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July 10, 2023 | Local, Aerospace

No guarantees of work for Canadian firms on F-35 deal, but government hopes for global maintenance contracts

The federal government still hopes Canadian firms will be able to receive contacts maintaining the F-35 for other nations.

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/no-guarantees-of-work-for-canadian-firms-on-f-35-deal-but-government-hopes-for-global-maintenance-contracts

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  • Total estimated cost of Canada's F-35 program is $74B: Parliamentary Budget Officer - Skies Mag

    November 2, 2023 | Local, Aerospace

    Total estimated cost of Canada's F-35 program is $74B: Parliamentary Budget Officer - Skies Mag

    Yves Giroux says the latest F-35 cost estimate, although its grown by some $4 billion in the last couple of years, is generally in line with expectations.

  • Interview de fin d’année avec le Ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan

    December 17, 2019 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Interview de fin d’année avec le Ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan

    Par Nicolas Laffont À l'occasion de la fin d'année et peu après le Discours du Trône, 45eNord.ca a discuté de l'année écoulée et de ses futures priorités avec le ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan. Processus d'acquisition D'entrée de jeu le ministre Sajjan se dit satisfait cette année des avancées faites dans le domaine de l'approvisionnement. «Nous avons des projets comme celui des navires de combat de surface qui avance très bien, mais on a également le processus en lui-même qui est plus rapide. Le projet des véhicules de soutien devait prendre cinq ans, mais nous avons été en mesure d'annoncer l'attribution d'un contrat cet été». La livraison des premiers véhicules doit intervenir aussi tôt que fin 2020. «Nous avons aussi le nouvel avion de recherche et sauvetage qui s'en vient [le CC-295 d'Airbus], c'est une autre étape importante pour les Forces armées canadiennes». Inconduites et extrémisme Reconnaissant clairement qu'il y a «encore du travail à faire», le ministre de la Défense fait savoir que dès qu'un incident se produit, «il est pris très au sérieux. Les Canadiens doivent comprendre que notre organisation est «focusé» à répondre vigoureusement à ce genre de situation». «Le travail est en cours et pendant que nous faisons tout notre possible pour créer un environnement de travail plus inclusif, nous voulons aussi nous assurer que notre réponse soit toujours en phase avec la situation». Réserve en force Le Canada sera de plus en plus fragile face aux changements climatiques. Déjà les effets s'en font sentir, avec une augmentation sensible d'évènements climatiques de grande ampleur. En raison de ces changements climatiques, les Forces armées canadiennes se déploient de plus en plus au pays, pour combattre les feux de forêts ou les inondations, «et cela ne fait qu'empirer». La présence de la Réserve et de ses réservistes sera donc plus forte à l'avenir, en raison évidemment du lien entre les unités et leur communauté. «À chaque fois que j'ai visité les troupes et que l'on parle de l'intégration des réservistes avec les forces régulières, les opérations LENTUS sortent du lot. Les réservistes amènent en plus leur propre expérience acquise dans le civil. Je me souviens d'un endroit où l'officier commandant connaissait très bien les lieux parce qu'il travaillait dans le coin et il a pu faire des évaluations rapides et efficaces au point où des vies ont clairement été sauvées.» Les Nations Unies oubliées ? En 2018-2019, le Canada a envoyé une force opérationnelle au Mali pour évacuer des blessés et aider le transport tactique et logistique de la mission des Nations Unies (MINUSMA). La mission s'est achevée à l'été 2019 et s'il se dit «très fier» du travail accompli par les hommes et femmes des Forces armées canadiennes dans la région, le ministre Sajjan reste prudent quand on lui parle de contributions supplémentaires (pourtant annoncées!). «Nous sommes en Ouganda quelques jours par mois pour fournir un transport aérien tactique aux Nations Unies. Mais nous devons prendre une décision avec en tête où nous pouvons avoir le meilleur impact», explique Harjit Sajjan. «Avant d'aller au Mali, nous nous sommes posés cette question de où avoir le meilleur impact. N'oublions pas que pour être efficace, il est important que les nations apportent des capacités de haute valeur, comme nos hélicoptères d'évacuation médicale». Le ministre révèle que des discussions sont en cours avec le Secrétaire général des Nations Unies afin de déterminer quelle pourrait être la prochaine contribution canadienne. «Le travail est en cours, et dès que nous en saurons plus, nous informerons les Canadiens. [...] Nous regardons quelles autres capacités nous pouvons fournir, surtout en lien avec l'Initiative Elsie afin d'avoir plus de femmes dans les opérations de paix, et aussi [en lien] avec les Principes de Vancouver initiés par le général Romeo Dallaire, sur la prévention du recrutement et de l'utilisation d'enfants soldats. L'OTAN, les nouveaux engagements L'analyse réalisée pour établir la nouvelle politique de Défense canadienne a permis d'établir les priorités et l'une d'elle était l'OTAN. Le Canada a donc annoncé de multiples opérations et déploiement sous l'égide de l'alliance transatlantique. Dans cette perspective, la nouvelle lettre de mandat du premier ministre au ministre de la Défense cite l'opération IMPACT au Moyen-Orient, la présence avancée renforcée de l'OTAN en Lettonie, et la mission de l'OTAN en Irak. Et, toujours dans le même esprit, le Canada a annoncé le 4 décembre qu'il augmentait son engagement dans le cadre de l'initiative de préparation de l'OTAN en fournissant 6 avions de chasse additionnels et une frégate de plus, à la demande du Secrétaire général. Par conséquent, la contribution canadienne pourra s'élever au total, si besoin, à 12 avions de chasse CF-18, une force opérationnelle expéditionnaire aérienne, un avion de patrouille maritime, trois frégates, un sous-marin, un bataillon d'infanterie mécanisée, un hôpital mobile et un peloton spécialisé en décontamination chimique, biologique, radiologique et nucléaire. Par ailleurs, on apprenait cette semaine que le ministre de la Défense Harjit S. Sajjan, accompagné de deux parlementaires de l'opposition, se rendra en Italie et au Koweït, du 15 au 19 décembre 2019, pour assister à la cérémonie de passation de commandement du 2e Groupe maritime permanent de l'OTAN, dont le Canada assure le commandement, et pour rendre visite aux membres des Forces armées canadiennes en déploiement. Plus de contributions ? Plus d'argent ? Revenant sur le fait que le Président américain Donald Trump demande, dès que l'occasion se présente, à ses alliés d'augmenter drastiquement leurs dépenses en matière de Défense, le ministre Sajjan rappelle qu'en réalité la précédente administration demandait déjà cela. «En fait, c'est ce que la précédente administration demandait déjà lorsque j'ai effectué ma première visite en tant que ministre de la Défense lorsque le président Obama était là. C'est d'ailleurs pour cette raison que nous avons réalisé une étude approfondie pour étonner même quelque peu nos alliés avec notre plan, cette première politique de Défense qui avait enfin de l'argent attaché avec elle». Même si le président Trump répète à outrance que le Canada est «un peu délinquant» en ne respectant pas sa promesse d'atteindre les 2% de son PIB consacré à la Défense, il est clair pour nos voisins du sud que l'argent ne fait pas tout. «Nous n'avons même pas à leur dire, ce que nous apportons concrètement comme contributions», indique M. Sajjan. «Ils le savent déjà, parce qu'on le fait avec eux. Comme par exemple commander le groupement tactique en Lettonie ou la mission de l'OTAN en Irak. Et n'oublions pas non plus nos contributions en dehors de l'OTAN comme l'Opération NEON où nous aidons au renforcement des sanctions contre la Corée du Nord, avec l'aide des États-Unis. Ils savent aussi la contribution que nous apportons avec l'Opération CARIBBE, cette opération d'interdiction de drogues avec la Garde côtière américaine. Je sais que c'est quelque chose qui est immensément apprécié vu tout ce que est saisi et qui aurait fini aux États-Unis». Finalement, le ministre Sajjan rappelle de nouveau que même si les chiffres ne font pas tout, ils y sont cependant. La nouvelle politique de Défense promet ainsi une augmentation de 70% d'ici 20 ans du budget de la Défense nationale, et ce, sans inclure le coût des opérations qui vient en plus. «La politique de Défense porte strictement sur les politiques et l'approvisionnement dont ont besoin les Forces armées canadiennes. Les opérations ne font pas parties de la politique de Défense et sont une dépense séparée, en plus de ce que nous avons déjà promis». Une chose est sûre cependant, «le seul focus qui est et ne changera jamais pour moi est l'emphase à mettre sur nos hommes et nos femmes en uniforme. Les soutenir eux et leurs familles», de conclure le ministre de la Défense. http://www.45enord.ca/2019/12/interview-fin-annee-ministre-defense-nationale-harjit-sajjan/

  • 'Interim' icebreakers to be used for decades

    October 25, 2018 | Local, Naval, Security

    'Interim' icebreakers to be used for decades

    OTTAWA — The Canadian Coast Guard says three "interim" icebreakers that were recently purchased without a competition will be used for the next 15 to 20 years. Coast guard officials revealed the timeframe in interviews with The Canadian Press while playing down concerns about the state of their aging fleet — and the challenges in building replacements. The government in August agreed to sole-sourcing the purchase of three used icebreakers from Davie Shipbuilding for $610 million, saying a stop-gap was needed until replacements could be built. The deal represented a win for the Quebec-based shipyard, which had been lobbying hard for additional federal work, and should ease pressure on the coast guard's icebreaking fleet. The coast guard's existing vessels are on average more than 35 years old and have lost hundreds of operational days over the past few years due to mechanical breakdowns. Yet there are no immediate plans to replace them; the government's multibillion-dollar shipbuilding plan includes only one new heavy icebreaker, which won't be ready until the next decade. Deputy Commissioner Andy Smith, who is overseeing the shipbuilding plan for the coast guard, said the service is instead in the midst of extending the life of its current fleet another 20 years — during which it will rely on the Davie ships to fill any gaps. "The icebreakers that we recently purchased were envisioned to backfill behind those various ships as we put them into a refit or an extended maintenance period," Smith said in an interview. "And we have mapped that out over 20 years." Deputy Commissioner Mario Pelletier, who is responsible for coast guard operations, confirmed that time period in a separate interview, saying: "I would expect that we're going to have them for 15, 20 years. "The urgent need is just to make sure we do have a surge capacity to backfill when those ships come out of service," he added. While few would argue the need for additional icebreakers, the timeline has nevertheless resulted in fresh criticism of the country's procurement system — and questions about the shipbuilding plan. The federal government previously purchased "interim" icebreakers in the 1980s and those vessels are still in use, said Rob Huebert, an expert on the Arctic at the University of Calgary. That, plus the absence of any real plan to replace the majority of the coast guard's icebreakers, leads Huebert to believe the three Davie ships will eventually become part of the permanent fleet. "What's going to happen is we have been overworking our three medium icebreakers and those three (Davie ships) will replace them even though no one is saying they're replacing them," he said. The two Canadian Coast Guard officials both insisted that the Davie deal would not undercut the shipbuilding plan, through which Vancouver Shipyards is building several coast guard ships. Those include three fisheries-science ships, an ocean-science vessel and a heavy icebreaker, in that order. Two naval support ships will be built between the ocean-science vessel and the icebreaker. But defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute wondered whether calling the Davie deal an "interim" measure was intended to sidestep the plan — and any legal trouble. Either way, he said, the arrangement only underscores many of the enduring issues facing Canada's troubled procurement system and the long amount of time it takes to buy new equipment. "If they're defining an interim period being up to 20 years, only in Canada is that considered an interim basis," he said, noting that the shipbuilding plan is already years behind schedule. "Only in a country where you run things for 40-plus years is two decades a temporary solution." Smith and Pelletier said the current coast guard fleet is nonetheless in good shape and that there are positive signs of progress at Vancouver Shipbuilding, despite some hiccups. Those included a welding problem discovered on the three fisheries-science ships that has pushed back delivery of the first of those vessels until next year. The design and budget for the ocean-science ship also remains up in the air, while the construction schedule for the navy support ships and heavy icebreaker remain in limbo. "It's really a dynamic time as we look to regrow the whole ecosystem of shipbuilding in this country, and they are in various stages of design and construction," Smith said of the challenges. "So that whole ecosystem is being rebuilt." — Follow @leeberthiaume on Twitter. Note to readers: This is a corrected story. It corrects Mario Pelletier's title. By Lee Berthiaume, The Canadian Press https://www.niagarafallsreview.ca/news-story/8982113--interim-icebreakers-to-be-used-for-decades/

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