « quarante ans de leadership incontesté des alliés européens », le courant « liberal hegemon » qui définit la politique des Etats-Unis depuis longtemps se voit contester par les partisans de « l'offshore balancing ». Lesquels prônent un repli américain sur « un nombre fort limité de bases stratégiques » et un « transfert aux Européens de la responsabilité principale de leur propre sécurité ». La question reste ouverte alors que Donald Trump « semble s'y associer », sans toutefois « comprendre un instant le sens profond de ce débat stratégique ». Les Britanniques, réfractaires à toute intégration européenne Les Britanniques ont été, eux, « beaucoup plus réfractaires que les Américains au projet dès le début ». Et ils continueront de « freiner l'avancée des Européens vers une autonomie stratégique », rendant l'axe Paris-Berlin « d'autant plus urgent ». La vision britannique est celle d'une sécurité européenne b'tie sur une « clé de voûte » : l'OTAN. Les Européens étant simplement relégués à un rôle « complémentaire ». C'est pourquoi « Londres a bloqué toute avancée » qui aurait pu mener à une armée européenne tout en réclamant pourtant « à cor et à cri » un « engagement inconditionnel » à la sécurité européenne, selon le professeur, lui-même British. Pourtant fermement soutenue par Winston Churchill dès le début, la défense européenne a vite inquiété outre-Manche, le Royaume-Uni anxieux de « préserver le partenariat avec les États-Unis ». Le pays avait par exemple refusé la CED dès 1953, craignant que « le succès de l'armée européenne n'entraîne le désengagement américain ». Les Européens indécis et divisés Mais au final, les Européens sont leurs propres ennemis. Les divisions nationales sur la manière de construire l'Europe persistent et se retrouvent, « de façon profonde, au sein des familles politiques ». Mais avec le nouveau contexte géostratégique, de plus en plus complexe et multidimensionnel, « l'Union européenne ne peut plus se permettre le luxe de ses divisions internes ». Il faut repenser notre stratégie pour « passer de l'Europe de la défense, à la défense de l'Europe ». Ces divisions cristallisent l'opposition entre « l'intégrationnisme » prôné par Monnet et « l'intergouvernementalisme », selon le modèle gaullien. La politique de sécurité et de défense commune (PSDC) a, depuis Saint-Malo, et la déclaration franco-britannique de 1998, été développée dans le cadre de ce dernier, un modèle « de plus en plus mis en question ». Les dernières évolutions en matière de défense nous placent à nouveau « face à la confrontation de ces deux méthodologies contradictoires ». Trois défis majeurs aujourd'hui Définir une stratégie européenne propre Il faut développer une « grand strategy » à l'européenne martèle Jolyon Howorth. L'un des problèmes fondamentaux de la première version de la PSDC fut son « manque d'ambition » par « crainte de froisser » les Américains. Pourtant, « la seule ambition qui vaille pour l'Union européenne est d'assumer sa propre défense collective ». Et donc d'arrêter de penser qu'il est impossible pour l'Europe de se défendre sans le soutien américain. Et il faut « pouvoir s'adapter à la nouvelle donne planétaire ». « Après Trump, il n'y aura pas de retour à la case départ ». À quel prix « L'armée européenne ne s'achètera pas parmi les soldes de chez Tati ». Les États membres de l'OTAN ont dépensé « 264 milliards de dollars » sur les questions de défense en 2018. Si tous les pays avaient atteint l'objectif fixé par l'OTAN de 2% du PIB, cela aurait majoré la somme de « près de 102 milliards de dollars ». Mais une armée européenne autonome pourrait représenter jusqu'à « 467 milliards de dollars supplémentaires » rappelle l'universitaire, se basant sur une étude récente du International Institute for Security Studies (IISS) qui fait l'hypothèse d'un retrait américain d'Europe. Un engagement conséquent donc. Et avec qui ? Si beaucoup pensent que l'armée européenne sera forgée « à l'extérieur de l'OTAN, sans les Américains, voire contre », Jolyon Howorth n'en est pas persuadé. Une armée européenne ne doit pas être construite contre les Américains, mais « en bonne intelligence avec eux ». Car l'Alliance ne va pas se dissoudre de sitôt. Et elle peut avoir un rôle moteur alors qu'il existe actuellement « quatre-vingt projets de coopération » entre l'OTAN et l'UE, et que les Américains « n'arrêtent pas de nous demander des efforts accrus, de nous encourager à assumer le leadership stratégique dans notre voisinage ». Il faudrait plutôt revenir au scénario initial : une alliance « rééquilibrée » dans laquelle les Européens « prennent graduellement la part du lion » et les Américains jouent « le rôle de facilitateurs ». Pour former une alliance qui ne soit pas « structurée par la dépendance, encore moins par la servitude ». (Coline Traverson st.) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/23/entretiens-europeens-de-la-defense-2019-une-grand-strategy-pour-leurope-j-howorth/

  • La Grèce annonce son intention d’acquérir 18 Rafale pour équiper son armée de l’Air

    September 14, 2020 | International, Aerospace

    La Grèce annonce son intention d’acquérir 18 Rafale pour équiper son armée de l’Air

    Défense La Grèce annonce son intention d'acquérir 18 Rafale pour équiper son armée de l'Air La Grèce a annoncé samedi 12 septembre son intention d'acquérir 18 avions Rafale. Le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a annoncé un «important» programme d'achats d'armes et une réorganisation des forces armées du pays. «L'heure est venue de renforcer nos forces armées», a-t-il souligné. «Je me réjouis de cette annonce qui conforte la relation exceptionnelle que nous entretenons avec la Grèce depuis près d'un demi-siècle, et je remercie les autorités grecques pour la confiance qui nous est accordée une nouvelle fois. Dassault Aviation est totalement mobilisé pour répondre aux besoins opérationnels exprimés par l'armée de l'air grecque, et contribuer ainsi à assurer la souveraineté de la Grèce et la sécurité du peuple grec», a déclaré Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation. De son côté, Florence Parly, la ministre des Armées, s'est réjouie sur Twitter, qualifiant le choix de la Grèce d'«excellente nouvelle pour l'industrie aéronautique française». «Le résultat d'une politique d'exportation que je mène avec conviction depuis 2017», a-t-elle commenté. «Cette annonce constitue un succès pour l'industrie aéronautique française, en particulier Dassault Aviation ainsi que les autres acteurs industriels français, et notamment les nombreuses PME concernées par la construction du Rafale», ajoute la ministre dans un communiqué. Ensemble de la presse du 14 septembre

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