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July 17, 2020 | International, C4ISR

Royal Netherlands Navy orders 8 Thales radars

July 16, 2020 - A major reason for selecting the NS100, next to its unparalleled performance, is fleet-wise logistic advantages.

The Royal Netherlands Navy already operates the latest generation of Thales 4D AESA radars on the majority of its vessels and, given the radar's flexible architecture, it is easy to offer through–life introduction of new capabilities thereby future-proofing the radar.

The NS100 on the Royal Netherlands Navy's other LPD, HNLMS Rotterdam, will be updated, so that the radars on both LPDs will be identical.

The same contract specifies the delivery of Scout Mk3 surveillance radars to be installed on HNLMS Johan de Witt and on the Combat Support Ship that is presently being built for the RNLN. The CSS will also receive a Thales IFF system. Five more Scout Mk3 radars will be supplied for the M-class frigates operated by the RNLN and the Belgian Naval Component and for spares and training purposes. This contract raises the number of Scout Mk3 radars under contract to 15.

Geert van der Molen, Vice President Naval at Thales: “This contract demonstrates how easy it is to update a Thales 4D AESA radar system in operation in order to align it with the same specifications as a new radar. The update involves only the exchange of one component and the installation of updated software, and can be carried out at the Naval base in Den Helder.“

About NS100

Selected for its unmatched performance and proven 4DAESA technology, the Thales NS100 dual-axis multi-beam sensor enables simultaneous detection of a high variety of targets in a single operational mode, providing unrivalled air and surface surveillance. With the additional forward and backward scanning technology, situational awareness is enhanced significantly resulting in fast track initiation and high quality weapon support.

www.thalesgroup.com/ns100

View source version on Thales Group: https://www.thalesgroup.com/en/netherlands/press_release/royal-netherlands-navy-orders-8-thales-radars

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    Airbus, Dassault, Leonardo : le drone MALE européen sur la piste de décollage

    Par Michel Cabirol L'Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement a lancé le 31 octobre un appel d'offres portant sur le développement, la production et la phase initiale de maintien en condition opérationnelle du drone MALE européen. Le drone MALE européen est sur la piste de décollage. Le système européen de drone de moyenne altitude et longue endurance MALE RPAS (Medium Altitude Long Endurance Remotely Piloted Aerial System) a franchi le 22 novembre dernier une nouvelle étape importante avec la réalisation de la revue de conception préliminaire, ont annoncé jeudi les trois industriels Airbus, Dassault Aviation et Leonardo. D'ici le milieu de la prochaine décennie, le MALE RPAS, conçu pour opérer dans l'espace aérien non ségrégué, pourra être déployé dans le monde entier pour des missions de renseignement, surveillance, acquisition de cible et reconnaissance (ISTAR). "Ce succès majeur intervient après le lancement par l'Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement (OCCAR) le 31 octobre d'un appel d'offres portant sur le développement, la production et la phase initiale de maintien en condition opérationnelle du programme", ont précisé les trois industriels dans le communiqué. Cette nouvelle étape permettra aux nations et aux industriels partenaires de commencer le développement du système avec des spécifications harmonisées et une vision claire de sa conception globale. Surtout, la question du prix va être importante mais pas déterminante pour le lancement du programme s'il y a bien sûr toujours une volonté politique. D'autant que l'Allemagne se serait engagée à prendre à son compte les surcoûts liés à la motorisation du MALE. Mi-2017, les pays partenaires avaient conclu un accord sur la configuration du drone, optant in fine pour un système biturbopropulseur. Résultat, la facture pourrait s'élever à plus de 2 milliards d'euros, soit plus du double de l'estimation d'un projet précédent (1 milliard d'euros). Airbus, maître d'oeuvre Désigné comme futur maître d'œuvre, Airbus Defence and Space coordonnera la réponse industrielle à l'appel d'offres avec les principaux sous-traitants : Airbus Defence and Space, Dassault Aviation SA et Leonardo. Airbus va passer un test grandeur nature, le groupe n'a jusqu'ici pas particulièrement brillé dans la conduite de certains grands programmes militaires, dont il a eu la maîtrise d'oeuvre (A400M, drone SIDM, hélicoptère NH90...). Et plus spécifiquement quand le groupe européen a lui-même dû développer des missions de défense dans ces programmes. Selon le communiqué, cet appel d'offres témoigne de la volonté des nations partenaires (France, Allemagne, Italie et Espagne) de poursuivre le programme "à l'issue d'une phase extrêmement fructueuse d'alignement des exigences et d'une démonstration convaincante de la qualité et de l'adéquation de la conception proposée à l'usage prévu". La revue de conception préliminaire du système conclut avec succèsl'étude de définition de deux ans lancée en septembre 2016 par les nations partenaires. Trois d'entre elles avaient signé en mai 2015 une déclaration d'intention en vue du développement commun d'un système de drone européen MALE, puis l'Espagne a rejoint le programme en 2016. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/airbus-dassault-leonardo-le-drone-male-europeen-sur-la-piste-de-decollage-800954.html

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    Philippe Chapeleau La Suisse a lancé un nouvel appel d'offres pour ses futurs avions de combat, après de longues péripéties qui ont conduit à l'annulation de l'achat de 22 Gripen E/F de Saab à la suite d'un référendum en mai 2014. La nouvelle flotte, entre 30 et 40 avions doit remplacer à la fois les Tiger et les F/A-18. Il va y avoir du dog fight (un duel aérien) dans les cieux de la Suisse : les autorités helvétiques ont en effet lancé un nouvel appel d'offres pour doter l'armée de l'air de nouveaux avions de combat en remplacement des F-5 Tiger et des F-18vieillissants. En 2014, les électeurs Suisses avaient dit "non" au projet d'achat d'intercepteurs suédois. L'achat de 22 avions de combat Gripen pour 3,126 milliards de francs avait été rejeté par 53,4 % des votants. Le marché porte sur au moins 30 avions, peut-être 40. Vendredi, Armasuisse, l'agence fédérale qui s'occupe des achats d'armes, a annoncé que cinq avions de combat étrangers allaient être évalués : le Gripen E suédois (Saab), le Rafale français (Dassault), l'Eurofighterallemand (Airbus), et côté américain, le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Des tests au sol et en vol en Suisse seront menés entre mai et juillet 2019. Un deuxième appel d'offres pour les jets sera mené en novembre 2019 et les réponses sont attendues pour fin mai 2020. Le choix des modèles devrait tomber vers fin 2020. Le parlement puis le peuple devraient pouvoir se prononcer sur la facture. https://www.ouest-france.fr/europe/suisse/la-suisse-fait-redecoller-son-projet-d-achat-d-avions-de-combat-5869710

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