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June 17, 2019 | Local, Aerospace, Security, Other Defence

Cybersecurity from space: the Government of Canada invests in quantum technology

Canadian Space Agency

LONGUEUIL, QC, June 14, 2019 /CNW Telbec/ - Our digital economy depends on keeping data safe from hackers. Cybersecurity is a priority for the Government of Canada. The Canadian Space Agency's Quantum EncrYption and Science Satellite (QEYSSat) mission will test quantum technology that protects communications in space.

The Canadian Space Agency (CSA) is awarding a contract worth $30 million to Honeywell for the design and implementation phases of the QEYSSat mission.

Current encryption methods are expected to be rendered obsolete within the next decade by the exceptional processing power of quantum computers. Slated for launch in 2022, QEYSSat will demonstrate quantum key distribution (QKD) technology in space. This emerging encryption technology will offer Canada a new, more effective method of securing the transfer of information.

Under this contract, Honeywell will build, test, deliver, provide training for and commission the QEYSSat satellite, which will create a link between ground and space to transmit encryption keys. The work is expected to extend until the end of 2022.

The QEYSSat mission is the culmination of a series of research and technology development activities undertaken by the Institute for Quantum Computing, with support from the Government of Canada. It will bring Canada a step closer to an operational quantum communications service from space, and will advance technology to help meet Canada's cybersecurity priorities.

The lessons learned from the QEYSSat mission will be applied to develop future operational systems for government and provide safer, more secure access to services for Canadians. Commercial applications will include enhanced security for internet-based activities, as well as daily financial transactions such as ATM banking.

In addition to the safety and security principle of Canada's Digital Charter, this initiative aligns with the Government of Canada's Innovation and Skills Planand the new Space Strategy for Canada through enabling future secure communications, as well as enhancing security and sovereignty.

Quote

"The QEYSSat mission is another step forward in our government's plan to foster a Canada where citizens have confidence that their data is safe and privacy is respected. In doing so, the development of these new technologies will also bring tremendous potential to transform markets and build a stronger economy that works for everyone."

The Honourable Navdeep Bains, Minister of Innovation, Science and Economic Development

Quick facts

  • Quantum computers will be millions of times faster than any conventional computer, which means that they will be able to decipher passwords, personal identification numbers and other current safeguards quickly, putting confidential and personal information at risk.

  • Current quantum encryption technology (QKD), relies on ground fibre-optic cables and is currently limited to a 200-kilometre distance. QEYSSat will seek to demonstrate QKD between a satellite and a ground network as a way to overcome the distance limits.

  • Through testing and demonstration of the QKD in space, the CSA will provide a government-owned, space-based platform for federal stakeholders and Canada's scientific community.

  • Budget 2017 provided $80.9 million to the Canadian Space Agency to support new projects and utilize Canadian innovations in space including the Quantum Encryption and Science Satellite (QEYSSat) mission. This mission will support emerging Canadian capabilities in the area of quantum key distribution, which has the potential to support secure communications through unbreakable encryption codes.

  • The contract amount ($30 million) excludes taxes.

https://www.newswire.ca/news-releases/cybersecurity-from-space-the-government-of-canada-invests-in-quantum-technology-896853258.html

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  • Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    August 27, 2020 | Local, Aerospace

    Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    OPINION / L'avion qui doit enfin remplacer nos CF-18 devrait être choisi dans les prochaines semaines. Débuté en 1997 (!), ce processus devrait permettre à nos Forces aériennes de recevoir leurs premiers nouveaux appareils à partir de 2025. Trois aéronefs sont en lice : le F-35 A de Lockheed-Martin, le F-18 E de Boeing, dit le Super Hornet, et le JAS 39 de SAAB, dit le Gripen. Mais comment les départager ? Tout d'abord, rappelons que chacun de ces trois appareils répond aux exigences de nos Forces aériennes. Le gouvernement évalue les trois possibilités selon les critères suivants : 60 % pour les performances/caractéristiques techniques des avions, 20 % pour les coûts et 20 % pour les retombées économiques au Canada. En ce qui a trait aux performances/caractéristiques, le F-35 est le seul des trois qui soit « furtif », c'est-à-dire qu'il est pratiquement invisible pour les radars ennemis. Par contre, son rayon d'action sur réservoirs intérieurs est limité et avec des réservoirs extérieurs, il perd beaucoup de sa furtivité. Étant l'appareil le plus récent, c'est celui qui dispose des systèmes électroniques les plus modernes. En fait, la principale faiblesse du F-35 réside dans le fait qu'il s'agit d'un avion extrêmement capricieux, qui est affecté par un nombre incroyable de problèmes techniques, dont plusieurs sont toujours non résolus à ce jour. Il en résulte qu'en moyenne, au moins 50 % des F-35 livrés ne peuvent voler, étant en révision/réparation. Ce taux de non-disponibilité est l'un des plus élevés de tous les avions militaires existants et on questionne fortement la capacité réelle de cet avion à livrer ses performances théoriques. Un bon exemple de cela est que, lors du dernier spectacle aérien de Bagotville, un des deux F-35 américains (qui n'ont pourtant présenté que deux courtes démonstrations de 15 minutes) est tombé... en panne ! Au niveau des performances/caractéristiques, le Super Hornet est supérieur à nos CF-18 actuels, mais inférieur au Gripen, qui est plus fiable que les deux autres. Cet appareil est aussi le plus rapide des trois, le plus maniable, celui qui a le meilleur rayon d'action et est le meilleur en termes de combat aérien. Par contre, la capacité du Gripen d'opérer avec les autres avions américains est questionnée. Pourtant, cet avion effectue régulièrement des missions conjointes avec ceux des autres pays de l'OTAN et il a été déclaré admissible à tous les appels d'offres de remplacement des CF-18. De plus, comme son coût d'acquisition/utilisation est de loin le plus bas des trois avions en lice, cela permet d'envisager que même en y ajoutant des frais d'adaptation au système d'interopérabilité du NORAD, il demeurera bien plus abordable que les deux autres. Au niveau financier, voici le coût total, par heure de vol, des trois appareils en dollars canadiens : le F-35, 58 300 $, le Super Hornet, 17 800 $ et le Gripen, 10 500 $ (source Aviatia). L'avion suédois est donc près de six fois moins coûteux que le F-35... Au niveau des retombées économiques au pays, le Canada est déjà un « partenaire industriel » du programme F-35. Cela signifie que plusieurs entreprises canadiennes (et québécoises) sont qualifiées comme fournisseur, à raison d'environ 2,6 millions $ par appareil. Au total, il a été estimé que 325 emplois seront ainsi créés au Canada (soit 9500 personnes/années en 30 ans). Le ministère de la Défense du Canada a affirmé à plusieurs reprises que faire partie du programme industriel F-35 ne nous oblige pas à acquérir obligatoirement cet avion. Cependant, en termes de retombées économiques canadiennes, il est utile de rappeler que depuis 2009, le F-35 est considéré par les Américains comme un appareil à technologie « sensible ». Cela signifie qu'une bonne partie de l'entretien qui est actuellement réalisé par nos militaires à Bagotville et à Cold Lake, ainsi que par l'entreprise qui a pris la suite de Bombardier à Montréal pour les CF-18 actuels, sera réalisé aux États-Unis dans le cas du F-35. Environ 2500 militaires et civils sont actuellement employés au Canada à l'entretien des avions de chasse. Combien perdront leurs emplois, notamment ici dans la région, si le F-35 est choisi ? De plus, durant les 30 ou 40 ans où nous utiliserons le F-35, les Américains ne pourraient-ils par augmenter sensiblement ces coûts d'entretien une fois que nous serons dépendants d'eux ? Pour le Super Hornet, le même niveau de retombées économiques qu'avec l'actuel CF-18 est à prévoir, alors que le fabricant du Gripen a déjà annoncé que, contrairement au F-35 ou au Super Hornet, il s'engage à le produire dans une nouvelle usine au Canada. Bien que théoriquement supérieur, le F-35 est donc un choix prohibitif en termes de coûts et hasardeux au niveau de la fiabilité ou du nombre d'emplois en entretien qui seront perdus au Canada. Le Super Hornet est un choix performant, beaucoup moins cher et plus fiable que le F-35. Le Gripen est de loin l'avion qui répond le mieux à nos besoins, au moindre coût et avec la fiabilité maximale. En terminant, souvenons-nous que le Super Hornet est fabriqué par Boeing, la même compagnie qui a réussi à faire imposer des droits compensatoires de 219 % aux Série C de Bombardier destinées aux États-Unis. Cela a précipité la chute de la division aéronautique du fleuron québécois, tout en lui faisant perdre sept milliards $ (dont deux provenaient du gouvernement du Québec). Le Gripen de SAAB est d'origine européenne. Ne pas toujours être dépendant des Américains, ça aussi, c'est défendre la souveraineté du Canada! Roger Boivin Président de Groupe Performance Stratégique https://www.lequotidien.com/opinions/carrefour-des-lecteurs/remplacement-des-cf-18-une-occasion-deconomiser-et-de-repondre-aux-americains-7015f0786a4fb446a03530adab548da5

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    July 6, 2021 | Local, Aerospace, Security

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    A defence department project to extend the life of the air force's search and rescue helicopters has hit a major snag, forcing senior officials to go back to the drawing board.

  • The decline of Canada’s defence aviation industry

    January 5, 2021 | Local, Aerospace

    The decline of Canada’s defence aviation industry

    By RICHARD SHIMOOKA If the government is serious in its desire to sustain the aerospace, and defence aerospace industry, it must do so through a well-reasoned and resourced strategy. Of all sectors, aerospace has been among the hardest hit in the global economy to date. This not only includes airlines, but manufacturers and maintainers—with decreased orders and reductions in maintenance, repair, and overhaul work due to reductions in service, which has knock-on effects for the rest of the economy. Aerospace is arguably among the most vibrant industrial sectors in the Canadian economy—with high levels of R&D spending and export revenues. Until recently, Canada was a top-five civil aerospace producer internationally, though its position has slid in the past several years. https://www.hilltimes.com/2020/12/30/the-decline-of-canadas-defence-aviation-industry/277088

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