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July 15, 2022 | International, Naval, C4ISR

Italian Navy, telecom provider team up to deter attacks on undersea cables

An Italian Navy official also suggested cables themselves might act as sensors to help the service.

https://www.defensenews.com/naval/2022/07/14/italian-navy-telecom-provider-team-up-to-deter-attacks-on-undersea-cables

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  • Afghanistan deployment proves One World Terrain is more than a training tool

    October 15, 2020 | International, Aerospace, Land, C4ISR

    Afghanistan deployment proves One World Terrain is more than a training tool

    Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army began building an entire virtual world a few years ago for its Synthetic Training Environment (STE) to bring accuracy and a real-life feel to training, but a deployment of One World Terrain in Afghanistan has proved it's not just a training tool, according to Maj. Gen. Maria Gervais, who is in charge of the service's STE development. One World Terrain, or OWT, compiles realistic and, in some cases, extremely accurate virtual maps of territory all over the globe. The idea is to be able to click on any place on a virtual globe and go there. Soldiers can then train virtually in an exact environment in which they can expect to operate in reality. “We're seeing now there are better uses for operational capability,” Gervais told Defense News in an Oct. 8 interview ahead of the Association of the U.S. Army's annual conference. “And it's helping us inform how do we now expand this to meet training, operational and also targeting requirements.” It all began with a unit that used OWT for training at the National Training Center on Fort Irwin, California, and saw value in it, Gervais said. When the unit deployed to Afghanistan, the soldiers asked to take the system — which included a drone and software — she said. The unit was able to capture terrain for the purpose of mission-planning rehearsal and route planning. But the soldiers also used it to take an in-depth look at the forward-operating base to see how it was set up and analyze it for vulnerabilities. “I will tell you from that usage, they figured out they had to make some changes,” Gervais said. “And then they went out and they started looking at other operating bases within their area. They expanded it.” The system “immediately started proving its utility to them,” she said, “but from that unit from what they were able to do, we then were able to take the next unit that was coming in behind them and provide all that information to them and allow them to understand how One World Terrain could be used.” The Army's 82nd Airborne Division also used the system prior to deploying to another theater. The division captured the terrain, using it for predeployment planning and mission rehearsals, including how and where to set up a base and where to position electronic warfare systems. OWT also helped the 25th Infantry Division out of Hawaii prepare for a Joint Training Readiness Center rotation, and its members also plan to use it during the exercise. These uses have led the Army to provide more drones and software for more units, Gervais said. Starting in December and January, the Army will begin fielding “a little bit more capability,” she added. In March, the STE team went to Germany to observe an assured position, navigation and timing exercise that included a sensor-to-shooter, live-fire drill. The team worked with the 1st Cavalry Division's intelligence analysts and put OWT on the Distributed Common Ground System-Army (DCGS-A) system, which is an intelligence analysis platform. “We showed them the capability, and what came out of there was pretty astounding,” Gervais said. With 3D terrain from OWT in the system, decisions could be made more quickly because there was no need to compare two different databases and reason against it, she said. That cut workload by about 60 percent, she added. OWT was on a DCGS-A system at Project Convergence at Yuma Proving Ground, Arizona, this year, Gervais said, and it showed the realm of the possible from a targeting perspective. While the STE had a limited scope during Project Convergence, “we're going to be more integrated in Project Convergence 21 next year,” she added, so that “everybody's kind of operating off the 3D terrain.” https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/ausa/2020/10/14/afghanistan-deployment-proves-one-world-terrain-is-more-than-a-training-tool/

  • US Navy, seeking energetics breakthroughs, releases new requirements

    September 13, 2021 | International, Naval

    US Navy, seeking energetics breakthroughs, releases new requirements

    A public-private partnership focused on accelerating tech breakthroughs for energetics has released its first requirements document, focused on hypersonic weapons and other munitions.

  • AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    October 18, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre de Dassault et du Rafale

    Alexis Pfefferlé Une industrie de la défense en Suisse ? Existe-t-il une industrie de la défense en Suisse ? Cette question, pertinente, fut posée par certains parlementaires à l'heure de décider si le programme AIR 2030 devait être conditionné à des affaires compensatoires. La réponse à cette question en Suisse n'est pas aussi claire que ce qu'elle pourrait être en France ou en l'Allemagne, pays qui possèdent des industries lourdes dévolues entièrement au secteur sécurité & défense. En Suisse, dont on rappelle que le tissu économique se compose à 90% de PME, l'industrie de la défense se compose d'une myriade de PME/PMI qui produisent principalement des machines ou des composants qui rentrent dans la chaine de production de groupes étrangers actifs dans le domaine. Par exemple, nos machines à haute précision sont aussi utiles et demandées dans le domaine civile que militaire. Selon SWISSMEM, l'association faîtière des PME et des grandes entreprises de l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM), l'industrie MEM concerne près de 320'000 emplois en Suisse et un chiffre d'affaire à l'export trois fois supérieur à celui de l'industrie horlogère. La part de l'industrie de défense est nettement plus faible mais permet de maintenir en Suisse des postes de travail à très haute valeur ajoutée. A la lecture de ces chiffres, les affaires compensatoires prévues dans le programme AIR2030 sont indiscutablement une opportunité exceptionnelle pour l'économie suisse. Dassault – Safran – Thalès, l'excellence industrielle française Retour à Lausanne le mercredi 16 octobre, 0800, pour la seconde journée BtoB entre les industriels suisses et les avionneurs retenus dans le cadre du programme AIR2030. Au menu de ce jour, le Rafale du consortium Dassault – Safran – Thalès. Le Rafale est un biréacteur de 4ème génération voire 4ème génération +, selon les classifications, en vertu d'une certaine furtivité active et tactique. C'est le fleuron de l'armée de l'air française et probablement le chasseur européen le plus avancé en matière technologique. La présentation est dirigée par Monsieur Florent SEYROL, responsable du Business Développement et Coopération Internationale pour Dassault Aviation et par Monsieur Pascal DIDIERJEAN pour le groupe Safran. Le programme Rafale étant un programme achevé en matière d'étude et bien rodé en matière de production, la présentation de Dassault est principalement axée sur la compensation indirecte. Les maîtres mots de la présentation sont l'innovation et la recherche. Poids lourd de l'industrie française et mondiale, Dassault c'est 4.8mia de chiffre d'affaire dont 20% sont alloués à la recherche et au développement. Hormis les pharmas, peu de sociétés suisses ont accès à un tel niveau de financement. Le fil conducteur semble tout trouvé et le consortium formé par Dassault, Safran et Thalès, au travers de leurs divisions combinées, offre de nombreuses possibilités pour les sociétés suisses et des perspectives intéressantes en matière de croissance dans des secteurs allant de l'aéronautique à l'optique en passant par la motorisation et l'électronique. Monsieur Florent SEYROL le souligne, Dassault a une taille internationale, l'expérience de la croissance et des grands contrats, et c'est également cette expérience que le groupe transmet à ses partenaires pour que ceux-ci puissent exploiter pleinement leur potentiel économique. Monsieur Pascal DIDIERJEAN, pour le groupe Safran, abonde dans ce sens, illustrant son propos avec l'exemple de la technologie VTOL (Vertical Take-off and Landing aircraft), où la Suisse, je l'apprends, à une carte à jouer, surtout aux cotés d'un motoriste comme Safran. Premier avionneur à le souligner, Dassault est également très sensible à l'innovation dans le milieu académique et les succès suisses des EPF ne sont pas passés inaperçus. A l'heure des difficultés rencontrées par ces institutions dans le cadre des projets européens, des financements indirectes de ce type dans le cadre des affaires compensatoires seraient pertinents et bienvenus. Pour Dassault, la force de la Suisse c'est l'innovation et investir dans notre pays et nos entreprises c'est investir dans les technologies du futur, un win win français. On notera enfin que plusieurs sociétés suisses présentes se sont félicitées du contact franc et direct qu'ils ont pu avoir avec les représentants du consortium Rafale, plus faciles d'accès et moins rigides que certains concurrents. RAFALE, points forts et points faibles Points forts Dassault-Safran-Thalès ont les moyens de leurs ambitions en matière de R&D et l'innovation suisse pourrait en profiter pleinement Des coûts à l'export réduits compte tenu de la proximité géographique Un calcul politique intéressant avec un allié influent à Bruxelles Points faibles Faible implantation en Suisse à l'heure actuelle Certains cantons où il faudra être très persuasif lors de la votation https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/17/air2030-a-la-rencontre-de-dassault-et-du-rafale/

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