Back to news

August 28, 2018 | International, Aerospace, Naval

India is one step closer to spending billions on new naval helicopters from US, allies

By:

NEW DELHI — India's Ministry of Defence's apex procurement body, the Defence Acquisition Council, approved procurement of naval multirole and naval utility helicopters, but induction will not be made anytime soon.

MoD's DAC approved the purchase of 24 MH-60 Romeo multi-role helicopters from the U.S. through a foreign military sale at a cost of more than $2 billion. DAC also approved purchase of 111 naval utility helicopters, costing around $3.39 billion, to be built under the Make in India policy by domestic private companies in partnership with overseas original equipment manufacturers.

But this is only budgetary approval for purchase of two types of naval helicopters; that budget has yet to be allocated, and no timeline has been set for when the procurement process would kick-start, said a senior MoD official.

“The procurement of naval multirole helicopters will take at least three to five years, while induction of naval utility helicopters will take from eight to 10years,”he noted.

Another MoD official said the budgetary allocation for the naval multirole helicopters would come in the next three to six months; thereafter MoD will issue a letter of request, or LOR, to the U.S. Department of Defense, outlining specific requirements., beginning negotiations.

MoD plans to pursue the procurement of 111 naval utility helicopters under Make in India's strategic partners policy, under which choppers will be produced by selected private companies though a possible joint venture and technology transfer from foreign companies.

No private defense company in India have produced helicopters before, which could create a lengthy selection process.

In July last year, Indian Navy floated a request for information (RFI) to both domestic and foreign original equipment manufacturers, or OEMs, to participate in naval utility helicopter program.

Foreign OEMs including Airbus Helicopters of France, Russian Helicopters of Russia, Lockheed Martin and Bell of United States have expressed interest in supporting procurement efforts. Domestic private defense companies Adani Group, Bharat Forge Ltd, Reliance Defence, Mahindra Aerospace and Tata Advanced Systems Ltd have also responded to the RFI to build naval utility helicopters in the country.

https://www.defensenews.com/naval/2018/08/27/india-is-one-step-closer-to-spending-billions-on-new-naval-helicopters-from-us-allies

On the same subject

  • Missile Defense Agency Reveals Hypersonic Defense Vision

    August 7, 2020 | International, Aerospace, Land

    Missile Defense Agency Reveals Hypersonic Defense Vision

    August 07, 2020 Lockheed Martin will propose a new, sea-based variant of the Terminal High-Altitude Area Defense interceptor for the Regional Glide-Phase Weapon System. Credit: Missile Defense Agency A newly released vision by the U.S. Missile Defense Agency shows how an organization already burdened with the increasing sophistication of rogue-state ballistic missile threats intends to tackle the... https://aviationweek.com/defense-space/missile-defense-weapons/missile-defense-agency-reveals-hypersonic-defense-vision

  • Finland approves construction of Patria’s F-35 assembly facility

    March 3, 2024 | International, Aerospace

    Finland approves construction of Patria’s F-35 assembly facility

    The project is linked to the $9.6 billion jet procurement contract reached between Finland and the American company Lockheed Martin in February 2022.

  • La bataille du futur avion de chasse de l'armée suisse a démarré

    July 23, 2018 | International, Aerospace

    La bataille du futur avion de chasse de l'armée suisse a démarré

    La Suisse a lancé début juillet l'appel d'offres pour les nouveaux avions de combat. Les constructeurs Boeing, Airbus, Dassault, Saab et Lockheed Martin redoublent déjà d'efforts pour convaincre la Confédération. Cinq jets doivent être évalués: le Gripen E suédois (Saab), le Rafale français (Dassault), l'Eurofighter allemand (Airbus), et côté américain, le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Les constructeurs pourront soumettre leur offre à Armasuisse d'ici la fin janvier 2019. En Suède, l'opération de séduction a démarré à Linköping, petite ville de 150'000 habitants et capitale du Gripen. La localité est habituée aux rugissements du chasseur et au secret défense. Alors qu'il n'était qu'un projet en 2014, le Gripen E de Saab a désormais 30 heures de vols à son compteur. "Le Gripen E mûrit très vite", explique Rustan Nicander, responsable du marché suisse chez Saab. "Le Brésil et la Suède sont déjà clients, avant que la Suisse ne décide d'acheter l'appareil. Ce sera donc un appareil très mûr quand la Suisse fera son choix." Convaincre les politiques et l'industrie Pour remporter à nouveau l'appel d'offres, le constructeur suédois tente de rassurer, tout en misant sur son réseau. "Nous avions déjà remporté la dernière évaluation il y a quelques années", rappelle Jonas Hjelm, responsable des affaires aéronautiques. "Je pense que nous apportons cette fois un ensemble encore plus cohérent." Les performances du futur appareil ne constitueront pas le seul critère pour la Suisse. L'ultra-moderne F-35A américain n'a par exemple plus grand chose à prouver. L'entreprise américaine sait donc qu'elle doit aussi convaincre la politique et l'industrie. "Tous les pays qui ont acheté le F-35 ont eu un retour économique et industriel", affirme Yung A. Le, responsable de l'Europe du Nord chez Lockheed Martin. "Ce ne sera pas différent pour la Suisse. Nous avons des collaborateurs qui rencontrent l'industrie en Suisse romande, chez les Alémaniques et les italophones afin de mieux comprendre le tissu industriel." Après le travail de l'industrie, celui de la diplomatie Les entreprises étrangères avec lesquelles des contrats seront signés devront compenser 100% de la valeur des contrats par des affaires en Suisse. Discrète, la filiale allemande d'Airbus privilégie depuis son bureau bernois les coulisses aux grandes campagnes de communication pour vendre son Eurofighter. "Nous ne sommes pas nouveaux en Suisse, nous y avons déjà des contrats avec l'industrie, mais il faut que nous les développions davantage pour atteindre les besoins demandés", indique le Dr. Alexander-Long Vinh, responsable de cette campagne chez Airbus. Après le travail de l'industrie viendra celui de la diplomatie. Ce sera au gouvernement de chaque constructeur de transmettre une offre à la Suisse. Des tests au sol et en vol seront menés dans le pays entre mai et juillet 2019. Un deuxième appel d'offre pour les jets sera mené en novembre 2019 et les réponses sont attendues pour fin mai 2020. Le choix des modèles devrait tomber vers fin 2020. Le Parlement puis le peuple devraient pouvoir se prononcer sur la facture. Loïs Siggen-Lopez/tmun https://www.rts.ch/info/suisse/9717782-la-bataille-du-futur-avion-de-chasse-de-l-armee-suisse-a-demarre.html

All news