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August 31, 2018 | International, Aerospace

Lockheed Pitching F-22/F-35 Hybrid to U.S. Air Force

BY MARCUS WEISGERBER

With a Raptor's body and the JSF's brain, the new jet would aim to answer the next decade's Russian and Chinese threats.

Lockheed Martin is quietly pitching the U.S. Air Force a new variant of the F-22 Raptor, equipped with the F-35's more modern mission avionics and some structural changes, Defense Onehas learned.

It is one of several options being shopped to the U.S. military and allies as Lockheed explores how it might upgrade its combat jets to counter Russian and Chinese threats anticipated by military officials in the coming decade, according to people with direct knowledge of the plan.

“You're building a hybrid aircraft,” David Deptula, a retired Air Force lieutenant general who is now dean of the Mitchell Institute for Aerospace Studies. “It's not an F-22. It's not an F-35. It's a combination thereof. That can be done much, much more rapidly than introducing a new design.”

The new variant — similar to one Lockheed is pitching to Japan— would incorporate the F-35's more modern mission system and “other advancements in the stealth coatings and things of that nature,” according to a person familiar with the proposal.

Full article: https://www.defenseone.com/business/2018/08/lockheed-pitching-f-22f-35-hybrid-us-air-force/150943/

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    Nicolas Gros-Verheyde (B2) Mois après mois, les résultats tombent. Quand ils ont le choix, certains Européens préfèrent acheter américain plutôt qu'européen. Pourquoi ? Un achat de défense n'est pas uniquement un achat En matière de défense, un pays n'achète pas seulement un matériel, il répond à une histoire — tradition maritime, terrestre, etc. —, une géopolitique intérieure — neutralité, non aligné, aligné, autonome —, une affirmation de soi — volonté de prouver au peuple, à ses voisins sa puissance —, un contexte géopolitique — proximité ou non d'adversaires ressentis ou réelle —. La volonté d'avoir une autonomie d'équipements, ou non, découle de tous ces facteurs. La meilleure défense face à un adversaire ... Face à la Russie, nombre de pays européens estiment que la meilleure défense reste les États-Unis. Il ne s'agit donc pas de desserrer les liens qui existent avec les USA, mais de les resserrer. Et le meilleur moyen reste alors les achats d'équipement, qui solidifient de façon claire ce lien euro-atlantique. La duplicité de l'appel à dépenser plus C'est toute la duplicité de l'appel à dépenser davantage pour la défense. Appel largement soutenu par les Américains. Au-delà de l'objectif, justifié, de partage du fardeau entre Européens et Américains, la pression a un objectif purement économique : favoriser l'industrie américaine qui est la seule à répondre à la fois aux objectifs industriel (les matériels), opérationnel (l'interopérabilité), économique (le moins disant) et politique. La panoplie complète des Américains La fourniture des équipements militaires s'accompagne de la logistique, des armements et de la formation. Un ‘package' ordinaire pour ce type d'armements. Mais les Américains ont une panoplie beaucoup plus complète, qui va de l'outil de financement à crédit au soutien logistique dans les opérations extérieures, en passant par la présence de troupes ou de matériels dans les pays concernés, destinés à les rassurer face à des voisins inquiétants, un forcing permanent de leurs politiques, sans oublier l'accueil de jeunes ou moins jeunes officiers ou sous-officiers stagiaires dans leurs écoles. Un effort notable américain de formation Rien que pour la Roumanie, par exemple, pays qui préside actuellement aux destinées de l'Union européenne, ce sont 700 officiers qui franchissent le seuil d'une des écoles militaires US, des écoles de guerre réputées aux simples écoles de gardes nationaux. Cela forge des réflexes, une culture commune, des camaraderies, une solidarité... et l'habitude d'utiliser certains matériels. Peu étonnant ensuite que chacun soit convaincu dans l'armée roumaine qu'il faille acheter ces équipements. Une réflexion à engager Si les Européens veulent un tant soit peu défendre leurs équipements, il va falloir réfléchir sérieusement à se doter de ces cinq outils : les échanges et l'accueil dans les écoles européennes — l'Erasmus militaire prôné dans la fin des années 2000 est un peu tombé dans l'oubli (1) —, le financement croisé, la présence dans les pays (qui ne soit pas dispersée). (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/17/pourquoi-les-europeens-narrivent-pas-a-convaincre-lors-de-lachat-dequipements-militaires/

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