Back to news

June 27, 2024 | International, C4ISR

Kopin Selected to Develop Integrated Eyepiece Assembly for US Army's Next Generation-Short Range Interceptor Missile Program

More than 100,000 Stinger missiles were produced during the production run of the original version

https://www.epicos.com/article/846865/kopin-selected-develop-integrated-eyepiece-assembly-us-armys-next-generation-short

On the same subject

  • La défense, planche de salut de la filière aéronautique

    July 13, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    La défense, planche de salut de la filière aéronautique

    HASSAN MEDDAH RAFALE , COVID-19 , L'USINE AÉRO , AÉRONAUTIQUE , HAUTS-DE-SEINE PUBLIÉ LE 10/07/2020 À 11H06 Quand l'activité civile flanche, le marché militaire peut prendre le relais. À condition d'avoir déjà un pied dans la place et une vision à long terme. A Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), la vingtaine de compagnons de la PME Rafaut ne chôme pas. Dans leur atelier de mécanique et d'intégration, ils assemblent des emports, d'imposantes pièces mécaniques destinées à Dassault Aviation. Ces pièces qui se placent sous les ailes des Rafale servent à transporter soit des bombes, soit des réservoirs d'appoint. "Notre dualité est un facteur de robustesse, particulièrement appréciable dans cette crise du secteur aéronautique", se réjouit Bruno Berthet, le président de Rafaut. Les activités de défense ont représenté un véritable amortisseur pour cette PME de 400 salariés, dont les commandes pour Airbus (palonnier, freins de rotors...) se sont écroulées avec la crise du secteur aérien. Rafaut présente le profil quasi parfait de l'entreprise dite duale, avec ses 93 millions d'euros de chiffre d'affaires, répartis équitablement entre les activités civiles et militaires. Le groupe a, certes, fait appel à des mesures de chômage technique, mais de manière modérée en mettant 30 % de son personnel en activité partielle pour deux tiers de leur temps de travail. Pour les autres PME du secteur aéronautique, la défense peut-elle constituer une bouée de sauvetage ? Le ministère des Armées veut y croire et met la main à la poche. À l'occasion de l'annonce du plan de sauvetage de la filière aéronautique, début juin, Florence Parly, la ministre des Armées, a annoncé l'accélération de 600 millions d'euros de commandes militaires. L'armée de l'air a commandé trois long-courriers A 330 qui seront transformés en avions ravitailleurs MRTT. Initialement prévus en 2026, ils seront livrés à partir de l'an prochain. Le troisième exemplaire de l'avion léger de surveillance et de reconnaissance qui devait être livré en 2027 le sera en 2023. Les hélicoptéristes ne sont pas oubliés. L'armée va acheter par anticipation huit hélicoptères Caracal. Ils sont destinés à remplacer les Puma dès 2023, soit avec cinq ans d'avance. Enfin, les PME devraient être les principales bénéficiaires d'une commande de drones de surveillance pour la marine à livrer dès 2022. Des accréditations spécifiques "L'ensemble de ces commandes répond à un besoin opérationnel existant de nos forces armées. Nous allons simplement aller plus vite. Cette anticipation nous permettra de sauvegarder plus de 1 200 emplois pendant trois ans, et cela, partout en France", a précisé Florence Parly. L'initiative n'est pas totalement désintéressée. Le ministère ne voudrait surtout pas voir disparaître des fournisseurs stratégiques emportés par la crise économique. Depuis plusieurs semaines, ses équipes pilotent une task force interministérielle forte d'une centaine de personnes. À charge pour elles de quadriller le territoire, visiter les usines et les bureaux d'études, et d'identifier les entrepreneurs et les domaines à risque. Au total, près de 1 500 entreprises seront visitées. Les entreprises tentées de se diversifier vers la défense doivent impérativement avoir une vision de long terme... comme celles des armées qui s'appuient sur une loi de programmation militaire pluriannuelle. Sur la période 2019-2025, le ministère a consacré la part du lion de son budget à l'aéronautique pour renouveler ses flottes d'appareils, d'hélicoptères, de drones. Soit un montant de 19 milliards d'euros ! Toutefois, il serait illusoire de croire que toutes les PME de l'aéronautique pourront en bénéficier d'un simple claquement de doigts. "Pour servir les armées, les fournisseurs doivent passer par des dispositifs d'accréditation. C'est un long processus. Par ailleurs, ce n'est pas simple d'intégrer comme fournisseur un programme d'armement déjà lancé comme le Rafale ou l'A400M. Les tickets d'entrée sont chers", avertit Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour le cabinet PWC. Le cluster Normandie AeroEspace (NAE), qui regroupe plus d'une centaine de PME de l'aéronautique, est bien conscient de la difficulté. Il a lancé des actions tous azimuts pour accélérer leur diversification et notamment une formation pour obtenir une habilitation et une accréditation défense, sésames indispensables pour travailler dans le domaine de l'armement. Le cluster monte également des rencontres avec des représentants du ministère des Armées, de la Direction générale de l'armement (DGA), des grands industriels de l'armement pour connaître les opportunités à saisir... Avec un exemple à suivre : la PME Gauthier Connectique, fabricant de raccords électriques. Cette société (40 salariés, 5 millions d'euros de chiffres d'affaires) était, il y a dix ans encore, exclusivement positionnée sur l'aéronautique. Déjà présents sur le Rafale, ses raccords électriques sont en passe d'être homologués pour monter sur le M51, le missile stratégique de la dissuasion nucléaire. L'entreprise s'est également diversifiée dans le secteur spatial qui représente un tiers de son activité. "Entre la décision de se diversifier, et les premières commandes, il faut compter environ trois ans. Le fait d'avoir déjà comme clients Dassault Aviation, Safran et Thales nous a beaucoup aidés", souligne son président Luc Sevestre. La PME ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. L'entreprise adapte sa technologie au milieu marin et terrestre et tente de séduire Naval Group, de même que Nexter, le fabricant du char Leclerc. Boeing mieux armé qu'Airbus pour traverser la crise ? Airbus va-t-il souffrir plus que son concurrent Boeing pour traverser la crise actuelle ? Si l'avionneur américain traîne le boulet du 737MAX, il a un atout considérable par rapport à son concurrent européen : le soutien du Pentagone, le premier acheteur au niveau mondial d'équipements militaires. Pour les forces armées américaines, Boeing livre à foison des avions de combats (F15 et F18) et des ravitailleurs (KC 46), des hélicoptères d'attaque et de transport de troupe (Chinook, Apache), des missiles... Au total, les activités de la branche défense, sécurité et espace ont pesé pour 34 % de son chiffre d'affaires en 2019, soit 76 milliards de dollars. Pour Airbus, l'activité défense pèse moins de 15 % des activités du groupe, soit 10 milliards d'euros de chiffres d'affaires en 2019. Le groupe avait raté l'occasion historique en 2012 de fusionner avec le britannique BAE Systems. Une telle opération aurait permis d'équilibrer les activités civiles et militaires de l'avionneur, le rêve de Louis Gallois, le président du groupe Airbus (alors EADS) entre 2007 et 2012. « À l'époque, les mauvaises langues disaient qu'il n'y avait pas d'intérêt et peu de synergies à cette opération. Cela aurait probablement constitué un ensemble plus robuste pour traverser la crise actuelle et permis de trouver des synergies utiles aussi bien en matière de gestion des effectifs que des programmes », souligne Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour PWC. https://www.usinenouvelle.com/article/la-defense-planche-de-salut-de-la-filiere-aeronautique.N982761

  • Saab offers Gripen technology transfer to Indian partner

    October 18, 2019 | International, Aerospace

    Saab offers Gripen technology transfer to Indian partner

    Saab offers Gripen technology transfer to Indian partner Bengaluru, Oct 17 (IANS) Swedish aerospace major Saab on Thursday offered technology transfer to its Indian partner for making its fighter Gripen if it wins the Indian Air Force (IAF) order to supply 114 jets. "We will transfer technology to our Indian partner for making Gripen in India if we win the IAF order," Saab India Technologies Managing Director Ola Rignell told reporters here. Technology transfer will also enable Saab to make India its production base for exporting aerospace components to countries where it has operations or customers, he said. Saab is in fray for the multi-billion-dollar global tender to make in India 110 advanced medium multi-role combat aircraft (MMRCA) with five other global aerospace majors Dassault (Rafale), Eurofighter (Typhoon), Boeing (F-18A), Lockheed Martin (F-21) and Russian Aircraft Corporation (MiG-35). The decision to make 114 fighters indigenously was taken after India cancelled the global tender for supply 126 MMRCA in July 2015 and opted in 2016 to buy 36 Rafales from the French Dassault Aviation, which won the contract for an estimated $8.4 billion (Rs 59,000 crore) from the previous NDA government. The tender, floated in April 2018, mandates the bidder to accept an Indian partner chosen by the Indian government. "It is the Indian government''s prerogative to choose the strategic partner for making the fighters in India with the winner of the bid," Rignell said. All the six firms submitted their bids in July 2018, responding to the government''s Request for Proposal (RFP) after Request for Information (RFI) in 2017. Saab, however, decided to set up its India base in Bengaluru, which is also the country''s aerospace hub with the presence of the state-run defence major HAL and aircraft design and development organisations like ADA. "We want Bengaluru to be the base to make Gripen for the IAF as the city has talent as well as resources," Rignell said. Building an ecosystem and making investments is a part of the Swedish firm''s offer to be in contention for the fighter deal. https://www.outlookindia.com/newsscroll/saab-offers-gripen-technology-transfer-to-indian-partner/1642925

  • Heavy polar icebreaker questions mount for Coast Guard

    July 27, 2018 | International, Naval

    Heavy polar icebreaker questions mount for Coast Guard

    By: Andrew C. Jarocki WASHINGTON ― Potential funding woes and questions about the aggressive proposed timelines have cast doubts about the future of the Coast Guard's new heavy polar ice breaker. The Government Accountability Office is dubious the service's lone heavy polar icebreaker can make it to its proposed 2023 retirement date and questioned whether the Coast Guard's construction schedule was too optimistic. The Coast Guard is planing to replace the Polar Star with the new heavy icebreaker the same year, something GAO said may not be “realistic and feasible.” The watchdog noted the aging Polar Star could reach the end of its service life as soon as 2020, and the “highly optimistic” delivery date of the new vessel could be delayed and leave the service without a heavy polar icebreaker to defend strategic Arctic interests for several years. Vice Adm. Daniel Abel, deputy commandant for operations, recently told the Coast Guard and Maritime Transportation Subcommittee at a hearing that the Polar Star is “limping along, and nothing with a US flag could rescue her [in the Arctic] if something happened, putting our polar capabilities at risk." To further complicate matters, House appropriators are currently debating cutting $750 million in funding for the Coast Guard. Vice Adm. Michael McAllister, deputy commandant for mission support, said at the hearing that the entire program schedule is at risk if the appropriations cut is finalized but that he remained confident that the Coast Guard is “well-poised to award the detailed construction contract in fiscal year 2019” for the heavy polar ice breaker. https://www.defensenews.com/naval/2018/07/26/heavy-polar-icebreaker-questions-mount-for-coast-guard

All news