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April 19, 2021 | International, Aerospace

How The U.S. Army Will Incorporate New Tech For Aviation Readiness | Aviation Week Network

The U.S. Army plans to use like digital twins and advanced manufacturing to improve aviation sustainment.

https://aviationweek.com/defense-space/budget-policy-operations/how-us-army-will-incorporate-new-tech-aviation-readiness

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    Le Rafale, loin de disparaître, ambitionne de rester le meilleur avion de combat du monde.

    PAR JEAN-PAUL BAQUIAST Le temps n'est pas éloigné où les médias français ridiculisaient le Rafale de Dassault Aviation. Ils le présentaient comme une relique invendable et bientôt dépassée d'un temps où la France, dans la tradition gaulliste, voulait avoir des moyens de défense en propre au lieu de tout acheter aux Etats-Unis. Aujourd'hui le Rafale a finalement fait sa percée à l'exportation avec plus de 144 appareils commandées, dont 96 fermes. Mais il faut aussi prévoir l'avenir. Le 14 janvier, sur la chaîne de montage du Rafale à Mérignac, Florence Parly ministre de la défense a annoncé que le gouvernement voulait lancer les recherches pour une nouvelle version du Rafale, dit au standard F4, pour laquelle un budget de 2 milliards, malgré les restricitons, a déjà été prévu. Par ailleurs les armées françaises comptent augmenter leurs acquisitions à partir de 2022 portant si possible sur cette nouvelle génération du Rafale, livrables entre 2022 et 2030. Rappelons que le Rafale est le produit d'un ensemble d'industriels comprenant outre Dassault Aviation, Thales, Safran, MBDA-Missile Systems et des dizaines de sous-traitants. Inutile de préciser que chacun d'eux compte réutiliser dans le cadre d'autres produits militaires et civils le savoir-faire acquis. Le Rafale augmentera ainsi sa supériorité sur ses concurrents européens, Eurofighter et Gripen. Inutile de préciser aussi que dans le même temps les déboires du programme américain F-35 , qui tourne au scandale politique majeur, élimineront la concurrence de ce dernier. Les gouvernements européens qui avaient par complaisance servile avec les Etats-Unis, accepté de s'en équiper, devront vraisemblablement se rabattre sur le Rafale F4. Ils n'y perdront rien. Quant aux Su-35 et Su-57 russes, en dehors du marché indien où ils tentent de reprendre l'avantage sur le Rafale, ils ne sont en compétition avec lui quasiment nulle part, ce d'autant plus que le Rafale a déjà fait ses preuves dans divers engagements militaires en vraie grandeur, ce qui n'est pas autant que nous sachions le cas pour les russes. Les innovations du F4 concerneront principalement sa capacité à opérer en fusion de données au sein d'un dispositif interarmes et interarmées. Il sera en mesure, gr'ce à des logiciels opérant par radio, de recueillir et d'échanger des informations en temps réel avec l'ensemble des systèmes d'armes, aériens, terrestres, navals, spatiaux, qui seront engagés sur une zone de guerre. Ainsi navires, troupes au sol, satellites, plateformes aériennes pilotées et non pilotées (UCAV) qui opéreront à ses côtés, pourront bénéficier des échanges avec eux, soit pour être informés de la situation sur le terrain, soit en effectuant certaines missions pour leur compte. Le F4 sera doté d'un radar amélioré par rapport à l'actuel, dit AESA RBE2, qui pourra être plus précis pour des missions air-sol, plus puissant sur le mode air-air. Par ailleurs les spécialistes ont noté qu'il verra son système d'autoprotection SPECTRA ou Système de Protection et d'Évitement des Conduites de Tir et ses capacités de brouillage améliorées. Son optronique secteur frontal (OSF) sera doté d'infrarouge. Ceci améliorera les performances nocturnes de l'appareil jusqu'ici réduit à un capteur TV pour l'identification et la poursuite des objectifs aériens. Ajoutons que Thales apportera sur le F4 ses savoir-faire en matière de gestion des données en temps réel (Big Data) et d'intelligence artificielle (IA) pour offrir au F4 des outils de maintenance prédictive qui devraient permettre non seulement de réduire significativement le coût du maintien en condition opérationnelle mais aussi de rehausser le taux d'appareils immédiatement disponibles, qui ne dépasse pas actuellement du fait des nécessités de la maintenance environ 60%. On peut penser que le F4 sera est une nouvelle étape vers un Rafale F5, ou MLU (Mid-Life Upgrade), qui verra la pérennité de la filière pilotée assurée au-delà de l'horizon 2050, malgré les prédictions hasardeuses selon lesquelles les appareils pourront se passer de pilotes à bord. Enfin le Rafale F4 pourra emporter le missile AS4NG (air-sol nucléaire de quatrième génération), missile hypersonique capable de voler à plus de 5.000 km/h et devant entrer en service à l'horizon 2035. Il pourra ansi rivaliser avec les missiles hypersoniques dont seront seuls dotés la Russie, la Chine et sans doute les Etats-Unis, lesquels s'efforcent actuellement de rattraper leur retard en ce domaine. Il faut espérer que les futurs gouvernement français ne remettront pas en cause ces programmes, dans le désir de mieux financer la consommation ou de se conformer à des instructions de l'Otan. https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-baquiast/blog/190719/defense-le-rafale-f4

  • Proposed rule banning Chinese tech needs to consider small contractors, senators warn

    May 6, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Proposed rule banning Chinese tech needs to consider small contractors, senators warn

    Andrew Eversden Two U.S. senators called on the Office of Management and Budget to ensure that federal regulation banning the government's use of Chinese telecommunications technology include “explicit processes” to help small businesses with compliance. In a May 4 letter sent to acting OMB Director Russ Vought, Sens. Marco Rubio, R-Fla., and Ben Cardin, D-Md., asked Vought to carefully consider to the needs of small businesses while the agency reviews a proposed rule. The senators' concern is in response to a proposed rule under review by OMB implementing Section 889(a)(1)(B) of the fiscal 2019 defense policy law — a provision that bans federal agencies from procuring or doing business with companies using “covered telecommunications equipment or services" in an effort to block Chinese tech companies like Huawei and ZTE from entering the U.S. government's supply chain. Rubio and Cardin are the top two senators on the Senate Committee on Small Business and Entrepreneurship. According to the letter, OMB is currently reviewing the draft proposed rule, statutorily required to be implemented Aug. 13. Because smaller companies don't have access to the same resources as larger suppliers, they may need “more assistance and time,” the senators wrote. The pair called the guidance for small businesses “vita,l” given that small businesses make up about one-quarter of federal procurement, worth $120 billion. “By providing these small firms with a clear path toward compliance and a reasonable time frame, we believe that the goal of securing the United States supply chain will be better achieved,” Rubio and Cardin wrote. Outside interest groups representing federal contractors have also pushed Congress to delay the implementation of Part B of Section 889. In a joint letter in late March, the National Defense Industrial Association and the Professional Services Council asked Congress to delay the Aug. 13 date to February 2021. They also cited the ongoing coronavirus pandemic as reason for a delay. “Part B will impose significant financial and operational costs on medium and small-sized firms at a moment of substantial uncertainty and hardship. While we agree that Part B addresses a significant problem in defense supply chains, and that additional measures are needed to protect [Department of Defense] information assets from covered equipment, COVID-19 has made the current implementation timeline infeasible,” the groups wrote. The United States government alleges that Huawei's 5G technology allows for Chinese government espionage and poses a threat to national security. Senior U.S. officials have traveled the globe, urging allies not to include Huawei's technology in their 5G networks. But the effort has been largely unsuccessful, particularly after the United Kingdom announced in January it would allow Huawei to build noncritical pieces of its 5G network. That decision was met with scorn by lawmakers on Capitol Hill. Still, Rubio and Cardin warned that OMB needs to produce the regulation cautiously and carefully. “We are concerned that if the regulatory implementation language fails to adequately consider small businesses, this process could not only result in an ineffective implementation of the prohibition, but also be both harmful and costly to thousands of small federal contractors,” they wrote. https://www.fifthdomain.com/congress/capitol-hill/2020/05/05/proposed-rule-banning-chinese-tech-needs-to-consider-small-contractors-senators-warn/

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