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September 26, 2018 | International, Aerospace

Germany delays tender for military helicopters: document

BERLIN (Reuters) - Germany's planned 4 billion euro ($4.71 billion) tender to buy new heavy-lift helicopters that was due to be issued this autumn will be delayed, according to an official document seen by Reuters on Wednesday.

The planned start of the tender by the end of September would be “delayed until further notice,” the office in charge of military procurement said in a letter to several defense firms.

The procurement office did not give a reason for the delay or say when the tender would be launched. “As soon as a new date is fixed, we will inform you immediately”, it said in the short letter.

The Bundeswehr, the German military, is due to receive 45 to 60 heavy-lift transport helicopters in the coming decade.

Defence Minister Ursula von der Leyen earlier indicated the tender could be delayed as financing of the project was not yet secured in the ongoing parliamentary budget negotiations.

Von der Leyen, a member of Chancellor Angela Merkel's conservatives, is pushing for steeper military spending hikes, but she faces resistance from the Social Democrat-led finance ministry, which prefers more spending on infrastructure and digitalization.

Reporting by Sabine Siebold; Writing by Michael Nienaber

https://www.reuters.com/article/us-germany-defence/germany-delays-tender-for-military-helicopters-document-idUSKCN1M6110

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    by Yaakov Lappin Israel's Rafael Advanced Defense Systems has offered South Korea its Next-Generation Combat Vehicle Suite (NGCV-S) as the Republic of Korea Army (RoKA) prepares to upgrade its K1A2 main battle tanks (MBTs) and procure some 600 Hyundai-made armoured personnel carriers (APCs) as part of its Tiger 4.0 modernisation programme. Rafael has submitted requests for information from South Korea on both the MBT and APC programmes Udi N, head of marketing at Rafael's land manoeuvre systems directorate, told Janes that the NGCV-S offers several capabilities for armoured vehicles to boost their lethality, survivability, and ability to engage multiple targets simultaneously. He said the suite includes the company's Armor Shield P passive add-on armour and the Trophy active protection system (APS), the latter of which is used on US Army MBTs as well as on the Israeli military's Namer heavy APCs. Other offers as part of the suite include reactive armour kits and the Samson medium-calibre remote weapon station (RWS). The station is designed to mount a 30 mm or 40 mm gun and co-axial 7.62 mm machine gun that be integrated with Rafael's Spike missile launcher as well as the fifth-generation Spike anti-tank guided electro-optical missile for mid- and long-range attacks. “Combining the Spike missile system with the Samson Integrated 30 mm RWS and its combat management systems transforms the remote-controlled weapon station and the vehicle into a versatile fighting machine – able to simultaneously neutralise targets at multiple ranges, with the pinpoint accuracy required in the urban arena as well as in GPS-denied zones,” said Rafael in a statement. https://www.janes.com/defence-news/news-detail/rafael-offers-its-next-gen-combat-vehicle-suite-to-south-korea

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    PSPC Minister announced the signing of a new bilateral security arrangement with the Government of the Republic of Bulgaria. This arrangement will support trade between the two countries and contribute to international security http://www.newswire.ca/news-releases/government-of-canada-announces-new-bilateral-security-arrangement-with-bulgaria-642471603.html

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    December 2, 2019 | International, Aerospace

    Gripen E/F le dernier appareil suédois ?

    Yannick Smaldore Il y a douze ans, Saab annonçait la production du Gripen Demo, un démonstrateur technologique représentatif d'une nouvelle génération de chasseurs légers Gripen que le constructeur suédois entendait lancer tant sur le marché domestique qu'à l'exportation. Après un parcours parfois mouvementé, la dernière mouture de l'avion, le Gripen E/F, s'apprête à être livrée à ses deux clients. L'occasion pour DSI de revenir sur l'unique programme de chasseur de nouvelle génération actuellement en développement en Europe. En avril 2008, sur le site de Linköping, en Suède, Saab dévoile le Gripen Demo, adapté d'une cellule de Gripen D et première étape vers la prochaine génération de chasseurs légers de l'avionneur suédois. Si l'avion se rapproche extérieurement d'un Gripen biplace standard, un œil averti distingue rapidement des différences loin d'être anodines. Gripen NG, un nouvel ancien avion Le train d'atterrissage principal, qui se rétracte habituellement sous le fuselage, a été déplacé dans des logements conformes sous la voilure, permettant d'installer trois points d'emport ventraux au lieu d'un, mais aussi de combler les anciens logements de roues par des réservoirs internes supplémentaires. Les entrées d'air sont également agrandies afin d'alimenter un unique moteur F414 de General Electric, évolution 20 % plus puissante du F404 produit sous licence par Volvo pour le Gripen de base. Pour sa prochaine itération du Gripen, l'avionneur suédois propose d'intégrer dans cette cellule élargie ce qui se fait de mieux en matière de capteurs et de systèmes de combat. Le tout en respectant une enveloppe budgétaire extrêmement réduite (1) et un calendrier très serré, et en gardant comme ambition de redéfinir complètement la gestion des programmes aéronautiques militaires, rien de moins. Et une décennie plus tard, malgré quelques revers, Saab pourrait bien être en passe de tenir (presque) toutes ses promesses avec son Gripen NG (2). En 2011, la Suisse annonce son intention de commander 22 Gripen NG, ouvrant la voie à une commande de 60 exemplaires de la part de la Flygvapnet suédoise, et aux crédits de développement associés. En 2014, c'est au tour du Brésil de passer une commande ferme pour 36 appareils. Mais le programme connaît un premier coup dur, une votation populaire conduisant la Suisse à annuler sa commande d'avions de combat, ce qui force Saab à ralentir sensiblement son calendrier de développement. Avec plus d'un an de retard, en mai 2016, le premier Gripen E de présérie est dévoilé à la presse et montre immédiatement le paradoxe de ce nouvel appareil : à part une cellule plus longue de 50 cm et quelques différences extérieures, le futur de l'aviation de combat tel qu'annoncé par Saab ressemble à s'y méprendre au Gripen originel. Et pourtant, les évolutions techniques, numériques, conceptuelles et managériales sont bien là, discrètes, mais indispensables à la réussite du programme. Le Gripen E/F sur le plan technique Conserver une cellule pratiquement inchangée découle d'un choix stratégique de la part de Saab qui ne dispose pas des ressources pour développer une toute nouvelle plate-forme, et qui estime que les avancées en matière de capteurs et de travail collaboratif intra-patrouille rendent caduque la furtivité passive des avions dits de cinquième génération. Son Gripen étant déjà relativement discret et bien né, il est décidé d'en conserver l'aérodynamisme autant que possible. Avec une masse maximale passée de 14 t à 16,5 t, un emport en carburant interne augmenté de 40 % et la capacité d'emporter de nouveaux réservoirs externes plus volumineux, le Gripen NG ambitionne toutefois de s'extraire de la catégorie des chasseurs de défense légers pour marcher sur les plates-bandes des biréacteurs médians. Par rapport au Gripen C/D, les Gripen E/F voient l'intégralité de leurs systèmes évoluer vers des équipements de dernière génération. En matière de capteurs, Saab a principalement fait appel à Selex‑ES, depuis intégré à Leonardo. Ce dernier fournit le radar Raven ES‑05, variante du Vixen 1000E. Équipé d'une antenne AESA combinée à un repositionneur mécanique, le Raven possède une ouverture de 200°, contre 140° habituellement pour les radars AESA à antenne fixe. Une telle configuration permet théoriquement de continuer à illuminer une cible alors que le Gripen se trouve sur un vecteur d'éloignement, une capacité qui pourrait donc être exploitée en combat aérien à longue portée. L'IFF Mode 5 intégré au bloc radar est doté d'antennes latérales, afin de garantir une identification de la cible sur l'ensemble du champ d'action du radar, et une optronique infrarouge Skyward‑G est implantée au-dessus du radar. Cet IRST constituerait alors le principal outil de détection contre des cibles furtives. Radar, IRST et IFF sont enfin conçus pour travailler de manière collaborative, chaque équipement contribuant à construire une situation tactique unique que le pilote consulte sur son très large affichage principal, composé d'un unique écran tactile WAD (Wild Aera Display). Comme souvent avec les productions suédoises, le Gripen E/F devrait aussi se démarquer du marché par son équipement de communication et de guerre électronique. En plus des radios tactiques numériques et d'une antenne SATCOM, qui s'imposent de manière standard sur les nouveaux avions de combat, Saab propose plusieurs solutions de liaisons de données, notamment la L‑16 compatible OTAN, mais aussi son Link-TAU à grande bande passante. Fonctionnant en bande UHF, il permet aux Gripen d'une même patrouille d'échanger des données à longue distance et, dans un avenir proche, de fusionner les données issues de leurs capteurs respectifs pour affiner la qualification des pistes et la situation tactique. Pour la guerre électronique, Saab propose son système à large bande MFS-EW, dernière évolution de sa gamme AREXIS. Typique de l'état de l'art en la matière, ce système multifonction est basé sur des antennes AESA en nitrure de gallium (GaN) réparties sur la dérive et au niveau des rails lance-missiles. AREXIS s'appuie largement sur l'usage de systèmes de brouillage à mémoire de fréquence radio numérique, ou DRFM, qui analysent le signal radar adverse et émettent une onde retour modifiée. De quoi tromper l'ennemi sur sa position, sa nature ou sa vitesse, voire de disparaître complètement de certains écrans radars, en théorie. Si de tels systèmes se rencontrent déjà aujourd'hui, notamment sur le Rafale ou sur l'EA‑18G Growler, le Gripen NG innoverait par la capacité de traitement de signal offerte de ses calculateurs, sa capacité d'attaque électronique intégrée, mais aussi par la présence du système BriteCloud de Leonardo, un petit brouilleur DRFM éjecté par les lance-leurres de l'avion et spécifiquement conçu pour tromper les missiles assaillants. https://www.areion24.news/2019/11/29/gripen-e-f-le-dernier-appareil-suedois%E2%80%89/

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