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November 21, 2022 | International, Aerospace

How the US plans to train armed overwatch pilots for counterterrorism

The Air Force plans to start training new pilots to fly the OA-1K armed overwatch planes in fall 2025.

https://www.c4isrnet.com/management/2022/11/21/how-the-us-plans-to-train-armed-overwatch-pilots-for-counterterrorism/

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  • Marines Want Missiles To Sink Ships From Shores, And They Want Them Fast

    January 18, 2019 | International, Naval, Land

    Marines Want Missiles To Sink Ships From Shores, And They Want Them Fast

    By PAUL MCLEARY WASHINGTON The Marine Corps has kicked off a rapid development program to begin firing long-range anti-ship missiles from shore-based ground vehicles in an effort to add more punch to the Navy's growing anti-ship capabilities, which are aimed squarely at Chinese and Russian advances. Dubbed the Navy-Marine Expeditionary Ship Interdiction System — that's NEMSIS to you — the program has completed its design phase. For the missile itself, Marines are looking at Lockheed Martin's new Long-Range Anti-Ship Missile (LRASM), with stealthy features to penetrate enemy missile defenses, a 1,000-pound warhead, and a range disclosed only as “over 200 miles”; Raytheon's Naval Strike Missile (NSM) already chosen as an upgrade for Navy Littoral Combat Ships, with a 264-lb warhead and a 115-mile range; and Boeing's venerable Harpoon, whose variants have a 500-lb warhead and ranges between 70 and 150 miles. The program kicked off last year with a request for information (RFI), after which companies signed OTA agreements with the service in September. Final proposals were submitted in December. Full article: https://breakingdefense.com/2019/01/marines-want-missiles-to-sink-ships-from-shores-and-they-want-them-fast/

  • La Belgique a survolé l'offre de Dassault pour le remplacement des F-16

    June 14, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique a survolé l'offre de Dassault pour le remplacement des F-16

    Olivier Gosset L'offre française de partenariat stratégique n'a jamais été étudiée dans le détail. La version complète n'a d'ailleurs pas été déposée auprès des autorités du pays. La proposition de partenariat stratégique mise sur la table par Paris pour le remplacement des F-16 n'a jusqu'ici pas été examinée en détail par la Belgique, dont les autorités ne sont même pas en possession de l'offre complète, a-t-on appris d'une source proche du dossier. La France a décidé de ne pas participer à l'appel d'offres (Request for Government Proposal ou RfGP) lancé en mars 2017 par la Belgique pour l'achat de 34 chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. S'engageant dans une autre voie, Paris a fait parvenir le 6 septembre 2017 au cabinet du ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, une lettre proposant un "partenariat approfondi et structurant" fondé sur l'avion de combat Rafale. Une coopération allant bien au-delà de la seule fourniture d'avions de combat, selon les responsables français. La proposition française est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense. Quelques éléments de cette offre ont filtré, principalement en ce qui concerne les retombées industrielles potentielles si la Belgique achète le Rafale. Des retours économiques que la France chiffre à 20 milliards d'euros sur 20 ans. Ensuite, plus rien! Du moins jusqu'au 15 mai dernier, lorsqu'une délégation de membres du cabinet de la ministre française des Armées, Florence Parly, s'est rendue à Bruxelles – pour la première fois en huit mois – dans le but d'expliciter auprès de leurs homologues belges l'offre française. Mais la proposition n'a pas été réellement scrutée à la loupe ni examinée sous tous les angles, puisque le document complet, qui fait plus de 3.000 pages, n'a jamais été formellement déposé en Belgique. À l'exception de la Défense, aucun cabinet belge n'a été autorisé à recevoir des représentants de l'Hexagone, et encore moins à réceptionner le volumineux dossier. Que ce soit au niveau du Premier ministre ou des Affaires étrangères. Aucun contact, même informel, ne semble avoir eu lieu non plus avec le SPF Économie ou le cabinet qui le chapeaute. Bref, la proposition française – ou du moins son résumé – est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense qui, de son côté il est vrai, était tenu de travailler dans le seul cadre de l'appel d'offres en l'absence de décision politique du gouvernement remettant cette procédure en cause. Rien de nouveau? Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que ce même cabinet ait toujours jugé non pertinente l'offre française. Ou qu'il ait indiqué n'avoir "rien entendu de nouveau" lors de la visite des émissaires français il y a quelques semaines. Que les experts militaires de l'équipe Accap, chargée d'évaluer les deux offres finales considérées comme juridiquement valables, n'aient pas pris en compte la proposition française, rien de plus normal. Pour rappel, les deux candidats qui ont remis des offres en bonne et due forme sont les Etats-Unis avec le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l'Eurofighter Typhoon du consortium européen éponyme. Le rapport de ces experts se trouve désormais sur le bureau de leur ministre, qui doit le transmettre au kern. Par contre, que le contenu du partenariat français n'ait jamais été examiné de près à un autre niveau en l'absence de tout engagement, voilà qui a de quoi surprendre. D'abord parce qu'il contient visiblement des éléments intéressants, comme une éventuelle participation au programme de Système de combat aérien du futur (Scaf) franco-allemand, ou encore, selon nos informations, une période très courte (sur moins de trois ans) pour la livraison des 34 appareils, quel que soit le moment où le contrat serait signé. Par ailleurs, le gouvernement belge serait bien avisé de garder plusieurs fers au feu. Parce que le résultat de l'appel d'offres risque de se heurter à des obstacles géopolitiques imprévus. Il ne va pas être très aisé en effet de justifier l'éventuelle acquisition d'appareils américains alors que l'administration Trump a déclaré une guerre commerciale au Vieux continent et que Paris et Berlin tentent de relancer l'Europe de la défense. https://www.lecho.be/entreprises/defense-aeronautique/la-belgique-a-survole-l-offre-de-dassault-pour-le-remplacement-des-f-16/10021780.html

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