January 7, 2019 | International, Aerospace, C4ISR
BY PATRICK TUCKER
An advisory board is drafting guidelines that may help shape worldwide norms for military artificial intelligence — and woo Silicon Valley to defense work.
U.S. defense officials have asked the Defense Innovation Board for a set of ethical principles in the use of artificial intelligence in warfare. The principles are intended to guide a military whose interest in AI is accelerating — witness the new Joint Artificial Intelligence Center — and to reassure potential partners in Silicon Valley about how their AI products will be used.
Today, the primary document laying out what the military can and can't do with AI is a 2012 doctrine that says a human being must have veto power over any action an autonomous system might take in combat. It's brief, just four pages, and doesn't touch on any of the uses of AI for decision support, predictive analytics, etc. where players like Google, Microsoft, Amazon, and others are making fast strides in commercial environments.
“AI scientists have expressed concern about how DoD intends to use artificial intelligence. While the DoD has a policy on the role of autonomy in weapons, it currently lacks a broader policy on how it will use artificial intelligence across the broad range of military missions,” said Paul Scharre, the author of Army of None: Autonomous Weapons and the Future of War.
Josh Marcuse, executive director of the Defense Innovation Board, said crafting these principles will help the department “safely and responsibly” employ new technologies. “I think it's important when dealing with a field that's emergent to think through all the ramifications,” he said.
The Board, a group of Silicon Valley corporate and thought leaders chaired by former Google and Alphabet chairman Eric Schmidt, will make the list public at its June meeting. Defense Department leaders will take them under consideration.
Marcuse believes that the Pentagon can be a leader not just in employing AI but in establishing guidelines for safe use — just as the military pioneered safety standards for aviation. “The Department of Defense should lead in this area as we have with other technologies in the past. I want to make sure the department is not just leading in developing AI for military purposes but also in developing ethics to use AI in military purposes,” he says.
The effort, in part, is a response to what happened with the military's Project Maven, the Pentagon's flagship AI project with Google as its partner. The effort applied artificial intelligence to the vast store of video and and image footage that the Defense Department gathers to guide airstrikes. Defense officials emphasized repeatedly that the AI was intended only to cut down the workload of human analysts. But they also acknowledged that the ultimate goal was to help the military do what it does better, which sometimes means finding and killing humans. An employee revolt ensued at Google. Employees resigned en masse and the company said that they wouldn't renew the contract.
Scharre, who leads the Technology and National Security Program at the Center for a New American Security, said, “One of the challenges for things like Project Maven, which uses AItechnology to process drone video feeds, is that some scientists expressed concern about where the technology may be heading. A public set of AI principles will help clarify DoD's intentions regarding artificial intelligence.”
Full artcile: https://www.defenseone.com/technology/2019/01/pentagon-seeks-list-ethical-principles-using-ai-war/153940/
May 7, 2021 | International, Naval
America’s largest military shipbuilder, Huntington Ingalls Industries, is known for for aircraft carriers and big deck amphibious ships, but its corporate strategy is sighted in on much smaller platforms.
November 5, 2020 | International, Naval
SIMON CHODORGE TECHNOS ET INNOVATIONS , INTERNATIONAL , ROYAUME-UNI , CONSTRUCTION NAVALE (CIVILE OU MILITAIRE) , DÉFENSE PUBLIÉ LE 04/11/2020 À 08H08, MIS À JOUR LE 04/11/2020 À 09H17 Le gouvernement a annoncé le 3 novembre le lancement de la réalisation du système de lutte anti-mines futur (ou SLAM-F). Thales a déjà construit un prototype dans le cadre de ce programme d'armement innovant. Le système de lutte anti-mines futur (ou SLAM-F) se précise. Mardi 3 novembre, le gouvernement a officialisé “le lancement en réalisation” du programme d'armement. Dès 2022, la Marine nationale s'équipera de drones sous-marins et de surface pour affronter la guerre des mines. À quoi va servir le SLAM-F ? “Le SLAM-F remplacera à terme tous les moyens actuels de guerre des mines (chasseurs de mines tripartites, b'timents remorqueurs de sonars, b'timents bases de plongeurs démineurs)”, rappelle le ministère des Armées dans un communiqué. Concrètement, il permettra aux forces françaises de neutraliser des mines à distance à l'aide de drones, afin de ne plus exposer des plongeurs ou des marins. “Ce système nous permettra de détecter des objets de la taille d'une carte bleue – c'est 30 fois plus petit qu'avec nos moyens actuels. Notre capacité de détection et de neutralisation ira jusqu'à 300 mètres de fond, contre seulement une centaine de mètres avec nos moyens actuels", détaillait la ministre des Armées, Florence Parly, lors d'un discours en mai. Les drones démineurs du programme auront notamment pour mission d'assurer la sécurité d'unités stratégiques de l'armée française : celle des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), piliers de la dissuasion nucléaire, ou encore celle du porte-avions Charles de Gaulle. Le ministère des Armées mentionne aussi des usages pour protéger l'accès aux ports français, soutenir le déploiement d'une force d'action navale, sécuriser l'évacuation de ressortissants français ou participer à la prévention de crises. Un programme d'armement à plusieurs étages Comme le système de combat aérien du futur (SCAF), le SLAM-F comportera plusieurs volets. Au coeur de cette architecture, on retrouve des systèmes de drones capables d'être opérés depuis la terre ferme ou depuis un navire militaire dédié. La France et le Royaume-Uni collaborent depuis 2012 sur ce volet baptisé MMCM (pour “Maritime mines counter measures”). En 2015, le groupe français de défense Thales avait été désigné chef de fil industriel de ce volet. “L'étude de définition et la réalisation des prototypes du système de drones ont été confiés à Thales, dont la société Études et constructions aéronautiques [ECA, filiale du groupe Gorgé] sera le principal sous-traitant français”, confirme le ministère des Armées dans son communiqué. Thales avait déjà testé un chasseur de mines ultra-moderne en 2019 en collaboration avec la Marine nationale. Le groupe français fait figure de champion dans ce domaine. "Plus de 30 marines dans le monde sont équipées de sonars de guerre des mines Thales", soulignait Florence Parly en mai. Des livraisons prévues jusqu'en 2030 Le SLAM-F contient trois autres volets : des b'timents de guerre des mines (BGDM) dédiés à la conduite et à la mise en oeuvre des drones, des b'timents bases de plongeurs démineurs nouvelle génération (BBPD NG) et enfin un système d'exploitation des données de guerre des mines (SEDGM). Dans son communiqué, le ministère ne nomme pas d'autres entreprises participant à ce projet. “L'organisation industrielle de SLAM-F sera progressivement définie lors de l'attribution des marchés afférents aux différents volets du programme”, indique simplement le gouvernement. Le calendrier du SLAM-F prévoit la livraison de huit systèmes de drones anti-mines à partir de 2022. À l'horizon 2030, quatre à six BGDM devraient compléter les flottes françaises avec cinq BBPD NG. https://www.usinenouvelle.com/editorial/la-france-choisit-thales-pour-son-systeme-de-lutte-anti-mines-du-futur.N1024039
September 5, 2023 | International, Land
Russian forces fighting in southern Ukraine have destroyed a British-supplied Challenger 2 tank for the first time, a Russian-backed official said on Tuesday, releasing what he said was a video of its smouldering wreckage.