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October 16, 2018 | International, Aerospace

GE and ATEC Vying for U.S. Army Helicopter Engine Program

General Electric [GE] and Advanced Turbine Engine Company (ATEC) touted the capabilities of their respective engines in the quest by the U.S. Army to find new engines for the AH-64 Apache and UH-60 Black Hawk fleets under the Improved Turbine Engine Program (ITEP).ATEC...

http://www.defensedaily.com/ge-atec-running-hot-us-army-helicopter-engine-upgrades/

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  • Australia selects Boeing Apache as next armed reconnaissance helicopter

    January 20, 2021 | International, Aerospace

    Australia selects Boeing Apache as next armed reconnaissance helicopter

    By: Nigel Pittaway MELBOURNE, Australia — Australia has selected Boeing's AH-64E Apache Guardian as it's next armed reconnaissance helicopter, replacing its Airbus Helicopters Tiger fleet under the Land 4503 program estimated to be worth AU$4-5 billion (U.S. $3–3.8 billion). The selection of the Apache follows the release of a request for information in July 2019 and was announced by Australian Defence Minister Linda Reynolds on Friday. The RFI called for 29 helicopters, with 24 to be based at a single location with two operational armed recon helo squadrons, and a five for training Army pilots and battle captains at the Australian Army Aviation Training Centre at Oakey, Queensland. The two operational Tiger squadrons are currently based in Darwin in the Northern Territory as part of the 1st Aviation Regiment. The RFI also stipulated an initial operational capability, represented by 12 helicopters, in 2026; and final operational capability with all 29 aircraft two years later. In addition to Boeing, Bell responded to the RFI with its AH-1Z Viper, and Airbus Helicopters with an updated Tiger. “The Apache Guardian is the most lethal, most survivable and lowest-risk option, meeting all of [the Department of] Defence's capability, through-life support, security and certification requirements,” Reynolds said. “By pursuing a proven and low-risk system offered by the Apache, [the Department of] Defence will avoid the ongoing cost and schedule risk typically associated with developmental platforms.” The Tiger was introduced to service in December 2004 but suffered poor availability rates and high ownership costs early in its career, before a remediation plan was implemented by the Department of Defence and industry around 2016. Reynolds said the issues with the Tiger fleet and other Australian military rotary-wing projects had informed the strategy to seek a proven and mature replacement. The decision to acquire the Apache was made under the Australian government's “Smart Buyer” policy, which allows for sole-source selection without a competition if there is a clear preference for a particular platform. A spokesman for Australia's Department of Defence said the government will now consider the acquisition of mission sensors and mission-relevant equipment, including the AN/APG-78 Longbow fire control radar, but no specific configuration or numbers of radars have been revealed. The spokesman said the department will continue to consider options to improve upon the Apache that maximize opportunities for the local defense industry, including warehousing services, training development, engineering services and maintenance, and repair and overhaul. “Additionally, early detailed transition planning will be conducted to ensure effective management of the skilled workforce, across [the Department of] Defence and industry, as [the Department of] Defence transitions the Tiger to the Apache,” the spokesman said. Boeing said the AH-64E provides Australia with a fully integrated, battle-proven capability and will continue to expand its industry capability and supply chain in Australia. “Apache is supported by an active production line and a U.S. Army modernization plan through to the late 2040s, thereby ensuring the platform remains the leading attack and reconnaissance capability through to 2050 and beyond,” a company spokesperson said. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2021/01/19/australia-selects-boeing-apache-as-next-armed-reconnaissance-helicopter

  • Safetyn veut améliorer la sécurité de l'aviation générale

    March 15, 2019 | International, Aerospace

    Safetyn veut améliorer la sécurité de l'aviation générale

    DEBORAH LOYE La jeune pousse française est incubée chez InnoGEX , une structure publique labellisée CERN. Elle dévoilera son produit lors du prochain Salon du Bourget. Ingénieur chez Airbus, Arnaud Violland fait le constat d'une grosse disparité entre la sécurité dans l'aviation commerciale et l'aviation générale. « Cette dernière, qui inclut les hélicoptères ainsi que tous les aéronefs pilotés par un seul pilote, était beaucoup moins bien servie », raconte l'entrepreneur. Fin 2016, il décide de créer une start-up, qui aurait pour mission de pallier cet écart. Deux ans plus tard, Safetyn emploie 10 personnes, dont ses quatre cofondateurs. Réagir au stress La jeune pousse se concentre sur l'aspect psychologique de la gestion des urgences par des pilotes seuls dans leurs cockpits. « Nous musclons cognitivement les pilotes pour qu'ils deviennent de vrais bons gestionnaires de risque », explique le cofondateur et PDG de l'entreprise. Concrètement, Safetyn développe une « box intelligente »qui se place dans le cockpit et propose une assistance au pilotage en situation de danger. Cette dernière prend en compte les paramètres psychologiques du pilote, de sorte à l'assister le plus efficacement. « Nous ne répondons pas tous au stress de la même manière, il est donc important de proposer des solutions personnalisées », explique Arnaud Violland. Le pilote peut en outre être mis en relation avec un assistant au sol, qui connaît lui aussi son profil, et peut l'aider en conséquence. « Cela permet de réduire le temps de résolution du problème », indique l'entrepreneur. Article complet: https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/idees-de-business/0600558292284-safetyn-veut-ameliorer-la-securite-de-l-aviation-generale-327787.php

  • Le président Macron promet de maintenir l'effort budgétaire pour les armées

    January 21, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Le président Macron promet de maintenir l'effort budgétaire pour les armées

    Tout en confirmant l'ouverture d'un débat avec les parlementaires pour revoir à mi-parcours la loi de programmation militaire, le président a promis lors de ses voeux aux armées à maintenir l'effort budgétaire en faveur de la modernisation des armées. Par Anne Bauer Publié le 19 janv. 2021 à 19:31 « Les engagements que j'ai pris seront tenus », a déclaré Emmanuel Macron lors de ses voeux aux armées à la Préfecture Maritime de l'Atlantique à Brest, après avoir discuté avec des élèves du Centre d'Instruction Naval. Et de rappeler que depuis trois ans, la loi de programmation militaire (LPM) a été tenue « à l'euro près ». « Les équipements sont livrés, les hébergements sont construits, les programmes avancent, les innovations sont stimulées, nos capacités se modernisent [...], a-t-il souligné en estimant que malgré la pandémie et la période difficile qui s'annonce, il faut maintenir l'effort jusqu'en 2023 comme prévu par la LPM. Point d'étapes pour la LPM « Un point d'étape approfondi devra être effectué dans les prochains mois avec les parlementaires, pour que nos armées restent pleinement efficaces sur les thé'tres d'opérations, quels qu'ils soient », a-t-il aussi confirmé. De fait, lors du vote de la LPM , les parlementaires avaient fixé à 2021 une discussion sur la nécessité ou non de revoir la trajectoire budgétaire annoncée. Après trois ans de hausse budgétaire, ce qui a porté le budget défense de 35,8 milliards d'euros en 2019 à 39,2 milliards cette année, la LPM (qui couvre la période 2019-2025) suggère une nouvelle hausse à 41 milliards en 2022 et à 44 milliards en 2023, soit un effort de 198 milliards d'euros sur la période 2019-2023. Reste à réévaluer les capacités nécessaires, les réussites et les attentes, le président évoquant l'exigence toujours réaffirmée d'agilité et d'efficacité. Dans ses voeux, Emmanuel Macron a aussi répété son souhait de consolider la nouvelle politique en faveur de l'autonomie stratégique européenne. « Notre engagement au sein de l'Otan n'empêche pas une autonomie européenne. Nous avons besoin d'une Europe forte plus unie, plus conquérante et qui assume les choix faits depuis trois ans. Il faudra continuer avec les Etats-Unis qui se réengagent dans le multilatéralisme et il nous faudra convaincre de la pertinence de nos choix dans la durée ». Ajustement de l'opération Barkhane au Sahel A propos de l'opération Barkhane au Sahel , qui mobilise actuellement quelque 5.100 soldats français, le président n'a parlé ni de retrait, ni de renforcement, mais simplement d'un ajustement. « Les résultats obtenus par nos forces au Sahel, conjugués à l'intervention plus importante de nos partenaires européens, vont nous permettre d'ajuster notre effort militaire dans la région », a déclaré le chef de l'Etat, sans précision de volume ou de calendrier. Il y a un an, au sommet de Pau, le président français et ses homologues du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad) avaient décidé d'intensifier la lutte antidjihadiste pour enrayer une spirale de violences, notamment avec l'envoi de 600 hommes en renfort. « Les renforts temporaires que j'ai décidé de déployer ont permis à la force Barkhane de mettre en grande difficulté des groupes terroristes qui se retrouvent acculés, réduits à des procédés l'ches, qui ont atteint nos forces », endeuillées par la récente mort de 5 soldats français au Mali, « mais qui, je le rappelle, frappent d'abord et surtout les civils, sans discrimination », a commenté le président français. Garder le sens du temps long Nombre d'observateurs estiment que la France devrait annoncer qu'elle réduit la voilure lors du prochain sommet avec les pays du G5 Sahel, en février à N'Djamena. Pour le moment, le président parle d'un « cap qui reste inchangé ». Alors que l'opération Barkhane entre dans sa neuvième année et a coûté la vie à 50 militaires, le président a terminé son discours en rappelant la nécessité du temps long, avant de remercier les femmes et les hommes engagés. « La tendance est grande de ne s'occuper que du quotidien. La force de nos armées, c'est de savoir embrasser le temps long... Ne cédons pas au court terme et gardons la capacité à regarder le grand large, gardons le sens du temps long ». https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/le-president-macron-promet-de-maintenir-leffort-budgetaire-pour-les-armees-1282520

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