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January 3, 2023 | International, C4ISR

L3Harris completes $2 billion purchase of Viasat Link 16 assets

Brendan O’Connell, an L3Harris Technologies executive, told C4ISRNET the Link 16 portfolio is “a very natural fit” for the company.

https://www.c4isrnet.com/industry/2023/01/03/l3harris-completes-2-billion-purchase-of-viasat-link-16-assets/

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  • L’armée de l’Air et de l’Espace lance AsterX, son premier exercice militaire spatial

    March 10, 2021 | International, Aerospace

    L’armée de l’Air et de l’Espace lance AsterX, son premier exercice militaire spatial

    La France mène cette semaine son premier exercice militaire spatial afin d'évaluer ses capacités à protéger ses satellites, dans un espace de plus en plus militarisé. « Notre but est de montrer que la stratégie spatiale de défense n'est pas qu'un document, mais qu'on passe de la parole aux actes », a expliqué, mardi 9 mars, lors d'une conférence de presse, le général Michel Friedling, en charge du Commandement de l'Espace. L'ensemble de l'exercice, qui a lieu au CNES à Toulouse, reste virtuel : aucune véritable modification de la trajectoire des satellites français ne sera opérée. 60 militaires du commandement de l'espace y participent. La « Space Force » américaine et le Centre de situation spatiale allemand ont été invités à s'y joindre. Le CNES, l'ONERA, Safran, ArianeGroup et CS Group sont aussi mobilisés. La stratégie spatiale de défense a prévu un investissement de 3,6 milliards pour le renouvellement des capacités satellitaires de l'armée française, avec les nouveaux satellites CSO de surveillance optique, Ceres de renseignement électromagnétique, et Syracuse de communications militaires, rappellent Les Echos. En juillet 2019, la ministre des Armées, Florence Parly, a aussi annoncé un nouveau programme d'armement nommé « Maîtrise de l'Espace », pour intégrer deux volets : la surveillance de l'espace et la défense active dans l'espace. Ensemble de la presse du 10 mars

  • Qatari research center chooses Leonardo for cyber range

    February 4, 2021 | International, C4ISR, Security

    Qatari research center chooses Leonardo for cyber range

    Agnes Helou BEIRUT — A Qatari cyber research center has selected Leonardo to provide a cyber range and training system to support security operations, the Italian firm announced Feb. 3. The Qatar Computing Research Institute, or QCRI, was established by the Qatar Foundation for Education, Science and Community Development. The training platform ordered by the QCRI is capable of simulating cyberattacks so users can assess the resilience of digital infrastructure. “The training is completely to be performed in Qatar, and it is expected, through an approach oriented to ‘train the trainers,' to provide courses to a significant number of operators involved in the cybersecurity framework,” Tommaso Profeta, managing director of Leonardo's Cyber Security Division, told Defense News. He noted that training and exercise scenarios can be customized using a drag-and-drop graphical interface. The platform can also analyze and classify the results of simulated attacks based on data collected during real-world offensive campaigns. Scenarios can be used for individual training or classroom experiences, and they provide practice for security operations centers and incident response activities. This training tool “will allow the QCRI to deliver a complete cyber training process, from the design of the learning path to specific training sessions. Users will be able to practice their skills in simulated attack and defense scenarios, employing both information technology (IT) and operational technology (OT). The training will produce qualified teams of operators equipped with up-to-date knowledge and techniques, ready to face ever-evolving cyber threats,” according to a company statement. “The best cyber training/testing environments are in theory real production systems. But in practice for such environments, institutions, enterprises and organizations cannot easily experience critical situations without paying high, sometime unaffordable prices,” Profeta said. “Training and testing are therefore the two essential, human-driven processes that can effectively support the overall cyber ‘protection' loop, but only if they can cope with real threats and highly realistic systems in highly realistic situations.” Cyber ranges provide a controlled environment where cybersecurity experts can practice their technical and soft skills in emulated complex networks and infrastructures to learn how to respond to real-world cyberattacks. In these environments, cyber tools can be stressed to reveal their limits and vulnerabilities before deployment into cyberspace. Leonardo's platform challenges such assets and provides digital twin environments for predeployment testing. Asked whether other Gulf countries have expressed interest in this training system, Profeta said it “has already been presented to other high-level Middle East stakeholders, and a significant level of interest has been registered for the platform.” What scenarios are available? Those using the cyber range will try to defend against simulated but realistic cyberattacks. According to Profeta, these include: Man-in-the-middle attacks. Botnets. Exploitation of client and server vulnerabilities with lateral movements in search of sensitive data. Distributed denial-of-service attacks (HTTP flooding or domain name system reflection) designed to disrupt connections to a targeted server. Ransomware via multiple vectors, such as spear-phishing via email or drive-by downloads, relying on DNS-based covert channels. Data exfiltration of personally identifiable information and intellectual property. Though it's difficult to measure the potential effectiveness of this platform for Qatar, the company official predicted the system will reduce the cost of and improve the user experience in cyber training. Leonardo also supplies the NATO Computer Incident Response Capability, a cyber defense product. https://www.c4isrnet.com/cyber/2021/02/03/qatari-research-center-chooses-leonardo-for-cyber-range

  • Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    May 22, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    Nicolas Gros-Verheyde (B2) Mois après mois, les résultats tombent. Quand ils ont le choix, certains Européens préfèrent acheter américain plutôt qu'européen. Pourquoi ? Un achat de défense n'est pas uniquement un achat En matière de défense, un pays n'achète pas seulement un matériel, il répond à une histoire — tradition maritime, terrestre, etc. —, une géopolitique intérieure — neutralité, non aligné, aligné, autonome —, une affirmation de soi — volonté de prouver au peuple, à ses voisins sa puissance —, un contexte géopolitique — proximité ou non d'adversaires ressentis ou réelle —. La volonté d'avoir une autonomie d'équipements, ou non, découle de tous ces facteurs. La meilleure défense face à un adversaire ... Face à la Russie, nombre de pays européens estiment que la meilleure défense reste les États-Unis. Il ne s'agit donc pas de desserrer les liens qui existent avec les USA, mais de les resserrer. Et le meilleur moyen reste alors les achats d'équipement, qui solidifient de façon claire ce lien euro-atlantique. La duplicité de l'appel à dépenser plus C'est toute la duplicité de l'appel à dépenser davantage pour la défense. Appel largement soutenu par les Américains. Au-delà de l'objectif, justifié, de partage du fardeau entre Européens et Américains, la pression a un objectif purement économique : favoriser l'industrie américaine qui est la seule à répondre à la fois aux objectifs industriel (les matériels), opérationnel (l'interopérabilité), économique (le moins disant) et politique. La panoplie complète des Américains La fourniture des équipements militaires s'accompagne de la logistique, des armements et de la formation. Un ‘package' ordinaire pour ce type d'armements. Mais les Américains ont une panoplie beaucoup plus complète, qui va de l'outil de financement à crédit au soutien logistique dans les opérations extérieures, en passant par la présence de troupes ou de matériels dans les pays concernés, destinés à les rassurer face à des voisins inquiétants, un forcing permanent de leurs politiques, sans oublier l'accueil de jeunes ou moins jeunes officiers ou sous-officiers stagiaires dans leurs écoles. Un effort notable américain de formation Rien que pour la Roumanie, par exemple, pays qui préside actuellement aux destinées de l'Union européenne, ce sont 700 officiers qui franchissent le seuil d'une des écoles militaires US, des écoles de guerre réputées aux simples écoles de gardes nationaux. Cela forge des réflexes, une culture commune, des camaraderies, une solidarité... et l'habitude d'utiliser certains matériels. Peu étonnant ensuite que chacun soit convaincu dans l'armée roumaine qu'il faille acheter ces équipements. Une réflexion à engager Si les Européens veulent un tant soit peu défendre leurs équipements, il va falloir réfléchir sérieusement à se doter de ces cinq outils : les échanges et l'accueil dans les écoles européennes — l'Erasmus militaire prôné dans la fin des années 2000 est un peu tombé dans l'oubli (1) —, le financement croisé, la présence dans les pays (qui ne soit pas dispersée). (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/17/pourquoi-les-europeens-narrivent-pas-a-convaincre-lors-de-lachat-dequipements-militaires/

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