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June 23, 2023 | International, Other Defence

House panel eyes billion-dollar Pentagon fund to push commercial tech

The bill would establish a hedge portfolio of commercially available systems like low-cost drones, agile computing nodes and AI capabilities.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/2023/06/23/house-panel-eyes-billion-dollar-pentagon-fund-to-push-commercial-tech/

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  • Le Rafale, loin de disparaître, ambitionne de rester le meilleur avion de combat du monde.

    July 22, 2019 | International, Aerospace

    Le Rafale, loin de disparaître, ambitionne de rester le meilleur avion de combat du monde.

    PAR JEAN-PAUL BAQUIAST Le temps n'est pas éloigné où les médias français ridiculisaient le Rafale de Dassault Aviation. Ils le présentaient comme une relique invendable et bientôt dépassée d'un temps où la France, dans la tradition gaulliste, voulait avoir des moyens de défense en propre au lieu de tout acheter aux Etats-Unis. Aujourd'hui le Rafale a finalement fait sa percée à l'exportation avec plus de 144 appareils commandées, dont 96 fermes. Mais il faut aussi prévoir l'avenir. Le 14 janvier, sur la chaîne de montage du Rafale à Mérignac, Florence Parly ministre de la défense a annoncé que le gouvernement voulait lancer les recherches pour une nouvelle version du Rafale, dit au standard F4, pour laquelle un budget de 2 milliards, malgré les restricitons, a déjà été prévu. Par ailleurs les armées françaises comptent augmenter leurs acquisitions à partir de 2022 portant si possible sur cette nouvelle génération du Rafale, livrables entre 2022 et 2030. Rappelons que le Rafale est le produit d'un ensemble d'industriels comprenant outre Dassault Aviation, Thales, Safran, MBDA-Missile Systems et des dizaines de sous-traitants. Inutile de préciser que chacun d'eux compte réutiliser dans le cadre d'autres produits militaires et civils le savoir-faire acquis. Le Rafale augmentera ainsi sa supériorité sur ses concurrents européens, Eurofighter et Gripen. Inutile de préciser aussi que dans le même temps les déboires du programme américain F-35 , qui tourne au scandale politique majeur, élimineront la concurrence de ce dernier. Les gouvernements européens qui avaient par complaisance servile avec les Etats-Unis, accepté de s'en équiper, devront vraisemblablement se rabattre sur le Rafale F4. Ils n'y perdront rien. Quant aux Su-35 et Su-57 russes, en dehors du marché indien où ils tentent de reprendre l'avantage sur le Rafale, ils ne sont en compétition avec lui quasiment nulle part, ce d'autant plus que le Rafale a déjà fait ses preuves dans divers engagements militaires en vraie grandeur, ce qui n'est pas autant que nous sachions le cas pour les russes. Les innovations du F4 concerneront principalement sa capacité à opérer en fusion de données au sein d'un dispositif interarmes et interarmées. Il sera en mesure, gr'ce à des logiciels opérant par radio, de recueillir et d'échanger des informations en temps réel avec l'ensemble des systèmes d'armes, aériens, terrestres, navals, spatiaux, qui seront engagés sur une zone de guerre. Ainsi navires, troupes au sol, satellites, plateformes aériennes pilotées et non pilotées (UCAV) qui opéreront à ses côtés, pourront bénéficier des échanges avec eux, soit pour être informés de la situation sur le terrain, soit en effectuant certaines missions pour leur compte. Le F4 sera doté d'un radar amélioré par rapport à l'actuel, dit AESA RBE2, qui pourra être plus précis pour des missions air-sol, plus puissant sur le mode air-air. Par ailleurs les spécialistes ont noté qu'il verra son système d'autoprotection SPECTRA ou Système de Protection et d'Évitement des Conduites de Tir et ses capacités de brouillage améliorées. Son optronique secteur frontal (OSF) sera doté d'infrarouge. Ceci améliorera les performances nocturnes de l'appareil jusqu'ici réduit à un capteur TV pour l'identification et la poursuite des objectifs aériens. Ajoutons que Thales apportera sur le F4 ses savoir-faire en matière de gestion des données en temps réel (Big Data) et d'intelligence artificielle (IA) pour offrir au F4 des outils de maintenance prédictive qui devraient permettre non seulement de réduire significativement le coût du maintien en condition opérationnelle mais aussi de rehausser le taux d'appareils immédiatement disponibles, qui ne dépasse pas actuellement du fait des nécessités de la maintenance environ 60%. On peut penser que le F4 sera est une nouvelle étape vers un Rafale F5, ou MLU (Mid-Life Upgrade), qui verra la pérennité de la filière pilotée assurée au-delà de l'horizon 2050, malgré les prédictions hasardeuses selon lesquelles les appareils pourront se passer de pilotes à bord. Enfin le Rafale F4 pourra emporter le missile AS4NG (air-sol nucléaire de quatrième génération), missile hypersonique capable de voler à plus de 5.000 km/h et devant entrer en service à l'horizon 2035. Il pourra ansi rivaliser avec les missiles hypersoniques dont seront seuls dotés la Russie, la Chine et sans doute les Etats-Unis, lesquels s'efforcent actuellement de rattraper leur retard en ce domaine. Il faut espérer que les futurs gouvernement français ne remettront pas en cause ces programmes, dans le désir de mieux financer la consommation ou de se conformer à des instructions de l'Otan. https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-baquiast/blog/190719/defense-le-rafale-f4

  • Virtual reality training — for pilots, maintainers and more — expands in 2020

    September 18, 2019 | International, Aerospace, C4ISR

    Virtual reality training — for pilots, maintainers and more — expands in 2020

    By: Stephen Losey One of the top priorities of Lt. Gen. Brad Webb, the newly minted head of Air Education and Training Command, will be expanding the Air Force's experiment with virtual reality training. So far, the Air Force has had success with Pilot Training Next, which uses VR, biometrics and artificial intelligence to better teach aspiring pilots how to fly. Webb is eyeing similar technologies, under the name Learning Next, to improve other forms of technical training. This could include teaching airmen how to maintain aircraft, fly remotely piloted aircraft or perform other technical tasks. These programs allow students' education to proceed more at their own pace, since they are based on competency and are not tied to a timetable, Wright said. A student who already has the fundamentals down can skip the basics and go right to what he or she needs to learn. AETC is now in the process of broadening Pilot Training Next, which has been a demonstration, to the next phase of wider experimentation, Webb said. He and Maj. Gen. Craig Wills, commander of the 19th Air Force, are working on plans to expand Pilot Training Next. By next summer, Webb wants to have set up Pilot Training Next elements at several squadrons, though it wouldn't be across all undergraduate pilot training bases. A few classes after that, Webb expects, Pilot Training Next will be expanded to all UPT bases. The Pilot Training Next expansion will likely be done methodically, at one base first, Webb said, though he would not say which base AETC is looking at. “What has happened in our last couple of years with Pilot Training Next has been an explosion, out of the box, of innovation,” Webb said. “Make no mistake, the Air Force wants this inculcated as fast as we can go,” he said. AETC is already in the “nascent stages” of testing VR and other technology-enhanced training for maintenance and other technical training as part of Learning Next, Webb said. Maintenance Next is a particular priority and is happening on an experimental basis at Kelly Field at Joint Base San Antonio-Lackland in Texas, he said, and using VR for RPA training is also proceeding. As the VR pilot training shows, such programs can accelerate in a hurry, he said. Ethics Webb also wants to cultivate an “environment of excellence, professionalism, ethics and character development” during his time at AETC. Webb, who was previously commander of Air Force Special Operations Command, pointed to the ethical clouds that have fallen over parts of the special operations community in recent years. For example, the Navy relieved the entire senior leadership team of SEAL Team 7 earlier this month over what it described as leadership failures that resulted in a breakdown of good order and discipline while deployed. AFSOC took a hard look at itself, Webb said, to make sure it doesn't allow similar lapses to fester. “For a leader, you can never ... talk about core values enough,” Webb said. “If I had to look myself in the mirror from my last command, I can tell you my team knew our mission and vision of priorities backwards and forwards.” But while airmen at AFSOC understood Air Force core values, he acknowledged he didn't always articulate those values in his everyday “walk-around, talk-around” encounters. That can create problems if leaders assume airmen already know about the core values, he said. When a unit starts to feel the pressure from high operations tempos and a lack of resources, Webb said, that “get-'er-done” mentality can lead to bad decisions if airmen don't have a firm foundation of the Air Force core values. “If you don't have a firm foundation, you can go to a dark place with that ... ‘find a way to yes' mentality,” Webb said. “We've got to always talk about professionalism and ethics, and also always talk about our core values. That will be a capstone” of his time at AETC. Webb said he plans to continue with AETC's recent improvements in how special warfare airmen are recruited and trained, which included standing up the new Special Warfare Training Wing and the special warfare-focused 330th Recruiting Squadron. More work needs to be done to “normalize” and fine-tune those units, and more firmly fold them into AETC's everyday culture, he said. https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2019/09/16/virtual-reality-training-for-pilots-maintainers-and-more-expands-in-2020/

  • Kyiv hopes for conference next month on joint Ukraine-US arms production | Reuters

    November 12, 2023 | International, Aerospace

    Kyiv hopes for conference next month on joint Ukraine-US arms production | Reuters

    Ukraine's presidential chief of staff said he hoped a conference on joint Ukrainian-U.S. weapons production would be held in December in the United States, Kyiv's most important supplier of military assistance.

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