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July 29, 2020 | International, Land

GOP coronavirus bill includes at least $7 billion for weapons programs

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WASHINGTON ― Senate Republicans' proposed $1 trillion coronavirus relief package includes at least $7 billion for weapons programs, part of $29 billion for defense overall.

The 177-page draft appropriations legislation unveiled Monday would include funding for military helicopters, aircraft, ships and missile defense systems.

The bill also includes $11 billion to reimburse defense contractors for coronavirus-related expenses, as authorized by Section 3610 of the CARES Act. Defense firms and trade associations have lobbied for the funding, fearing the Pentagon would otherwise have to tap modernization and readiness accounts.

The legislation's release marks the end of weeks of wrangling between the White House and congressional Republicans, who are still divided over its price tag. It also kicks off the start of formal negotiations with Democrats.

“The American people need more help. They need it to be comprehensive. And they need it to be carefully tailored to this crossroads,” Senate Majority Leader Mitch McConnell, R-Ky., said on the Senate floor Monday.

The inclusion of defense spending, which Republicans have reportedly touted as essential for the economy and national defense, was just one aspect criticized by Senate Appropriations Committee Vice Chairman Patrick Leahy, D-Vt., who said the overall package was inadequate to protect Americans

“If all of this were not bad enough, the bill contains billions of dollars for programs unrelated to the coronavirus, including over $8 billion for what appears to be a wish-list from the Department of Defense for manufacturing of planes, ships, and other weapons systems,” Leahy said in a statement.

The pandemic has created weapons program slowdowns, temporary factory closures and cash flow problems, particularly for smaller firms. The Pentagon was been working in close communication to respond to the problems, largely by making billions of dollars in advance payments to contractors.

Congress previously sent the Defense Department $10.5 billion under the CARES Act.

Defense primes Boeing and Lockheed Martin appear to be the major beneficiaries of procurement dollars in the proposed bill.

The bill includes more than $1 billion for Boeing P-8A Poseidon maritime patrol planes for the Navy.

The Air Force would receive $686 million for additional Lockheed F–35A jets, $720 million for Lockheed C–130Js and $650 million for A–10 wing replacements―which Boeing is contracted to perform.

Shipbuilding funds include $1.45 billion for four expeditionary medical ships, $260 million for one expeditionary fast transport ship, with $250 million for for amphibious shipbuilding and $250 for the surface combatant supplier base program.

The Army would receive $375 million more to upgrade the Double V-Hull Strykers and $283 million for new AH–64 Apache Block IIIB helicopters.

The bill would boost missile defense accounts, with more than $300 million for the the Lockheed Martin-made Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) program and its Raytheon-made AN/TPY-2 radar. Another $200 million would be to extend the life of the Ground-Based Midcourse Defense (GMD) system, for which Boeing is the prime contractor.

https://www.defensenews.com/congress/2020/07/27/gop-coronavirus-bill-includes-at-least-7-billion-for-weapons-programs/

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  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    March 5, 2019 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

  • UK fighter concept emphasizes stealth, next generation sensors

    August 17, 2018 | International, Aerospace

    UK fighter concept emphasizes stealth, next generation sensors

    BY TOM RISEN Britain wants to build a twin-engine stealth fighter jet that the Defense Ministry says would enable the United Kingdom to stay competitive in air-to-air combat technology and maintain its domestic fighter industry. U.K. Defense Secretary Gavin Williamson unveiled a full-scale model of the Tempest at the Farnborough Airshow in July as a commitment that Britain would remain “a world leader in the combat air sector.” The U.K. contractors chosen to design the plane must first present a business case for the fighter to the ministry by the end of the year to begin the approval process for funding. The ministry has promised to draw 2 billion pounds ($2.6 billion) for the Tempest over several years from the ongoing Future Combat Air System Technology Initiative enacted in 2015 that ends in 2025 to develop a successor to the twin-engine Eurofighter Typhoon. Team Tempest, the name for the government agencies and companies working on the project, shared limited details about the design in progress beyond the concept they showcased. With their near diamond shape, the Tempest wings resemble those of the YF-23 stealth fighter demonstrator built in 1990 for the U.S. Air Force by Northrop and McDonnell Douglas, notes Adam Routh, an aerospace researcher at the Center for a New American Security in Washington, D.C. The YF-23 was flown in 1990 but lost the competition for the Air Force contract to what became the Lockheed Martin F-22 Raptor, which ended mass production in 2011. The F-22 engines include thrust vectoring to maneuver the plane around enemy aircraft at close range, which the YF-23 lacked. Thrust vectoring engines were not presented as part of the Tempest concept, possibly because “next generation stealth and guided missiles may undermine the benefits of maneuverability by allowing planes to attack from a significant distance,” Routh says. Pilots of future air-to-air combat won't often find themselves in dogfights won with maneuverability, Routh says, because guided missiles and stealth “will allow aircraft to engage opposing aircraft from a significant distance.” Full article: https://aerospaceamerica.aiaa.org/uk-fighter-concept-emphasizes-stealth-next-generation-sensors

  • How Will The Next Pentagon Strategy Deal With China?

    December 16, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

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