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July 15, 2024 | International, Land, C4ISR, Security

Nato unveils new AI strategy amid rising security concerns - Army Technology

The updated Nato framework prioritises the responsible adoption of AI and tackles issues such as disinformation and gender-based violence.

https://www.army-technology.com/news/nato-unveils-new-ai-strategy-amid-rising-security-concerns/

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  • L3Harris to suspend M&A program for 'foreseeable future'

    December 13, 2023 | International, Aerospace

    L3Harris to suspend M&A program for 'foreseeable future'

  • RAF, l’Eurofighter en successeur du Tornado !

    October 1, 2018 | International, Aerospace

    RAF, l’Eurofighter en successeur du Tornado !

    La Royal Air Force prépare activement la mise à jour de sa flotte d'avions de combat Eurofighter « Typhoon II » en vue du remplacement du Panavia Tornado GR4. En effet, les dernières unités de « Tornado » devraient être retirées au début de l'année 2019. Project Centurion : Le programme « Poject Centurion » doit permettre à l'avion européen d'égaler la capacité d'attaque au sol du « Tornado » et de la dépasser à terme. Pour remplacer complètement le « Tornado » au sein de la RAF, les « Typhoon II » devront porter les mêmes armes, avec la phase 2 et phase 3 d'amélioration (P2EA et P3EA) qui, à leur tour, constituent la première phase et la deuxième phase du programme « Centurion ». Ils ont été précédés d'un Phase Zero (P1EB ou Phase 1 Enhancement Further Work). La phase zéro a été livrée en décembre 2017, officiellement entrée en service en janvier 2018 et est désormais opérationnelle dans le cadre de l'opération «Shader». La configuration du projet « Centurion » est destinée à combiner la bombe guidée de précision Raytheon Paveway IV déjà livrée avec les missiles « Storm Shadow », « Meteor » et « Brimstone » sur le Typhoon FGR4. L'avion devra prochainement venir remplacer le Panavia Tornado GR4 au début de l'année 2019. Les avions de première phase qui sont livrés ont été équipés de la mise à niveau « Typhoon » Phase 2 Enhancement (P2E) qui comprend le « Meteor » et le « Storm Shadow ». La phase 2 du projet Centurion couvre la mise à niveau de la phase 3 du Typhoon Enhancement (P3E) avec l'arrivée du « Brimstone ». Les essais sont maintenant en cours, la configuration finale du projet « Centurion » devrait être prête pour la fin de 2018. Les appareils concernés font partie de la Tranche 1 (51), la Tranche 2 (67) et environ 10 appareils de la Tranche 3. A noter que 24 Eurofighter de la tranche 1 qui doivent être retenus serviront uniquement à la défense aérienne et ne recevront pas la mise à niveau du projet Centurion. Environ 65 à 75 sorties devraient être enregistrées avant qu'une phase d'évaluation opérationnelle ne commence à au sein de la base aérienne de la RAF de Coningsby dans le Lincolnshire le 10 août prochain. Cela comprendra également des essais de tir complets avec l'arme de précision. D'autres améliorations incluent des mises à jour de l'interface homme / machine du "Typhoon", avec notamment le système de visée monté sur un casque Striker fourni par BAE. Le Storm Shadow : Le SCALP (acronyme de « Système de croisière conventionnel autonome à longue portée »), anciennement « Arme de précision tirée à grande distance », est un missile développé fin 1994 MBDA. La version britannique est baptisée «Storm Shadow». Cette arme est conçue pour frapper l'ennemi dans son territoire profond, quelle que soit la défense aérienne gr'ce à sa furtivité qui le rend indétectable, y compris par les avions radars. Le MBDA Brimstone : Le missile Brimstone air-sol britannique fabriqué par MBDA sur commande de la Royal Air Force. Il est équipé d'un guidage laser et d'un radar millimétrique, ceci afin de le rendre plus efficace contre des cibles mobiles. Le missile Meteor : Le Meteor est prioritairement réservé aux missions d'interception à grande distance, au-delà de la portée optique (BVR) de tout type d'aéronefs. Son utilisation est privilégiée pour les cibles de haute valeur telles que l'attaque à plus de 100 km d'avions radar ou de ravitailleurs. Ce missile va permettre d'assurer une efficacité de destruction à des distances aujourd'hui encore importantes, de l'ordre de 50 Nm (entre la cible et l'avion tireur au moment de l'impact). A cette fin, le système d'arme comporte : Un radar de bord qui fournit des informations précises sur la cible avant le départ du missile, et une liaison de données de type Link16 assurant les mêmes fonctions en retransmettant vers l'avion tireur les informations d'un capteur porté par un autre aéronef. Des systèmes d'identification des cibles à des distances compatibles avec la portée du missile. Une manœuvrabilité suffisante du missile dans toutes les phases de vol, pour toutes les distances de tir, qui doit lui assurer une grande probabilité de destruction des cibles. La propulsion de ce missile est également un défi technologique du fait du concept retenu : celui d'un statoréacteur. Ce statoréacteur à propergol solide et à poussée régulée (Throttleable Ducted Rocket ou TDR) dans sa phase de croisière comporte un accélérateur à poudre intégré dans la chambre de combustion, ce qui permet de donner une impulsion initiale suffisante pour atteindre une vitesse compatible avec le fonctionnement du statoréacteur. http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/09/30/raf-l-eurofighter-en-successeur-du-tornado-866306.html

  • Google Drops Out of Pentagon's $10 Billion Cloud Competition

    October 9, 2018 | International, C4ISR

    Google Drops Out of Pentagon's $10 Billion Cloud Competition

    By Naomi Nix Alphabet Inc.'s Google has decided not to compete for the Pentagon's cloud-computing contract valued at as much as $10 billion, saying the project may conflict with its corporate values. The project, known as the Joint Enterprise Defense Infrastructure cloud, or JEDI, involves transitioning massive amounts of Defense Department data to a commercially operated cloud system. Companies are due to submit bids for the contract, which could last as long as 10 years, on Oct. 12th. Google's announcement on Monday came just months after the company decided not to renew its contract with a Pentagon artificial intelligence program, after extensive protests from employees of the internet giant about working with the military. The company then released a set of principles designed to evaluate what kind of artificial intelligence projects it would pursue. “We are not bidding on the JEDI contract because first, we couldn't be assured that it would align with our AI Principles," a Google spokesman said in a statement. "And second, we determined that there were portions of the contract that were out of scope with our current government certifications.” The spokesman added that Google is “working to support the U.S. government with our cloud in many ways.” The Tech Workers Coalition, which advocates for giving employees a say in technology company decisions, said in a statement that Google's decision to withdraw from the cloud competition stemmed from “sustained” pressure from tech workers who “have significant power, and are increasingly willing to use it.” Read more: Google Won't Renew Pentagon AI Drone Deal After Staff Backlash Google is behind other technology companies such as Amazon.com Inc. and Microsoft Corp. in obtaining government cloud-security authorizations that depend on the sensitivity of data a service is hosting. The JEDI contract attracted widespread interest from technology companies struggling to catch up with Amazon in the burgeoning federal government market for cloud services. Final requirements for the project were released in July after a months-long lobbying campaign in Washington by tech companies including Microsoft, International Business Machines Corp. and Oracle Corp. that opposed the Pentagon's plans to choose just one winner for the project instead of splitting the contract among a number of providers. “Had the JEDI contract been open to multiple vendors, we would have submitted a compelling solution for portions of it,” the Google spokesman said. “Google Cloud believes that a multi-cloud approach is in the best interest of government agencies, because it allows them to choose the right cloud for the right workload.” In a report to Congress, the Defense Department said making multiple awards under current acquisition law would be a slow process that “could prevent DoD from rapidly delivering new capabilities and improved effectiveness to the warfighter that enterprise-level cloud computing can enable.” The department also said it expects “to maintain contracts with numerous cloud providers to access specialized capabilities not available under the JEDI Cloud contract.” — With assistance by Ben Brody, and Josh Eidelson https://www.bloomberg.com/news/articles/2018-10-08/google-drops-out-of-pentagon-s-10-billion-cloud-competition

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