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August 16, 2023 | International, Aerospace

Energy-saving airlift prototype to be built by JetZero for Air Force

JetZero and Northrop Grumman will ready a full-scale prototype for its first flight in 2027.

https://www.defensenews.com/news/your-air-force/2023/08/16/energy-saving-airlift-prototype-to-be-built-by-jetzero-for-air-force/

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  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    October 25, 2019 | International, Aerospace

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Leonardo to strengthen security and rescue operations in Brazil with the supply of six AW119Kx helicopters to the Polícia Rodoviária Federal

    December 2, 2020 | International, Security

    Leonardo to strengthen security and rescue operations in Brazil with the supply of six AW119Kx helicopters to the Polícia Rodoviária Federal

    Rome, November 30, 2020 - Leonardo announced today that the Polícia Rodoviária Federal (PRF) of Brazil will introduce into service six AW119Kx single engine helicopters. The first aircraft is expected to be introduced in Brazil beginning next year, with the delivery of the remainder helicopters to the operator planned to be completed by mid-2021. The AW119Kxs will be operated by the Air Operations Division (DOA) from its bases in the five Regions of Brazil to perform a range of missions including transport, rescue, emergency medical service, firefighting, surveillance and law enforcement. The selection of the AW119Kx by the PRF was made following a rigorous assessment of technical capabilities to best meet the law enforcement agency's needs. The handover of these helicopters will further expand the fleet of Leonardo helicopters used by law enforcement, rescue and public service operators across Brazil which already includes the AW119 single engine type in addition to the AW109 light twin and AW139 intermediate twin models. The helicopters will feature an advanced customized configuration including, among others, a Garmin G1000NXi glass cockpit, an infrared capable electro-optics system, rescue hoist, cargo hook, bambi bucket to counter fires, rappelling kit on both sides for special forces operations, advanced communication systems. To date there are over 190 Leonardo helicopters of various types operating in Brazil performing many roles including: corporate/private transport, law enforcement, public services, offshore transport, and naval applications. As the success of Leonardo's product grows further, the Company is committed to further strengthening its existing level of localized services with the establishment of a new regional support centre, run by Leonardo do Brasil, in Itapevi, 30 km from São Paulo whose groundbreaking was celebrated in February. The new support centre will expand the services already provided by the existing facility headquartered in São Paulo. Leonardo is committed to serving and protecting communities around the world, contributing to their sustainable growth by leading in next generation technologies. Partnering with Governments, private organizations and industries for the best security and safety capabilities is a cornerstone of Leonardo's Be Tomorrow 2030 Strategic Plan. Note to editors on the AW119Kx helicopter The AW119Kx is the best in class single engine helicopter today available in the market, featuring a state-of-the-art avionics system for enhanced situational awareness, mission effectiveness and safety. The AW119Kx has a large cabin which is able to accommodate up to six passengers and redundancy of all critical systems that are typically available on twin engine aircraft, ensuring outstanding reliability and safety. The AW119Kx is perfectly suited to perform many roles including EMS, law enforcement, utility, fire-fighting, passenger transport, training and government/military duties. Over 350 AW119 helicopters have been ordered by over 130 customers in 40 countries. A number of law enforcement, public service agencies or armed forces around the world have chosen or are already using the AW119 in Brazil, USA, Chile, Mexico, Ecuador, Portugal, Finland, Latvia to name a few. A variant of the AW119 was selected by the United States Navy in January to train the country's next-generation of naval aviators. View source version on Leonardo: https://www.leonardocompany.com/en/press-release-detail/-/detail/30-11-2020-leonardo-to-strengthen-security-and-rescue-operations-in-brazil-with-the-supply-of-six-aw119kx-helicopters-to-the-policia-rodoviaria-federa

  • UK grows national F-35 support with LANCE contract

    January 15, 2021 | International, Aerospace

    UK grows national F-35 support with LANCE contract

    by Gareth Jennings The United Kingdom is growing the level of organic sustainment and support it is able to provide for its fleet of Lockheed Martin F-35B Lightning combat aircraft, with the GBP76 million (USD101 million) Lightning Air System National Availability Enterprise (LANCE) contract. Announced on 14 January, the Project LANCE award signed by Lockheed Martin and the F-35 Joint Program Office (JPO) will, according to the Royal Air Force (RAF), provide additional expertise on aircraft maintenance, bespoke UK training courses for pilots, groundcrew and engineers, and logistical and technical support for the fleet over the next two years. “Based at RAF Marham, home of the UK Lightning Force, the investment reflects the increasing size of the UK's F-35 fleet and will create and secure 172 jobs mainly at the Norfolk base,” the RAF said. “The contract will provide support for 25 months, with an option for a further three months. The majority of the work will be carried out by subcontractor BAE Systems.” As noted in the announcement, the contract will deliver additional personnel expertise at the existing Maintenance & Finishing Facility, where the aircraft are maintained; the Integrated Training Centre, where pilots, ground crew and engineers are trained with bespoke UK courses; and the Lightning Operations Centre, a key logistics and support hub for the Lightning Force. https://www.janes.com/defence-news/news-detail/uk-grows-national-f-35-support-with-lance-contract

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