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June 17, 2019 | International, Aerospace

GA-ASI and L3 Technologies Develop and Fly Full-Band Signals Intelligence Solution for MQ-9

LE BOURGET, France--(BUSINESS WIRE)--General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI) and L3 Technologies, Inc. (NYSE:LLL) today announced the development and successful flight test of a full-band Signals Intelligence (SIGINT) ISR capability for use on a Predator B® Remotely Piloted Aircraft System (RPAS).

L3's SIGINT solutions were integrated into a wing-mounted GA-ASI pod and flight tested on the GA-ASI Medium-Altitude Long-Endurance (MALE) MQ-9 Predator B RPAS. This game-changing capability provides significant mission expansion for MQ-9 operations against modern threats in new operating domains.

Jointly funded by GA-ASI and L3, this new podded solution was developed in eight months and successfully flight tested in May 2019 on a GA-ASI MQ-9 operating from GA test facilities in Yuma, Arizona.

“The successful collaboration between L3 and GA-ASI provides a new dimension for ISR employment of MQ-9 aircraft and provides expanded options for warfighters in the ISR domain,” said Jeff Miller, L3's Senior Vice President and President of its ISR Systems business segment. “L3 is excited to provide its family-of-systems (FOS) SIGINT payload into the unmanned air vehicle arena in cooperation with GA-ASI and looks forward to providing increased capabilities for GA-ASI's current and future MQ-9 weapon systems customers.”

“We are excited to work with L3 Technologies to develop this capability for the MQ-9. Generating Electronic Order of Battle (EOB) is a key capability of strategic importance to the U.S. and its allies,” said Linden Blue, CEO of GA-ASI. “Integrating L3's world-class SIGINT system further enhances the MQ-9's utility in the ISR arena.”

About GA-ASI
General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI), an affiliate of General Atomics, is the leading designer and manufacturer of proven, reliable Remotely Piloted Aircraft (RPA) systems, radars, and electro-optic and related mission systems, including the Predator® RPA series and the Lynx® Multi-mode Radar. With more than five million flight hours, GA-ASI provides long-endurance, mission-capable aircraft with integrated sensor and data link systems required to deliver persistent flight that enables situational awareness and rapid strike. The company also produces a variety of ground control stations and sensor control/image analysis software, offers pilot training and support services, and develops meta-material antennas. For more information, visit www.ga-asi.com.

About L3 Technologies
With headquarters in New York City and approximately 31,000 employees worldwide, L3 develops advanced defense technologies and commercial solutions in pilot training, aviation security, night vision and EO/IR, weapons, maritime systems and space. The company reported 2018 sales of $10.2 billion.

To learn more about L3, please visit the company's website at www.L3T.com. L3 uses its website as a channel of distribution of material company information. Financial and other material information regarding L3 is routinely posted on the company's website and is readily accessible.

Safe Harbor Statement Under the Private Securities Litigation Reform Act of 1995
Except for historical information contained herein, the matters set forth in this news release are forward-looking statements. Statements that are predictive in nature, that depend upon or refer to events or conditions or that include words such as “expects,” “anticipates,” “intends,” “plans,” “believes,” “estimates,” “will,” “could” and similar expressions are forward-looking statements. The forward-looking statements set forth above involve a number of risks and uncertainties that could cause actual results to differ materially from any such statement, including the risks and uncertainties discussed in the company's Safe Harbor Compliance Statement for Forward-Looking Statements included in the company's recent filings, including Forms 10-K and 10-Q, with the Securities and Exchange Commission. The forward-looking statements speak only as of the date made, and the company undertakes no obligation to update these forward-looking statements.

https://www.businesswire.com/news/home/20190616005079/en

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    Par Roger Jordan 9 décembre 2019 La Chambre des communes du Canada s'est réunie de nouveau jeudi pour la première fois depuis les élections fédérales du 21 octobre, qui ont abouti à un gouvernement libéral minoritaire. Ayant perdu plus de 30 sièges par rapport à son premier mandat, le premier ministre Justin Trudeau a clairement indiqué qu'il cherchera un «terrain d'entente» avec les forces de la droite dure du Parti conservateur, tout en comptant sur son partenariat étroit avec les syndicats et le soutien des néo-démocrates (NPD) pour donner à son gouvernement minoritaire une couverture «progressiste». Le discours du Trône du gouvernement libéral, prononcé par la gouverneure générale Julie Payette, a principalement été consacré à cultiver l'image «progressiste» frauduleuse des libéraux. Des promesses ont été faites pour lutter contre les changements climatiques, travailler à la «réconciliation» avec la population autochtone, élargir l'accès aux services de santé mentale, introduire un régime fédéral d'assurance-médicaments et aider la «classe moyenne» avec une modeste réduction des impôts et une augmentation du salaire minimum fédéral. Le but d'une telle posture progressiste a été révélé cette semaine par la performance de Trudeau au sommet du 70e anniversaire de l'OTAN à Londres. S'exprimant aux côtés du président américain Donald Trump, Trudeau s'est vanté que son gouvernement a déjà entrepris une augmentation de plus de 70 % des dépenses militaires d'ici 2026 et qu'il prévoit en faire davantage. Trudeau a ensuite annoncé mercredi que le Canada affectera six autres chasseurs à réaction et une frégate à la Force de haute disponibilité de l'OTAN, qui vise à faciliter la mobilisation de 30 bataillons terrestres, 30 escadrons aériens et 30 navires de combat dans un délai de 30 jours en cas de crise de guerre avec la Russie. Cela amène la contribution totale du Canada à 12 avions de chasse, une force opérationnelle expéditionnaire aérienne, un avion de patrouille maritime, trois frégates, un sous-marin, un bataillon d'infanterie mécanisée, un hôpital militaire et une section de lutte contre la contamination biologique, radiologique et nucléaire. Lors de l'annonce du nouveau déploiement, Trudeau a salué la participation de l'armée canadienne à une série d'interventions agressives menées par les États-Unis autour du monde. «Aujourd'hui, le Canada dirige des missions de l'OTAN en Lettonie, en Irak et des forces maritimes de l'OTAN en mer Méditerranée et dans la mer Noire, et il fait progresser le programme sur les Femmes, la paix et la sécurité», a-t-il déclaré. Dans une section du discours du Trône largement ignorée dans la couverture médiatique, intitulée «Positionner le Canada pour réussir dans un monde incertain», le gouvernement libéral a décrit sa politique étrangère militariste agressive. Derrière les invocations creuses de «démocratie», de «droits de l'homme» et du «droit international», le gouvernement s'est engagé à renforcer l'engagement du Canada envers l'OTAN et à «défendre l'ordre international fondé sur des règles lorsque cet ordre est remis en question, particulièrement lorsqu'il s'agit de questions de commerce ou de politique numérique». L'«ordre fondé sur des règles» est l'hégémonie mondiale de l'impérialisme américain, qui s'est maintenue depuis la Seconde Guerre mondiale gr'ce au déploiement impitoyable de forces militaires sur chaque continent. Le fait que les libéraux soient prêts à défendre cet ordre «particulièrement lorsqu'il s'agit de questions de commerce ou de politique numérique» est une attaque claire contre la Chine, montrant clairement que l'écrasante majorité de la bourgeoisie canadienne soutient la volonté de Washington d'isoler économiquement son concurrent stratégique et de se préparer au conflit militaire avec lui. Le programme de droite du nouveau gouvernement ne se limite pas aux questions de politique étrangère. L'engagement à chercher un «terrain d'entente» avec les autres partis politiques et les gouvernements provinciaux sert d'écran de fumée pour établir une étroite collaboration avec les forces de la droite dure, notamment les conservateurs unis de Jason Kenney en Alberta, les conservateurs de Doug Ford en Ontario, la Coalition Avenir Québec de François Legault et Scott Moe en Saskatchewan. Depuis les élections fédérales, le gouvernement Kenney a déposé un budget provincial contenant des réductions de dépenses publiques de plus de 10 % en termes réels et a exigé que les travailleurs du secteur public acceptent des réductions salariales allant de 2,5 à 5 %. Ford a imposé un plafond annuel de 1 % sur les augmentations de salaires et d'avantages sociaux d'un million de travailleurs du secteur public pour les trois prochaines années et se prépare à criminaliser les grèves des enseignants. Trudeau a récemment tenu une réunion de réconciliation avec Ford, et les deux politiciens se sont engagés à travailler ensemble. Cela faisait suite à une campagne électorale au cours de laquelle Trudeau et les libéraux, avec l'appui des syndicats, se sont présentés comme des opposants déterminés à Ford et à ses mesures d'austérité. Cela a permis aux libéraux de remporter 79 des 121 sièges de l'Ontario et de défendre leur position en tant que plus grand parti parlementaire. Fait significatif, la ministre responsable de superviser ces relations intergouvernementales est l'ancienne ministre des Affaires étrangères Chrystia Freeland. Principal faucon de guerre du premier mandat de Trudeau, Freeland s'est fait un nom en tant que critique véhémente de la Russie et en tant que partisane d'un partenariat militaire et stratégique plus approfondi avec les États-Unis. Dans son discours de lancement de la nouvelle politique de défense des libéraux en 2017, elle a affirmé que la «force dure», c'est-à-dire la guerre, faisait partie du passé du Canada et devait faire partie de son avenir. Dans le cadre de son rôle nouvellement élargi de vice-première ministre, Freeland communiquera avec Kenney et Moe dans le but manifeste d'écouter les intérêts de l'ouest. En réalité, cela signifie servir les demandes des grandes pétrolières pour des oléoducs vers les eaux navigables, l'expansion de l'exploration énergétique et l'intensification des attaques contre la classe ouvrière pour accroître les profits des entreprises. Freeland continuera également de jouer un rôle de premier plan dans la gestion des relations canado-américaines. Outre Freeland, une autre nomination importante au Cabinet est celle de Bill Blair au poste de ministre de la Sécurité publique. L'ancien chef de la police de Toronto est connu pour avoir dirigé la répression brutale contre les manifestations anti-G20 en 2010. Pendant le premier mandat des libéraux, il était responsable de la supervision de la sécurité frontalière et a donc joué un rôle de premier plan dans l'intégration du Canada à la chasse aux sorcières d'immigrants de Trump. Les premières actions du nouveau gouvernement Trudeau soulignent que, durant son deuxième mandat, il effectuera un nouveau virage à droite en matière de politique étrangère et intérieure et dépendra encore plus des syndicats et du NPD pour se présenter comme étant «progressiste». Le mois dernier, le gouvernement canadien a joué un rôle de soutien important dans le coup d'État de droite appuyé par les États-Unis qui a renversé le président bolivien Evo Morales. Le Canada a appuyé financièrement la mission de l'Organisation des États américains qui a déclaré nulle et non avenue l'élection présidentielle d'octobre, ouvrant la voie à la prise du pouvoir par les militaires et réprimant brutalement l'opposition populaire. Les libéraux ont également travaillé en étroite collaboration avec la bureaucratie syndicale en coulisse pour mettre fin à une grève d'une semaine des travailleurs du CN selon les conditions de l'entreprise. La ministre des Transports, Marie-Claude Bibeau, a effectivement lancé un ultimatum, affirmant que le gouvernement interviendrait pour mettre fin à la grève par voie législative. Un jour plus tard, le syndicat des Teamsters a mis fin à la grève et a refusé de divulguer toute information sur l'entente qu'il avait conclue. La bureaucratie syndicale a joué un rôle central dans la réélection de Trudeau. Au cours de l'été, les congrès annuels de la Fédération canadienne des enseignants et d'Unifor, deux des syndicats les plus influents du pays, se sont transformés en rassemblements de campagne électorale du Parti libéral. Au cours de la campagne, les syndicats ont continué de revendiquer frauduleusement que les libéraux constituaient une alternative «progressiste» à Andrew Scheer et à ses conservateurs. Le rôle du NPD est particulièrement trompeur. Le chef du NPD, Jagmeet Singh, a cherché mercredi à donner l'impression que son parti est en train de conclure un marché difficile en disant aux journalistes que Trudeau devra compter sur l'appui des conservateurs ou du Bloc québécois s'il ne veut pas faire de «progrès significatifs». Pourtant, Singh et le NPD ont passé toute la campagne électorale à pratiquement supplier les libéraux de former une coalition ou une sorte d'arrangement parlementaire pour établir un gouvernement «progressiste». Lorsque les libéraux ont été impliqués dans le coup d'État bolivien, Singh a publié une déclaration hypocrite qui évitait de critiquer directement le gouvernement Trudeau, notant simplement qu'ils devraient se concentrer sur la promotion de la «démocratie» dans le pays sud-américain. Singh a également rencontré Trudeau à la mi-novembre et a fait remarquer par la suite qu'il était sûr que les deux parties pourraient travailler ensemble. Fait révélateur, après avoir critiqué le discours du Trône de jeudi parce qu'il n'allait pas «assez loin», Singh a quand même laissé la porte grande ouverte pour que les députés néo-démocrates votent en sa faveur. La réalité est que même si Singh et le NPD critiquent parfois les libéraux, le gouvernement Trudeau comptera sur les sociaux-démocrates pour leur fournir la couverture de gauche dont ils ont tant besoin. Pour sa part, le NPD jouera le rôle qui lui a été attribué, en faisant fi des prétentions «progressistes» des libéraux et en leur apportant son soutien au besoin, y compris lors de votes parlementaires cruciaux. Cela renforcera la volonté des libéraux d'aller de l'avant avec des attaques sauvages contre la classe ouvrière partout au pays gr'ce à leur collaboration avec des gens comme Kenney et Ford, et alors qu'ils détournent des dizaines de milliards de dollars prévus pour répondre aux besoins sociaux dans le financement de nouvelles flottes d'avions de guerre et de cuirassés dont le gouvernement a besoin pour promouvoir les intérêts et ambitions impérialistes canadiens sur la scène internationale. https://www.wsws.org/fr/articles/2019/12/09/nglm-d09.html

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