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March 7, 2024 | International, Land

Fincantieri in talks to buy Leonardo’s torpedo business, source says

For more than a decade Leonardo has searched on and off for a buyer or partner for its torpedo unit known as WASS.

https://www.defensenews.com/industry/2024/03/07/fincantieri-in-talks-to-buy-leonardos-torpedo-business-source-says/

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  • Le premier contrat de R&T du SCAF (avion de combat du futur) passe au grill du Bundestag

    February 12, 2020 | International, Aerospace

    Le premier contrat de R&T du SCAF (avion de combat du futur) passe au grill du Bundestag

    Par Michel Cabirol Le premier contrat de Recherche et Technologie du programme SCAF (Système de combat aérien du futur) doit être approuvé mercredi en principe par le Bundestag. Un contrat qui s'élève à 155 millions d'euros au total et financé à parité par la France et l'Allemagne. Le programme Système de combat d'avion du futur (SCAF) est sur la piste d'envol. Et c'est le Bundestag, le parlement allemand, qui a bizarrement (constitution allemande oblige) le "Go" entre ses mains pour faire décoller ce programme européen (Allemagne, France et Espagne) vital pour la souveraineté européenne. Traversé par les jeux de la politique intérieure allemande et ouvert aux influences industrielles ainsi qu'à une volonté propre de peser sur ces grands programmes franco-allemands, le Bundestag devra donc approuver ou pas mercredi le premier contrat de R&T (Recherche et technologie) du SCAF. Enfin, il ne faut pas non plus négliger le fait que le ministère de la Défense puisse jouer en sous-main avec le Parlement allemand en vue de négocier de nouvelles contreparties avec la France. Une chose est sure, le SCAF est prévu à l'ordre du jour du Bundestag de mercredi. C'est ce qui a été décidé mais le suspense est garanti jusqu'au tout dernier moment, le dossier pourrait être retiré par le gouvernement de l'ordre du jour si les recommandations du Parlement sur ce contrat donnaient lieu à de nouvelles surenchères. Il y a peu de temps encore, le gouvernement d'Angela Merkel était plutôt confiant sur ce calendrier. "Mais la prudence reste donc de mise", explique-t-on à Paris. Si tout a été négocié aux petits oignons par les étatiques (ministères des Armées et de la Défense) et les industriels, il est encore possible que des jeux politiques internes allemands parasitent le vote du contrat au Bundestag. "Mesdames et messieurs les parlementaires du Bundestag, votre vote dans quelques jours sur le démonstrateur du SCAF, aura une importance décisive, et enverra un signal politique fort, sur la volonté de nos deux pays de construire l'Europe de la défense", avait lancé à Strasbourg le 5 février la ministre des Armées, Florence Parly en conclusion de son discours devant l'Assemblée parlementaire franco-allemande. Un contrat signé en décembre en attente du Bundestag Le travail entre les étatiques français et allemands a été bien fait (tout est parfaitement équilibré dans le programme entre la France et l'Allemagne) et plutôt rapidement. D'autant que le contrat a été déjà signé en décembre par les industriels, qui se sont mis d'accord sur le devis. Un contrat qui sera mis en vigueur bien évidemment sous réserve d'acceptation du Bundestag. Quel est ce dossier qui va passer mercredi au grill des parlementaires allemands ? C'est un contrat de R&T de 155 millions d'euros (soit 148 millions pour la tranche ferme et 7 millions pour la tranche optionnelle), financé à parité par la France et l'Allemagne (77,5 millions d'euros chacun) et d'une durée de 18 mois. Ce contrat porte sur l'ensemble des cinq piliers du programme (avion, moteur, combat collaboratif connecté, drones et coordination du programme). Il doit faire travailler les industriels ensemble sur les technologies ainsi que sur leur maturation avec l'ambition de développer des démonstrateurs à l'horizon de 2026. Deux dossiers du SCAF (capteurs et furtivité) ont été remis à plus tard. Un premier contrat dit d'études de concept de 65 millions d'euros financé à parité avait signé en janvier 2019 avec une tranche ferme et une tranche optionnelle qui a été affermie fin octobre. Vers un contrat de démonstrateurs Ce premier contrat de R&T doit logiquement amener les industriels vers un deuxième contrat plus ambitieux, qui reste encore à définir par la France et l'Allemagne. Il doit être signé entre mi-21 et mi-22 et permettra avec des financements plus importants d'aller encore plus loin dans les travaux communs en vue de réaliser des démonstrateurs, dont notamment l'avion, le moteur, les drones et le combat collaboratif connecté. "Il y aura une stratégie complète de démonstration", souligne-t-on à La Tribune. Le montant de ce futur contrat devrait s'élever à plus de 1 milliard d'euros au moins. Tout dépendra si la phase de démonstration est saucissonnée en plusieurs tranches comme le voudrait le Bundestag afin de contrôler au plus serré le programme SCAF et donc peser sur le discussions entre la France et l'Allemagne. Au total, l'Allemagne et la France devront mettre plusieurs milliards d'euros. Et là, le programme deviendra irréversible, ce qui affaiblira le pouvoir de nuisance du Bundestag. Mais d'ici là, la course de haies va se poursuivre pour les Français face aux Allemands, qui n'auront de cesse de vouloir se renforcer et acquérir des compétences qu'ils n'ont pas pour devenir la première industrie aérospatiale européenne. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-premier-contrat-de-r-t-du-scaf-avion-de-combat-du-futur-passe-au-grill-du-bundestag-839400.html

  • Army Reserve needs skilled soldiers to support major combat

    October 15, 2024 | International, Aerospace

    Army Reserve needs skilled soldiers to support major combat

    The Reserve is looking to direct commissions and better technology to help recruit and keep soldiers in uniform.

  • Navy Making Room for Railguns in Next Warship, But No Extra Investments

    August 30, 2018 | International, Naval

    Navy Making Room for Railguns in Next Warship, But No Extra Investments

    By: Megan Eckstein THE PENTAGON – The Navy's next large surface combatant will have all the space, weight and power margins the sea service could need now and into the future to accommodate new weapons in development – but the director of surface warfare said the Navy would not accelerate weapons development to get them ready in time to outfit the new ships. Rear Adm. Ron Boxall, OPNAV N96, spoke to USNI News on Aug. 28, in his first interview on the Future Surface Combatant program since its initial capabilities document was signed out by leadership. Noting that the next large surface combatant would pull from some of the advances made with the Zumwalt-class destroyers (DDG-1000) – including potentially its integrated power system that could easily support laser guns, an electromagnetic railgun, powerful radars and other power-hungry technologies – Boxall told USNI News that the new large surface combatant represented an opportunity to put these technologies into the surface fleet whereas the legacy Arleigh Burke-class destroyers simply do not have the power and cooling capacity to do so. “We're just excited that we think we do have something that is expandable, has SWaP-C (space, weight, power and cooling) for the future. I think all of us were kind of a little bit nervous about the DDG Flight III and whether we'll have long-term ability to put future energy weapons on there, or the power that we need for directed energy, lasers, things like that,” he said. But just because the new ship will be able to support energy weapons doesn't mean Boxall wants to accelerate energy weapons development to ensure they're ready to field on the first new ships. He said moving to the Future Surface Combatant in 2023 is an “aggressive timeline” and that at some point the Navy will have to “snap the chalk line and say, this is what you have that's good enough to go on there” – and if a technology isn't ready, it would wait for fielding in a later block buy of the ship. With the Navy already seeking a new hull to better support the Aegis Combat System and the AN/SPY-6(V) Air and Missile Defense radar – collectively called the DDG-51 Flight III capability – Boxall said he didn't want to force too many changes all at once. “So I'm inclined to say, as long as we build it modularly, we're going to make those assessments in stride” in terms of inserting in new weapons as they come through the development process, he said. “But I don't want to get too crazy about trying to accelerate new technology in the first of the class as we change hulls, which will hopefully be a hull that will be with us for a very long time.” Full article: https://news.usni.org/2018/08/29/navy-making-room-railguns-next-warship-no-extra-investments

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