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July 9, 2024 | International, C4ISR

Lockheed Martin Awarded Contract To Develop Artificial Intelligence Tools For DARPA

DARPA’s AIR program will improve the government-provided baseline models’ speed and predictive performance to better match how the Department of Defense’s systems perform in the real world.

https://www.epicos.com/article/849089/lockheed-martin-awarded-contract-develop-artificial-intelligence-tools-darpa

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  • Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    January 28, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    (B2 – exclusif) Peu importe les émois à Westminster et les tourments de Downing Street, ou la conduite sans ceinture du Prince Philippe, dans le domaine des opérations de stabilisation menées par l'Union européenne (au titre de la PSDC), le départ des Britanniques est désormais bien engagé et devrait se terminer bientôt Un mouvement engagé Le transfert du QG de l'opération anti-piraterie Première concernée, la plus emblématique, l'opération anti-piraterie de l'UE (alias EUNAVFOR Atalanta) va déménager de Northwood (près de Londres) à la Rota et à Brest, le commandant britannique cédant sa place au commandant espagnol avec un second français. Le QG de La Rota est en pleine préparation, le QG secondaire de Brest — qui accueille la liaison avec la marine marchande — également. Les officiers ont commencé à rejoindre leur poste. Le « tuilage » est en cours, selon nos informations (lire : La revanche de Trafalgar). Le changement de commandement en Bosnie-Herzégovine Deuxième concernée, l'opération EUFOR Althea en Bosnie-Herzégovine. Plus discrète, après avoir été l'opération phare (de l'OTAN sous le nom IFOR) et de l'Union européenne, elle ne rassemble plus aujourd'hui que 600 hommes maximum. Elle n'en est pas moins importante, car un « poste d'observation » important de ce qui se passe dans les Balkans, notamment en matière de retour des combattants étrangers. Un Français va prendre la tête de l'opération, à partir du QG de l'OTAN à Mons (le SHAPE). Un petit noyau de Français est aussi prévu à Sarajevo au sein de l'état-major de la force (lire : Le retour de la France dans l'opération de l'UE en Bosnie-Herzégovine). L'abandon d'un poste de numéro 2 en Somalie Enfin, au sein de la mission civile EUCAP Somalia chargée d'assurer le conseil et la formation des Somaliens pour la sécurité maritime, le poste de numéro 2 assuré par un Britannique est en voie de changer de main, selon nos informations. Les Britanniques ne pouvant assurer de poste de commandement des opérations européennes. Le retrait du planning des battlegroups De même, en matière de force de réaction rapide de l'UE, les Britanniques se sont retirés du tour d'astreinte des battlegroups (lire : La prise d'astreinte française au battlegroup 2019 se prépare). Du personnel détaché au titre d'un pays tiers Des Britanniques resteront dans quelques unes de ces missions et opérations qu'ils estiment ‘stratégiques', en particulier celles déployées en Somalie et dans l'Océan indien. Mais en tant que pays tiers, dès que le Brexit sera consommé. Un officier britannique de la marine marchande devrait ainsi être positionné à Brest, chargé d'assurer le lien (précieux) avec toutes les structures britanniques de la marine marchande. Et dans la mission EUCAP Somalia, Londres entend détacher un de ses officiers pour occuper le poste de chef des opérations. Une transition en douceur Dans toutes ces opérations et missions, le départ des Britanniques est désormais non seulement acté, mais leur remplacement est assuré, sans difficulté. Il est difficile désormais, voire quasi impossible, de faire machine arrière. Les Britanniques ont perdu leur tour. Difficile de faire machine arrière Si le Brexit devait être repoussé, il ne changera pas les changements opérés dans les commandements : la relève est déjà en place. Les Britanniques qui occupaient ces positions ont déjà (ou vont) retrouver d'autres fonctions dans l'armée britannique, l'OTAN ou d'autres opérations multinationales. Et dans les générations de force actuelles, ce serait un pari insensé pour les planificateurs britanniques de miser sur une possible annulation ou prolongation longue du Brexit pour faire de nouvelles offres de participation importante. Quelques leçons du départ A cette transition en douceur, si en douceur qu'elle passe inaperçue, on peut tirer d'ores-et-déjà quelques leçons. Premièrement, contrairement à ce qu'avaient affirmé certains dignitaires britanniques, assis confortablement dans leurs sièges en cuir dans des ministères londoniens, et quelques observateurs, peu au fait du fonctionnement réel de l'Union européenne, l'apport britannique dans les missions et opérations de l'Europe de la défense reste modeste. Il peut être facilement compensé, avec juste un peu de bonne volonté de quelques pays membres. Deuxièmement, le départ britannique consacre en fait le retour français dans des opérations et missions qu'ils avaient, ces dernières années, un peu délaissées. Au final, il reste tout de même un pincement au cœur. Les officiers de sa Royale Majesté, croisés durant ces années, m'ont toujours fait bonne impression, avec ce mélange de courtoisie, de rudesse, d'ironie et d'enthousiasme qui fait le charme et l'efficacité de l'armée outre-Manche. Dommage... (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/01/28/le-brexit-deja-en-marche-pour-la-defense/

  • Thales tests FASGW(L) weapon system for Royal Navy

    July 16, 2019 | International, Aerospace

    Thales tests FASGW(L) weapon system for Royal Navy

    Thales has performed firing trials for the Future Anti Surface Guided Weapon (Light) (FASGW[L]) programme for the British Royal Navy. Conducted at Royal Artillery Air Defence Range at Manorbier in Pembrokeshire, the trials are part of the FASGW(L) programme's integration testing phase. The programme includes testing of all parts of the FASGW(L) weapon system, including Thales' lightweight multirole missile (LMM), the launcher system and all key equipment of the Royal Navy's Agusta Westland AW159 Wildcat helicopter. In June 2014, Thales won a contract to develop, qualify and integrate the FASGW(L) system for the Navy's Wildcat helicopter. The system consists of a five-barrel launcher and a laser guidance system. Set to enter service in 2020, LMM is a precision strike missile capable of being fired from a variety of land, sea and airborne tactical platforms. The missile will be called Martlet in the Royal Navy. It is designed to defeat mobile maritime threats such as small ships and inshore attack craft. LMM will offer improved protection for Royal Navy personnel and important sea assets, such as the Queen Elizabeth Carrier. During trials, Thales fired six LMMs at a small boat target at sea at a distance of 4.5km. The missiles feature telemetry software to facilitate collection of test data. Information will be used to analyse the performance of the Thales-designed launcher, the guidance system and missile. In a statement, Thales said: “The FASGW(L) system accurately guided all missiles to the targets and provided extensive data on the excellent performance of all elements of the ground set-up and inflight performance of the missile. “The successful achievement of the ground firings is a major milestone and key to progressing to future testing including air firing trials later in 2019 and culminating in qualification and verification in 2020.” The Royal Navy is also fielding Sea Venom/ANL helicopter-launched anti-ship missile to address its FASGW(H) requirements. MBDA is delivering the Sea Venom/ANL missile under a contract jointly awarded by the UK and France. https://www.naval-technology.com/news/thales-tests-fasgwl-weapon-system-for-royal-navy/

  • PARROT ÉQUIPERA L'ARMÉE FRANÇAISE DE SES MICRO-DRONES DE RECONNAISSANCE ET DE RENSEIGNEMENTS

    January 12, 2021 | International, Aerospace

    PARROT ÉQUIPERA L'ARMÉE FRANÇAISE DE SES MICRO-DRONES DE RECONNAISSANCE ET DE RENSEIGNEMENTS

    Pascal Samama Le 12/01/2021 à 15:08 Les armées commandent des centaines de micro-drones au fabricant français Parrot. La DGA a passé une première commande de 300 micro-drones qui seront livrés en juin prochain. C'est finalement Parrot qui fournira aux trois armées (terre, air, mer) des micro-drones de reconnaissance et de surveillance. La DGA (direction général de l'armement) vient d'annoncer qu'elle a sélectionné le modèle Anafi. Conçu en France, il est fabriqué aux Etats-Unis, mais "aucun composant ne provient de Chine", précise Parrot dans un communiqué. Parrot est une société historique de la French Tech. Elle a été fondé en 1994 par Henri Seydoux. Parrot est aujourd'hui le premier groupe de drone Européen. Une première commande de 300 appareils a été passée et seront livrés dès le mois de juin. Le contrat, qui comprend aussi des équipements complémentaires et la formation de pilotes, s'étend sur 5 ans a indiqué le ministère des Armées sans préciser le nombre total de la commande, ni le nombre de livraison annuelle, ni le montant du contrat. Il a seulement précisé que 60% de la commande ira à l'armée de Terre, 28% pour la Marine nationale et 12% pour l'armée de l'Air et de l'Espace. Un véritable espion volant L'Anafi ne pèse que 500 grammes ce qui permet de le transporter facilement dans un paquetage. Il est équipé de deux caméras 4K de 21 mégapixels avec un zoom 32x. Cette puissance optique lui permet de détecter de jour comme de nuit des cibles de taille humaine jusqu'à deux kilomètres de distance. Son point fort est aussi la sécurité des informations recueillies et de la liaison. Une signature numérique protège son logiciel de modification malveillante. De plus, l'enregistrement est réalisé au sol par une connexion sécurisée. Le drone permet d'enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d'une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l'interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles. https://www.bfmtv.com/economie/parrot-equipera-l-armee-francaise-de-ses-micro-drones-de-reconnaissance-et-de-renseignements_AN-202101120234.html

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