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June 20, 2024 | International, Aerospace

Honeywell backs growth drive with $1.9 bln aerospace and defense deal

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  • Les nouveaux systèmes de défense sol-air de l'armée bientôt testés

    August 7, 2019 | International, Aerospace

    Les nouveaux systèmes de défense sol-air de l'armée bientôt testés

    L'armée suisse va démarrer prochainement les essais des systèmes radar destinés à renouveler sa défense sol-air de longue portée. Deux systèmes sont dans la course: le Patriot de la société américaine Raytheon et le SAMP/T du consortium français Eurosam. L'achat de ces systèmes est lié au programme d'acquisition des nouveaux avions de combat. Les essais auront lieu sur l'ancienne place d'exercice de Menzingen dans le canton de Zoug, a indiqué mercredi le Département fédéral de la défense (DDPS). Les détecteurs du Patriot seront testés du 19 au 30 août et ceux du SAMP/T du 16 au 27 septembre. Au total, dix missions spécifiques seront réalisées pour évaluer les aspects techniques et opérationnels de ces appareils. Il s'agira d'effectuer des mesures au sol et de sonder l'espace aérien à la recherche d'avions des Forces aériennes. Pas d'essais de tir Les deux candidats accompliront le même programme d'essai afin d'assurer l'égalité de traitement, a expliqué Marc Dürr, de l'Office fédéral de l'armement armasuisse, responsable des essais. Aucun essai n'aura lieu les jours fériés ou le week-end. Et il n'y aura pas de tir. Les tests ont lieu en Suisse car la topographie a une influence sur les détecteurs, a ajouté M. Dürr. La situation n'est pas la même dans le massif alpin ou dans une zone côtière. Le choix se portera sur un modèle qui sera utilisé tel quel et qui ne nécessitera pas d'adaptations pour la Suisse. Les résultats de chaque candidat seront ensuite comparés. Suivra alors un deuxième appel d'offres comme pour le nouvel avion de combat. Le Conseil fédéral tranchera à fin 2020 ou début 2021 sur la base des évaluations et des rapports des experts de l'armée. Huit milliards au total La surface à couvrir par la défense sol-air doit être de 15'000 km2 au moins. Le système doit atteindre une altitude d'engagement de plus de 12'000 m et une portée supérieure à 50 km. Il n'est pas nécessaire de disposer d'une capacité de défense contre des missiles balistiques. L'achat d'un système de défense sol-air se fera dans le cadre des programmes d'armement ordinaires. L'acquisition des avions de combat sera en revanche soumise au vote, probablement en septembre ou novembre 2020. La facture totale ne devait pas dépasser 8 milliards de francs. L'arrêté de planification doit comporter un volume de financement maximal pour les avions de 6 milliards, le reste étant dévolu à la défense sol-air. L'achat des avions et du système de défense sol-air sera coordonné sur le plan technique et du point de vue du calendrier. Quatre avions en lice Quatre jets ont été évalués entre avril et juin à Payerne pour remplacer les Tiger et les F/A-18 de l'armée. Le français Rafale (Dassault), l'européen Eurofighter (Airbus) et les deux avions américains: le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Le suédois Saab a retiré le Gripen E de l'évaluation. Les deux derniers projets d'achats de jets avaient été marqués par un scrutin populaire. L'acquisition de F/A-18 avait été rendue possible après l'échec en 1993 de l'initiative populaire s'y opposant. L'achat de Gripen a été rejeté en 2014 après un référendum contre le fonds qui aurait dû être mis sur pied pour le financer. https://www.rtn.ch/rtn/Actualite/economie/Les-nouveaux-systemes-de-defense-sol-air-de-l-armee-bientot-testes.html

  • Atos accompagne Dassault Aviation dans le développement du Falcon Albatros

    January 11, 2022 | International, Aerospace

    Atos accompagne Dassault Aviation dans le développement du Falcon Albatros

    Atos accompagne Dassault Aviation dans le développement et la production de la nouvelle version du système vidéo embarqué à bord du Falcon Albatros, futur avion de surveillance et d'intervention maritime de l'aéronautique navale française. Prévu pour une mise en service en 2025 dans le cadre du programme AVSIMAR conduit par la Direction générale de l'armement (DGA), la Marine nationale va acquérir l'Albatros, ce qui contribuera au renouvellement de ses capacités pour la protection et la défense maritime du territoire. Le programme AVSIMAR vise à répond aux enjeux de l'action de l'Etat en mer (lutte contre la pollution et les trafics, surveillance des frontières et des zones exclusives, etc) ; pour cela, l'Albatros est doté d'un système de mission de dernière génération et de systèmes de communication dédiés. Atos prend en charge la conception et la production du système vidéo embarqué qui intègre les enjeux de sécurité informatique. « Nous sommes fiers d'accompagner Dassault Aviation dans la préparation des Falcon Albatros qui soutiendront l'Etat dans ses missions de surveillance et d'intervention maritime » a déclaré Cyril Dujardin, SVP, Directeur des activités Digital Security chez Atos. « Ce projet stratégique nous permet de consolider notre relation de long terme avec Dassault Aviation autour des systèmes embarqués et de mettre en œuvre notre expertise en matière de systèmes de missions sécuritaires et de vidéo haute définition sur fibre optique ». Zonebourse et Boursier.com du 10 janvier

  • India looks to make $25B from defense production by 2025

    August 7, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    India looks to make $25B from defense production by 2025

    By: Vivek Raghuvanshi NEW DELHI — The Indian government on Monday introduced a new draft policy that sets a $25 billion defense production target, including making $5 billion from exports, by 2025. The Defence Production and Export Promotion Policy is meant to bolster local production of weapons and platforms by developing “a dynamic, robust and competitive” defense industry. The draft policy also said the Ministry of Defence will set up a technology assessment cell to assess industry's ability to design, develop, produce and re-engineer assembly lines to manufacture major systems such as armored vehicles, submarines, fighter aircraft, helicopters and radars. “The DPEPP 2020 is envisaged as overarching guiding to provide a focused, structured and significant thrust to defense production capabilities of the country for self-reliance and exports,” the MoD said. However, some defense experts and analysts are unimpressed with the draft policy. Amit Cowshish, a former financial adviser for acquisition with the MoD, said the DPEPP is high on rhetoric but low on specifics. India's current defense production turnover is about $11.42 billion. Of this, $9 billion comes from state-owned enterprises and ordnance factories, while the private sector accounts for $2.42 billion. From the total amount, $1.53 billion comes from export business. It disregards financial reality, which is grimmer now due to the rampant pandemic than was the case in the past,” Cowshish said, referring to the spread of the coronavirus that has hit economies worldwide. A more productive defense industry in India will depend on how much money the government can spare for local procurement as well as the availability of materiel in the domestic market — two factors that should be a matter of concern, particularly with export targets, according to Cowshish. Currently, India spends about $18.52 billion annually on weapons and platform purchases, out of which 60 percent is sourced from domestic companies, with remaining supplies coming from foreign vendors. About $11 billion of those appropriated funds go toward India's 50 state-owned laboratories focused on defense research and development, nine state-owned companies, and 41 ordnance factories. Conversely, private defense companies, including 3,500 micro and small enterprises, get a little over $2 billion from this. A CEO of a private defense company in India, speaking to Defense News on condition of anonymity, said the draft policy fails to provide “a clear road map and direction for streamlining defense procurement and production.” He argued that defense production will only improve if there's mutual trust, hand-holding, active participation and patience in the development process between the private and public sector. Senior executives at the state-owned enterprises Hindustan Aeronautics Limited and Bharat Electronics Limited would not comment on the draft policy, saying they are not authorized by the government to comment on MoD policy issues. However, Venkatesh Damal Kannan, a former research and development director with Hindustan Aeronautics, said achieving the $25 billion target would be possible if the current capital allocation of $18.52 billion for purchasing weapons and platforms is doubled. There should also be a willingness from the Indian military to field a larger number of indigenous products, Kannan added, and improved bureaucratic processes in the MoD. However, Cowshish said the military's arms requirements should not be held hostage by efforts for indigenization. “In the meantime, especially in situations like the one we are faced with vis-a-vis China, there is no alternative to buying equipment, platforms, ammunition from abroad if what is needed is not available in India,” he said. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2020/08/06/india-looks-to-make-25-billion-in-defense-production-by-2025/

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