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June 12, 2023 | International, Aerospace, C4ISR, Other Defence

Marines want $200M for powerful drone-killing machines

By fall 2024, Marine Corps low altitude air defense battalions will begin receiving a powerful new weapon.

https://www.c4isrnet.com/news/your-marine-corps/2023/06/12/marines-want-200m-for-powerful-drone-killing-machines/

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    June 29, 2023 | International, Aerospace, Naval

    Pressed to prove value of amphibious ships, Marines seek to add drones

    The Corps’ prized amphibious ships might house and launch unmanned aircraft and vessels, along with an undefined array of other warfighting technology.

  • L'achat d'un nouvel avion de combat, un choix militaire et diplomatique

    December 10, 2019 | International, Aerospace

    L'achat d'un nouvel avion de combat, un choix militaire et diplomatique

    Le Rafale, l'Eurofighter, le F-35A ou le F/A-18 Super Hornet: quel nouvel avion de combat la Suisse choisira-t-elle? La décision sera politique. Mais ce choix n'est pas qu'une question de technologie. L'enjeu est aussi diplomatique. Les 26 vieux Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée suisse arriveront à la fin de leur durée d'utilisation au plus tard vers 2030. Après le retrait du suédois Saab, constructeur du Gripen, il ne reste plus que quatre constructeurs en lice pour les remplacer: le français Dassault (Rafale), l'européen Airbus (Eurofighter) et les américains Boeing (F/A-18 Super Hornet) et Lockheed-Martin (F-35A). Les quatre jets ont été évalués entre avril et juin sur la base aérienne de Payerne (VD). Objectif: tester leurs capacités en conditions réelles. Au terme de l'appel d'offres, le Département fédéral de la défense effectuera une recommandation fondée sur l'efficacité opérationnelle, mais aussi sur d'autres critères comme les coûts d'achat et d'exploitation. La décision finale reviendra au Conseil fédéral. Quel avion pour quel partenaire? La compétition entre les quatre candidats se jouera sur les capacités de l'appareil mais aussi sur les contreparties industrielles - les affaires compensatoires - exigées par la Suisse. Moins visible, il existe aussi un autre enjeu, plus diplomatique. Pour le comprendre, la RTS s'est rendue dans la capitale française. Le ministère français des Armées, qui chapeaute l'offre pour le Rafale, lui a exceptionnellement ouvert ses portes. La France, cinquième puissance militaire mondiale, n'exporte pas ses armes comme elle exporte ses voitures, explique Thierry Carlier, chargé du dossier côté français. "Qu'un pays ami acquiert un système qui est le même que celui de la France permet de développer des partenariats très importants. C'est pour ça que notre offre dépasse largement la question du Rafale", affirme-t-il. Pour le directeur du développement international de la Direction générale de l'armement (DGA), cette notion de partenariat est importante. Acheter un avion français permettrait de créer des opportunités au niveau technologique, avec des échanges, mais également sur un plan plus opérationnel: réalisation d'exercices communs, utilisation par la Suisse de terrains d'entraînement français, développement des missions de police du ciel existantes, partage d'expériences, etc. "Europe de la défense" La France n'est pas la seule à vouloir séduire la Suisse avec un partenariat. C'est aussi le cas de l'Allemagne, qui vend l'Eurofighter, fabriqué par Airbus. Acheter cet avion, c'est s'allier davantage à l'Allemagne, comme le relevait ce printemps le lieutenant-colonel de l'armée de l'air allemande Ingo Stüer lors de la présentation de l'Eurofighter à Payerne. "Je pense que les défis pour les armées de l'air en Europe sont tous les mêmes, affirmait-il. Pour l'armée de l'air allemande, c'est important d'être interopérable avec nos alliés, afin d'être capable d'agir ensemble s'il le faut. C'est pourquoi nous cherchons une coopération très étroite avec l'armée de l'air suisse." La France et l'Allemagne, avec leurs offres, proposent aussi à la Suisse "l'Europe de la défense", une certaine vision d'une Europe géographique souveraine défendue par Emmanuel Macron. "Je pense qu'il y a une cohérence des Européens à s'équiper en européen. Je défends beaucoup cette idée", expliquait en juin dernier le président français à la RTS. L'argument économique Si cette "Europe de la défense" n'intéresse pas la Suisse, il reste les deux chasseurs américains. Lors des essais du F/A-18 Super Hornet et du F-35A à Payerne, l'ambassadeur des Etats-Unis en Suisse Edward McMullen adoptait d'ailleurs des arguments différents de ses concurrents européens. Un style diplomatique davantage porté sur les enjeux économiques. "Lorsqu'on parle de développement économique et d'opportunités de marchés, il s'agit d'un partenariat. Nous sommes conscients que la Suisse est neutre et il n'y a aucune alliance avec elle", explique-t-il. Un vote sur le principe, pas sur l'avion L'Europe ou les Etats-Unis? Pour quel partenariat? Le Conseil fédéral se réserve ce choix. Sur ce point, le peuple n'aura pas son mot à dire. Il ne votera que sur l'enveloppe de six milliards de francs destinée à l'acquisition des nouveaux avions de combat sans connaître le nom de son futur partenaire. La votation devrait intervenir à l'automne 2020. https://www.rts.ch/info/suisse/10922471-l-achat-d-un-nouvel-avion-de-combat-un-choix-militaire-et-diplomatique.html

  • 130 House members want 24 percent more F-35s procured in FY21

    March 23, 2020 | International, Aerospace

    130 House members want 24 percent more F-35s procured in FY21

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — One hundred thirty members of the House of Representatives are asking key defense committees in Congress to increase the number of F-35 Joint Strike Fighters by 24 percent over the number requested by the Pentagon in fiscal 2021. “Our adversaries continue to advance surface-to-air missile systems and develop their own stealth fighters,” read the letter, released Wednesday. “It is essential that we continue to increase production of our nation's only 5th generation stealth fighter in order to ensure the United States maintains air dominance and to further reduce overall program costs.” The letter, addressed to the chairs of the Senate and House Armed Services committees and Appropriations Defense subcommittees, is authored by Reps. John Larson, D-Conn.; Marc. Veasey, D-Texas; Martha Roby, R-Ala.; and Michael Turner, R-Ohio — the four leaders of the bipartisan F-35 caucus. Last year, the four also joined forces to write a similar request, which garnered 103 signatories. The Defense Department's budget request asks for 79 F-35s, including 48 of the F-35A model used by the Air Force, 10 F-35Bs used by the Marines and 21 F-35C models used by the Navy. In the letter, the congressmen note that number is 19 less jets than Congress appropriated in FY20. However, that number creates “a capability gap that 4th Generation, or legacy, aircraft cannot fulfill,” the letter warned. “To reach the minimum 50% ratio of 5th Generation and 4th Generation fighters in the timeframe required to meet the threat, the U.S. must acquire F-35s in much larger quantities.” Instead, the members want a 24 percent increase in fighters procurement, going up to 98 total, including 12 more F-35As, two more F-35Bs and 26 more F-35Cs. Those numbers match the fighter increase listed by the Air Force in its unfunded requirements document sent to Congress earlier this year; the Navy requested only five more F-35C variants, while the Marines did not request more. The letter was first reported by Politico. In addition to the increase in planes bought, the members are seeking additional funding for “spare parts and depot level repair capability to meet the required availability rates and accelerate the stand-up of mandated, organic government repair capabilities.” Additionally, investments are sought for the program dedicated to the jet's reliability, maintainability and improvement, as well as a “long-term, outcome-based sustainment contract” that would guarantee performance metrics at a fixed price. The members then request the committees fully fund the budget request for the continuous capability development and delivery (C2D2) modernization effort and use existing funds to accelerate integration of the Joint Air-to-Surface Standoff Missile onto the jet. Earlier this year, the Pentagon's independent weapons tester called the current schedule for C2D2 “high risk” and said the program office is struggling to stay on schedule. “C2D2 is critical to meeting the evolving threat in the mid-2020s and into the 2030s. Full funding is needed for the delivery of new weapons and critical capabilities necessary to keep the F-35 ahead of our adversaries,” the members wrote. https://www.defensenews.com/congress/2020/03/19/130-house-members-want-24-percent-more-f-35s-procured-in-fy21/

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