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August 24, 2022 | Local, C4ISR

General Dynamics and CDW Canada to Provide Net C2 ISAC Solution

Ottawa—August 22, 2022 - Together with CDW Canada, General Dynamics Mission Systems–Canada announced today that it has been awarded a multi-year contract to provide the Network Command and Control Integrated...

https://www.epicos.com/article/739409/general-dynamics-and-cdw-canada-provide-net-c2-isac-solution

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  • Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    November 21, 2018 | Local, Aerospace

    Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    Le Canada dispose d'un nombre insuffisant d'avions de chasse pour répondre au niveau d'alerte le plus élevé et honorer ses engagements à l'endroit de l'OTAN. C'est la conclusion inquiétante du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson, qui déplore du même coup l'absence de plan pour mettre fin notamment à l'importante pénurie de pilotes et de techniciens. Un texte de Marc Godbout Des appareils qui ne sont pas à jour et un sérieux manque de pilotes et de techniciens : les conclusions du vérificateur général sont loin d'être rassurantes. En fait, même si la Défense nationale disposait d'un nombre suffisant d'appareils, les problèmes ne seraient pas réglés pour autant, confirme Michael Ferguson. Elle n'a aucun plan pour surmonter les plus grands obstacles au respect de la nouvelle exigence opérationnelle, à savoir la pénurie de pilotes et le déclin de la capacité de combat de ses aéronefs. Extrait du rapport Il faudra donc plus que les 3 milliards de dollars déjà prévus pour prolonger la durée de vie de la flotte actuelle et pour acheter, exploiter et entretenir des avions de chasse d'occasion de l'Australie. « Les investissements décidés ne suffiront pas pour lui permettre d'avoir chaque jour un nombre suffisant d'appareils disponibles afin de répondre au niveau d'alerte le plus élevé du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord) et honorer dans le même temps l'engagement du Canada envers l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) », précise Michael Ferguson. Y a-t-il un pilote dans l'avion? Le rapport confirme que la Défense nationale disposait de seulement 64 % des pilotes de CF-18 qualifiés pour satisfaire aux exigences opérationnelles. Entre avril 2016 et mars 2018, l'Aviation royale canadienne a perdu 40 pilotes de chasse qualifiés et en a formé seulement 30 nouveaux. Extrait du rapport Michael Ferguson va même plus loin : « Si les pilotes continuent de quitter à ce rythme, il n'y aura pas assez de pilotes expérimentés pour former la prochaine génération de pilotes de chasse. » Le problème est confirmé par le ministre des Transports fédéral, Marc Garneau. « C'est un défi qu'on a au Canada de recruter plus de pilotes, non seulement du côté militaire, mais aussi du côté commercial. C'est un dossier sur lequel je me penche en ce moment pour essayer de trouver des solutions pour recruter plus de gens », a indiqué le ministre aux journalistes mardi. M. Garneau souligne que le coût d'une formation de pilote est très élevé, et que c'est la raison principale pour laquelle pas assez de gens sont attirés vers le domaine. « Pour devenir un pilote commercial, ça coûte 80 000 $ », dit-il. Par ailleurs, Marc Garneau ne voit pas de contradiction entre le fait d'acheter des avions usagés australiens et l'absence de pilotes pour les conduire. « Nos forces armées sont en train de travailler très fort pour recruter des pilotes, et quand les pilotes vont être là, il faut que les avions soient là. Alors il faut s'occuper des deux en parallèle », pense-t-il. Manque de techniciens pour préparer les avions De plus, les techniciens avaient été en mesure de préparer à peine 83 % des aéronefs nécessaires pour satisfaire aux engagements en matière de défense auprès du NORAD et de l'OTAN. Or, si le nombre de techniciens expérimentés n'augmente pas, prévient Michael Ferguson, les vols que pourra effectuer chaque pilote de CF-18 diminueront. Le rapport précise que, l'an dernier, les pilotes avaient enregistré moins d'heures de vol que le nombre minimal requis de 140 heures. La Défense nationale n'a pas pu faire le nécessaire, constate le vérificateur général, « vu l'incertitude entourant la date de remplacement de la flotte d'avions de chasse ». Sécurité des ambassades, graves lacunes Près de 8000 employés travaillent dans les missions canadiennes à l'étranger, dont la moitié se trouvent dans des endroits où leur sécurité était menacée en raison de l'imprévisibilité politique ou de troubles civils. Or, le vérificateur général en arrive à un autre constat inquiétant : « Affaires mondiales n'avait pas pris toutes les mesures de sécurité dans ses missions à l'étranger en fonction de l'évolution des menaces. » Le ministère avait pourtant relevé des lacunes qui devaient immédiatement être corrigées, dont de nombreuses failles majeures dans plusieurs de ses 175 missions diplomatiques et consulaires. Les délais pour remédier aux lacunes entraînent « des retards pour assurer efficacement la protection du personnel et des biens à l'étranger », conclut Michael Ferguson. Vidéosurveillance inadéquate, absence de barrière pour restreindre l'accès des véhicules aux entrées des missions et mécanismes d'alarme défaillants sont cités en exemple par le vérificateur général. Une mission située dans un endroit où la menace était élevée ne disposait pas d'appareil de radiographie pour contrôler les visiteurs, alors que l'on en trouvait dans des endroits où la menace était plus faible. Extrait du rapport De plus, de nombreux employés qui travaillaient dans des endroits dangereux n'avaient toujours pas suivi la formation obligatoire. Michael Ferguson souligne que les retards sont attribuables « à une mauvaise gestion et à une surveillance inadéquate des projets » par Affaires mondiales. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136935/avions-chasse-canadiens-verificateur-general

  • Bidding criteria for Canada's $19B fighter jet competition will emphasize strategic attack and ground-strike capabilities — seeming to favour the F-35

    June 11, 2019 | Local, Aerospace, Security

    Bidding criteria for Canada's $19B fighter jet competition will emphasize strategic attack and ground-strike capabilities — seeming to favour the F-35

    David Pugliese The criteria that will govern the selection of the winning bid to provide Canada's next fleet of fighter jets will prioritize strategic attack and foreign ground-strike capabilities, according to government documents obtained by Postmedia — guidelines that are seen to favour Lockheed Martin's controversial F-35. In 2010 the Conservative government under Prime Minister Stephen Harper selected the F-35 to replace the Canadian Forces' aging CF-18s, but later abandoned the plan after concerns about the technology used for the plane and its growing cost. During the 2015 election campaign Justin Trudeau promised that a Liberal government would not purchase the F-35, at the same time vowing to hold an open competition for the purchase of the country's new jet. Once in office, however, the Liberals backed away from their promise to freeze out the F-35 and the aircraft is now seen as a front-runner in the upcoming competition, with many supporters in the Royal Canadian Air Force. Though the Liberal government has highlighted the need to buy new jets to protect Canadian airspace and meet the country's commitments to NORAD, the procurement criteria obtained by Postmedia, currently in draft form, indicate the bidding process will assign additional weight to aircraft that excel at ground attack for overseas operations. Those criteria are seen to favour Lockheed Martin's F-35 stealth jet, say industry representatives allied with Lockheed's rivals in the upcoming $19-billion competition. The evaluation criteria also place less emphasis on sustainability — something else that may play to the advantage of the F-35, which has been dogged by high maintenance bills. But Pat Finn, the Department of National Defence's procurement chief, says there is such a wide variety of requirements to meet in the competition that while some aircraft might be seen to do well in some areas, they may not excel in others. “Somebody may be better in a high-end scenario but they're worst for cost,” Finn explained. “That's why we say it's the whole piece” that will be considered in the competition. At this point four aircraft are expected to be considered: two U.S.-built aircraft, the F-35, and the Super Hornet, and two European planes, the Eurofighter Typhoon and the Gripen. Finn said bidding companies must meet mandatory requirements when it comes to long-term sustainment of the planes. But industry representatives, both from Lockheed Martin rivals and those not directly involved in the competition, point out that beyond the mandatory requirements there is little emphasis on the important area of long-term maintenance and sutainability. So a company with an aircraft that costs relatively little to maintain won't get that recognition in the competition, they claimed. Finn said discussions are still ongoing with various companies and their feedback is being assessed. The request for proposals, which will outlined the final requirements for the aircraft, is expected to be released around mid-July, he added. Royal Canadian Air force commander Lt.-Gen. Al Meinzinger said key capabilities for a new plane are survivability and having an operational advantage. “We are very confident we are actually meeting the requirements of NATO and NORAD,” he said, pointing to the requirements for the new aircraft. “Both of those missions are well represented.” Canada already changed some of the industrial benefits criteria of the competition in May to satisfy concerns from the U.S. government that the F-35 would be penalized or couldn't be considered because of how that program was set up. U.S. officials had warned that the F-35 development agreement Canada signed years ago prohibits partner nations from imposing requirements for industrial benefits. Under the F-35 agreement, partner nations such as Canada are prohibited from demanding domestic companies receive contracts for work on the fighter jet, those companies instead having to compete for work. Over the last 12 years, Canadian firms have earned more than $1.3 billion in contracts to build F-35 parts. The changes made in May would now allow some of those F-35 contracts to be considered when weighing the industrial benefits offered by the planes. The winning bidder will build 88 jets for Canada, and the first delivery is expected in the mid-2020s with the full capability available in the early 2030s, according to documents produced by the Department of National Defence. https://nationalpost.com/news/bidding-criteria-for-canadas-19b-fighter-jet-competition-will-emphasize-strategic-attack-and-ground-strike-capabilities-seeming-to-favour-the-f-35

  • Canada's first Arctic Offshore Patrol Ship expected in October

    August 30, 2018 | Local, Naval

    Canada's first Arctic Offshore Patrol Ship expected in October

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN The first Arctic Offshore Patrol Ship is expected to be delivered the first week of October, according to Department of National Defence officials. The ship was originally supposed to be delivered this summer. The ship will undergo various tests in the months following delivery. The formal acceptance of the vessel by the Royal Canadian Navy won't take place until early next year. The first vessel, HMCS Harry DeWolf, is expected to be ready for operations starting in the summer of 2019, according to DND officials. Subsequent ships are to be delivered approximately every nine months, according to documents obtained by Postmedia using the Access to Information law. The Arctic and Offshore Patrol Ship project will deliver five ships, with an option for a sixth, if affordable. The ships are designated as the Harry DeWolf Class, after Canadian wartime naval hero Vice-Admiral Harry DeWolf. The official RCN ship's class designation will be Arctic and Offshore Patrol Vessel or AOPV. The AOPV will be capable of armed sea-borne surveillance of Canada's waters, including the Arctic, providing government situational awareness of activities and events in these regions, and cooperating with other government departments to assert and enforce Canadian sovereignty, according to the DND. Construction of the first AOPV began in 2015 with HMCS Harry DeWolf. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/first-arctic-offshore-patrol-ship-expected-in-october

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