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August 12, 2020 | International, Aerospace

First B-21 'Starting To Look Like An Airplane,' USAF Says

The first Northrop Grumman B-21 test aircraft in final assembly is “starting to look like an airplane,” a senior U.S. Air Force official said.

The first B-21 entered the assembly process last fall at Northrop's plant in Palmdale, California, and continues to make progress.

“The first test aircraft is being built, and it's starting to look like an airplane. Suppliers from across the country are delivering parts that are coming together now,” said Randall Walden, director of the Air Force's Rapid Capabilities Office, which is managing the B-21 development program.

But Walden also continued to emphasize that, although the program is proceeding well, the complexity of developing a modern combat aircraft can still cause setbacks.

“Aircraft programs will always have a few surprises early on, and we won't be any different, but overall the B-21 Raider is coming along nicely,” Walden said.

Walden's quotes appeared in a little-noticed news release issued by the public affairs officer for Air Force Secretary Barbara Barrett on Aug. 3. Barrett and Walden had accompanied Defense Secretary Mark Esper on a visit to Northrop's design and development headquarters in Melbourne, Florida.

“I am thoroughly impressed by the dedication and progress across the B-21 Raider team,” Esper said.

Gen. Timothy Ray, the head of Air Force Global Strike Command, also joined the tour.

“The progress I saw today further adds to my confidence that the B-21 Raider will preserve our long range strike and penetrating bomber capability,” Ray said.

The B-21 is not expected to achieve first flight until 2022 and arrive at operational bases until the mid-2020s.

https://aviationweek.com/defense-space/aircraft-propulsion/first-b-21-starting-look-airplane-usaf-says

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    HASSAN MEDDAH Des allées pleines de visiteurs, des exposants toujours plus nombreux, des stands truffés d'innovations... La 21eme édition du salon Milipol dédiée à la sécurité et la sûreté des Etats, qui se tient à Paris du 19 au 23 novembre, fait encore le plein. A Paris Nord Villepinte, du 19 au 23 novembre, la 21eme édition de Milipol, qui vise 30 000 visiteurs professionnels, souligne le dynamisme du marché de la sécurité et de la sûreté au niveau mondial mais en France également. Forte de 130 000 personnes, la filière tricolore génère un chiffre d'affaires de 30 milliards d'euros dont un tiers réalisé à l'export. Outre son cycle de conférences, ce salon s'impose comme le véritable bazar de la sécurité. Les acheteurs professionnels, comme les 170 délégations étrangères qui ont fait le déplacement, ont pu trouver de quoi assurer leurs besoins en protection. Dans les stands, on trouve de tout... ou presque. 1/ Le fusil électromagnétique anti-drone de la gendarmerie Les gendarmes exposent sur le stand du ministère de l'Intérieur leur dispositif de lutte anti-drone. Une mallette équipée d'un dispositif rayonnant permet de détecter toute intrusion dans un rayon de 5 km. Le gendarme arrose alors le drone avec un fusil brouilleur émettant des ondes électromagnétiques avec une portée d'un km environ et dans un cône de 70° d'ouverture environ. Les ondes émises brouillent le GPS et neutralisent les communications entre l'opérateur du drone et son engin, forçant ce dernier à se poser. Cette solution a été conçue par la société italienne CPM Elettronica. 2/ La camionnette espion La société Intellexa expose un van d'un genre très particulier. En plus de ses deux passagers, il embarque un véritable centre de contrôle et d'espionnage pour mener des missions de renseignements dans le plus grand secret : caméras pour filmer les allées et venues dans les environs à travers les vitres teintées, antennes d'interception à 360° des communications sans-fil (Wifi, 2G, 3G, 4G...), outils d'investigation et d'infection numérique à distance... 3/ Des fusils en veux-tu, en voilà Sur le stand de l'armurier italien Beretta, se côtoient des armes pour snipper pour atteindre des cibles à plus de 2km, des armes semi automatiques capables de tirer plus de 800 coups par minute, des fusils d'assaut... 4/ Le laboratoire mobile d'analyse ADN Pour identifier des victimes au plus près du terrain lors d'une catastrophe (crash d'avion, ouragan, terrorisme...), la société TraceIP a conçu un laboratoire mobile d'analyse ADN. Opérationnel deux heures après l'arrivée sur site, il peut analyser une vingtaine d'échantillons en 30 minutes, gr'ce à une innovation développée et brevetée par l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale. 5/ Le drone dopé à l'intelligence artificielle Drone Volt présente sur son stand un drone de surveillance. L'appareil embarque deux cameras, l'une offrant un zoom optique *30, l'autre thermique pour la surveillance nocturne. Les images traitées par un moteur d'intelligence artificielle, identifient les formes, détectent des plaques d'immatriculation... Pour gagner en robustesse, son fuselage est constitué d'une structure carbone monobloc. 6/ Le détecteur de snippers La PME française Cilas présente sur son stand un système de détection avant-tir de sniper basé sur l'effet «œil de chat». Le laser du dispositif balaie une zone à risque préalablement définie envoyant un rayon invisible susceptible d'être réfléchi par la lunette du fusil du sniper ou ses jumelles. Le système permet alors de localiser le tireur jusqu'à 1 km de distance en fonction de la taille de l'optique détectée. Il est déployable en une dizaine de minutes. 7/ Le dispositif anti-voiture bélier Stopper net un véhicule de 7,5 tonnes lancé à 80 km/heure. C'est la capacité du dispositif contre les voitures bélier développé par la société Kopp. Ce ralentisseur à double sens d'arrêt est composé de deux peignes métalliques biseautés capables de relever à 50 cm de hauteur en moins de 3 secondes. Cet obstacle escamotable nécessite très peu de génie civil, se fondant dans la chaussée à 50 cm de profondeur. 8/ Les smartphones grand public avec une sécurité militaire Ercom, société récemment rachetée par Thales, présente à Milipol des téléphones sécurisés permettant l'échange de données confidentielles gr'ce à une carte SIM capable de chiffrer les appels, les SMS, les data.... Basée sur des smartphones Samsung, l'offre vise les collaborateurs des gouvernements et des grands groupes pour protéger leurs données sensibles en mobilité, et en cas de perte, de vol et d'écoute. Ces appareils bénéficient de l'agrément Diffusion Restreinte de l'OTAN et l'ANSSI, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information. https://www.usinenouvelle.com/editorial/en-images-fusil-anti-drone-camionnette-espion-milipol-le-grand-bazar-de-la-securite.N906149

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