L'inflation fait gonfler le coût des nouveaux avions de combat F-35

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  August 7, 2020 | International, C4ISR

  SOCOM industry day solicits proposals to update Global Analytics Platform

  by Carlo Munoz The US Special Operations Command (SOCOM) is soliciting industry proposals to revamp its command-wide battlefield intelligence analytics programme, updating the legacy system with artificial intelligence (AI), machine learning, and cloud computing architectures to support current and future operations. Potential industry participants in the Global Analytics Platform (GAP) update programme will lay out their tentative proposals to SOCOM acquisition officials, and members of the command's science and technology directorates, during the upcoming GAP virtual industry day at the end of August. Industry proposals will focus on technological applications in data management and dissemination that are designed to support “the search, discovery, and collaborative analysis of large volumes of data within a suite of secure web-based applications,” the 3 August solicitation states. “Companies with experience in information system environments that search, discover, and analyse large volumes of data within a suite of secure web-based applications across a multi security cloud architecture are highly desired,” the solicitation stated, regarding the upcoming industry day. “Additionally, companies with experience in data movement and transport, and data science are also encouraged to attend,” it added. SOFWERX, in conjunction with SOCOM's Acquisition, Technology and Logistics Center, will sponsor the three-day industry event, beginning on 25 August. The main thrust of the 3 August solicitation is to “add, upgrade, and replace individual [GAP] components, tools, and services, using defined interoperability and interface controls to maintain a leading-edge capability” to keep pace with SOCOM's evolving operational requirements, the solicitation stated. https://www.janes.com/defence-news/news-detail/socom-industry-day-solicits-proposals-to-update-global-analytics-platform

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  February 8, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

  La France veut consacrer près de 300 milliards d'euros à sa défense en sept ans

  Par Challenges le 08.02.2018 à 08h45 Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Objectif de cet "effort budgétaire inédit", selon les propos du président Emmanuel Macron : porter les dépenses de défense de la France à 2% du PIB en 2025, conformément à ce que réclame l'Otan de la part de ses membres, selon cette LPM présentée jeudi matin en conseil des ministres dont l'AFP a obtenu les détails. Le budget des armées, de 34,2 milliards d'euros en 2018, va bénéficier d'une hausse de 1,7 milliard d'euros par an jusqu'en 2022, avant des "marches" de 3 milliards par an à partir de 2023. Soit après la prochaine élection présidentielle. Cette trajectoire budgétaire ascendante contraste avec les réductions d'effectifs et les tensions financières endurées pendant plus d'une décennie par l'institution militaire, avant un redressement amorcé après les attentats de 2015. Reste une incertitude quant à la forte hausse des moyens programmée en 2024 et 2025, au-delà du quinquennat Macron. Pour l'heure, ce sont 198 milliards d'euros de besoins, de 2019 à 2023, qui sont "couverts de manière ferme", souligne-t-on au ministère. Les montants des années suivantes seront "précisés" lors d'une actualisation de la LPM en 2021. L'ancien chef d'Etat-major des armées Pierre de Villiers a appelé à la vigilance mercredi soir sur France 3, en soulignant que la mise en oeuvre de ces projections budgétaires était rarement fidèle aux engagements initiaux. "Nous sommes sur une pente à 1,7 milliard jusqu'en 2022 et ensuite la pente est à 3 milliards à partir de 2023 (...) Evidemment, nous avons l'expérience, il faudra être vigilant" sur l'exécution de ces engagements, a lancé le général, qui a démissionné en juillet 2017 après un conflit avec le chef de l'Etat en raison de coupes budgétaires. Le projet de LPM érige en priorités l'amélioration du quotidien du soldat et à la modernisation d'équipements à bout de souffle, alors que la France est engagée tous azimuts, au Sahel (opération Barkhane), au Levant (Chammal) et sur le territoire national (Sentinelle). Livraisons accélérées et augmentées Après quelque 60.000 suppressions d'effectifs entre 2005 et 2015, le ministère des Armées ambitionne de créer quelque 6.000 postes d'ici à 2025, en particulier dans la cyberdéfense (1.500) et le renseignement (1.500). Pour améliorer la condition des quelque 200.000 militaires français et les fidéliser, la LPM augmente nettement les crédits consacrés aux petits équipements (+34% sur 2019-23) -- gilets pare-balles, treillis... --, à l'entretien du matériel (+30%) et aux infrastructures (+71%), longtemps négligés. Deuxième grand axe : la modernisation accélérée des matériels existants, nombreux à aligner plusieurs décennies de service, a été privilégiée, et l'accent mis sur les capacités de renseignement (avions, drones, satellites...) susceptibles d'accroître l'autonomie stratégique française et européenne. L'armée de Terre va voir le renouvellement accéléré de ses véhicules blindés médians (programme Scorpion), dont 50% des nouveaux modèles seront livrés d'ici à 2025. Les fameux VAB, 40 ans au compteur, seront remplacés par les blindés Griffon, dont 150 exemplaires supplémentaires seront commandés. La Marine obtient quatre pétroliers ravitailleurs nouvelle génération, dont deux d'ici à 2025, un b'timent spécialisé dans le recueil de renseignement, et 19 patrouilleurs au lieu des 17 prévus pour surveiller les zones économiques exclusives françaises outre-mer. L'armée de l'Air se voit allouer 8 avions légers de surveillance, et le renouvellement accéléré de sa flotte quinquagénaire d'avions ravitailleurs Boeing KC-135 par 15 A330 MRTT, dont 12 auront été livrés en 2023. Pour préparer l'avenir, la France va lancer des études sur le remplacement de son unique porte-avions, qui sera retiré du service vers 2040. Seront également financées des études sur le système de combat aérien du futur et sur le char de combat du futur. Sur le plan de la dissuasion nucléaire, clé de voûte de la défense française, les travaux de renouvellement des deux composantes (navale et aérienne) seront engagés au cours du quinquennat. Budget estimé : 37 milliards d'euros entre 2019 et 2025. (Avec AFP) https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-veut-consacrer-pres-de-300-milliards-d-euros-a-sa-defense-en-sept-ans_566000

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  September 13, 2018 | International, Naval

  French Naval Group and Germany’s ThyssenKrupp square off in Egyptian warship deal

  By: Pierre Tran PARIS – Naval Group finds itself in direct competition with German rival ThyssenKrupp Marine Systems in Egypt's acquisition of two more corvettes, Hervé Guillou, CEO of the French shipbuilder told Defense News. The contest comes after Egypt in 2014 placed an order for four Naval Group Gowind corvettes worth some €1 billion, with options for two more units. Winning that two-year option has since become anything but certain for the French company. “TKMS is not sitting on its hands,” Guillou said on Tuesday on the sidelines of the Summer Defense University event at the military staff college here. There already is a “permanent presence of the Germans” in Egypt, which operates a fleet of German submarines, Guillou explained. Egypt attracts strong international interest, with the Chinese, Koreans, Dutch shipbuilder Damen and French electronics company Thales very active, he added. The TKMS offer consists of two Meko 200 corvettes, worth €1 billion (US $1.2 billion) excluding weapons, business publication La Tribune reported Sept. 3. That is double the value of the two Gowind 2500 corvettes pitched by Naval Group, the report said. A spokesman for Naval Group declined to comment on the prices. If TKMS were to snatch the business in the end, the French interministerial committee overseeing arms export likely would approve a sale of MBDA-made Aster 15 missiles for the German ships, a French government official said. The company, a joint venture by Airbus, BAE Systems and Leonardo, is pursuing a “platform neutral” sales pitch, placing an emphasis on boosting foreign sales, according to an industry source. Guillou said he attended Egypt's launch on Sept. 6 of the first locally built Gowind, christened Port Said. “It all went well,” he said. The Egyptian Navy sails a FREMM multimission frigate and two Mistral-class helicopter carriers. The four Gowind corvettes will complement that fleet. The day before the Egyptian launch, Guillou was in Poland pitching three Scorpene diesel-electric submarines to the Polish authorities. “There is political support at the highest level,” he said, referring to the French government backing. That offer competes with TKMS offering its 212CD and Saab the A26 boat. Full article: https://www.defensenews.com/naval/2018/09/12/french-naval-group-and-germanys-thyssenkrupp-square-off-in-egyptian-warship-deal