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July 7, 2024 | International, Aerospace

Corps reactivates East Coast helicopter squadron it closed in 2022

The Marine Corps shut down the squadron in 2022 as part of its overall force redesign.

https://www.defensenews.com/news/your-marine-corps/2024/07/05/corps-reactivates-east-coast-helicopter-squadron-it-closed-in-2022/

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  • Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    March 27, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    Par Michel Cabirol Comment et pourquoi l'organisateur d'Eurosatory ont pris la décision d'annuler l'édition 2020 du plus grand salon d'armements terrestres au monde. Voici les coulisses de cette décision. C'est bien la mort dans l''me que le Coges a dû annuler l'édition 2020 d'Eurosatory, le plus grand salon international de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres. Car jusqu'à peu la ligne tenue par l'organisateur d'Eurosatory était le déroulement normal du salon, qui aurait été "à l'équilibre" en dépit de quelques annulations d'exposants et de réduction de la voilure (annulation des démonstrations dynamiques...). Toutefois, cette position "n'est plus tenable", estime le Coges dans une note datée du 23 mars que La Tribune s'est procurée. Et de conclure qu'il recommande au bureau exécutif du GICAT l'annulation d'Eurosatory 2020 sans report du salon. Au final, il y avait plus de risques que d'avantages à maintenir le salon. Son annulation ne devrait pas coûter de l'argent au Coges. Ce denrier a dépensé au 24 mars près de 11 millions d'euros dans la préparation du salon. L'organisateur "fait tout depuis un mois pour différer ses engagements de dépense et a cessé tout engagement depuis le passage au stade 3", explique-t-il dans cette note. Il a également souscrit avec une grande sagesse en décembre 2019 une assurance annulation du salon comprenant une extension "maladies infectieuses", à concurrence de 13 millions d'euros sur un budget de dépense estimé à 20,6 millions. Au 30 avril, les prévisions d'engagement pour la préparation du salon doivent d'élever à 14,3 millions. Cela montre "bien tout l'intérêt d'annuler aujourd'hui", estime le Coges, qui devrait s'en sortir relativement bien au contraire du GICAT, qui ne pourra pas percevoir de dividendes. Les raisons de l'annulation Pourquoi Eurosatory ne peut plus tenir ? Après plusieurs annulations de salons comme Dimdex au Qatar (16-18 mars), LAAD Security au Brésil (14-16 avril) et ILA Berlin (13-17 mai), les premières annulations de salons prévues en juin aux mêmes dates que celui d'Eurosatory ont commencé à mettre sous forte pression les organisateurs : Viva Technology (11-13 juin) et Interschutz (salon mondial des pompiers à Hanovre). Mais l'annulation du salon britannique de l'aéronautique de Farnborough, prévu pourtant du 20 au 24 juillet, a été le coup de gr'ce. Mais là n'est pas la seule raison. Au-delà des quelques annulations d'exposants déjà reçues, le Coges recevait de plus en plus d'appels de sociétés exposantes qui ne souhaitaient plus engager de frais de préparation de leur stand et qui s'interrogeaient sur la présence de visiteurs au salon. Par ailleurs, des sociétés étrangères, qui représentent 65% des exposants à Eurosatory, avaient déjà commencé à annuler le transit de leurs matériels. Par ailleurs, le Coges ne recevait plus de demande de badge de visiteurs depuis plusieurs jours. Et en même temps, les fournisseurs qui permettent de réaliser le salon sont "quasiment tous à l'arrêt et auront des difficultés à redémarrer fin avril pour un salon début juin", explique le Coges. Il faut à minima cinq semaines de montage. Enfin, et surtout, le ministère des Armées qui invite les hautes personnalités étrangères venant de tous les pays du monde (240 délégations en 2018 représentant près de 1.000 VIP), a d'autres chats à fouetter en ce moment avec la crise du Covid-19 et le lancement de l'opération Résilience. "Nous sommes en contact avec le ministère des armées qui ne pourra sans doute pas lancer ces invitations dans le contexte actuel", estime le Coges dans sa note. "La tenue du salon en juin 2020 n'est aujourd'hui plus envisageable", conclut-il. La piste d'un report a été écartée Le Coges a étudié un report du salon à la condition de retrouver la disponibilité des exposants et d'un parc d'exposition. Pas facile quand la majorité des exposants sont aussi présents sur d'autres salons de défense dans le monde et très peu sont capables de mener de front deux salons. Des études lancées par le Coges ont trouvé une seule et unique solution : reporter Eurosatory au parc des exposition du Bourget, pendant Euronaval (du 20 au 23 octobre 2020). Mais cette piste a été abandonnée. Car d'une part, les exposants américains qui participent au salon AUSA début octobre risque de faire défaut, selon le Coges. Surtout, une cinquantaine d'exposants, présents sur les deux salons (Euronaval et Eurosatory), ne réaliseront plus qu'un seul stand. Pas sûr que le Gican voyait cette opération d'un bon œil... D'autant que le Coges estime dans sa note que "sur le plan financier, les chiffres d'affaires des deux salons ne vont pas s'ajouter". https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-le-salon-de-defense-eurosatory-a-finalement-ete-annule-843347.html

  • Airbus Targets NRO Imagery Sales With New US Corporate Entity

    July 16, 2020 | International, Aerospace, C4ISR

    Airbus Targets NRO Imagery Sales With New US Corporate Entity

    "As you know, from Airbus we have a pedigree -- we're probably the leader in commercial SAR capabilities," says Chris Emerson, CEO of the new Airbus U.S. Space & Defense. By THERESA HITCHENSon July 15, 2020 at 6:14 PM WASHINGTON: Airbus is angling for a bigger share of the US space and intelligence market with a reorganization of its US operations and an independent board of directors — with its eye squarely on NRO's upcoming contest for commercial remote sensing providers. The new entity, called Airbus U.S. Space & Defense, is based near the Pentagon in Rosslyn, Va. It brings all of Airbus's US operations under one corporate hat. While Airbus, which is headquartered in the Netherlands, has long had a Special Security Agreement that allows it to sell products in the US, the move to appoint an independent board of US citizens to manage the business will give it increased opportunities to break into highly-classified programs, explained Chris Emerson, the newly appointed CEO, in a roll-out brief with reporters today. “The foundation to do business with the US is hinged around what we call a Special Security Agreement, because Airbus is based in in Europe. In order for us to establish the trust and bona fides to be able to work at every security level with the US government, we needed to set up an independent board of directors,” he said. James Darcey, an Airbus spokesperson, clarified in an email to Breaking D that while Airbus has had SSA agreements in the past, as U.S. Space & Defense is a new corporate entity, a new one was required. “So, while Airbus U.S. Space & Defense is not the first SSA company – and we've been selling to the U.S. government under SSA for some time – the new company is structured under a new board of directors, and is moving in new directions than previously,” he said. The independent board of directors is loaded with household names in the defense community: former National Geospatial-Intelligence Agency Director Letitia Long; former Bush DoD exec Frank Miller; retired Gen. Willy Shelton, former head of Air Force Space Command; DoD Defense Innovation Board member Mark Sirangelo; and retired Rear Adm. Kevin Sweeney, former chief of staff to DoD Secretary Jim Mattis. Further, the company just received a license from the Commerce Department that will allow it to sell high-resolution imagery and data analytics to the US government, as well as commercial customers, he said. (Commerce, via the National Oceanic and Atmospheric Administration, licenses all US commercial remote sensing operators.) While Emerson said the firm's primary focus is commercial users hungry for imagery, he said the firm also intends to respond to the NRO's request for proposals (RFP) to expand its pool of commercial suppliers of imagery, including advanced synthetic aperture radar (SAR) that has been traditionally supplied by the NRO's own highly-classified satellites. As Breaking D readers know, that RFP is expected to be released by the end of the year. It also is eyeing sales of data analyses to the National Geospatial-Intelligence Agency (NGA); not to mention technologies to NASA for its space exploration efforts. “As you know, from Airbus we have a pedigree — we're probably the leader in commercial SAR capabilities,” Emerson said. Airbus operates three X-band radar satellites, as well as two Pleiades and two Spot electro-optical satellites that utilize bandwidth into the near-infrared spectrum. Further, the company's UK unit won a design study contract from the British Ministry of Defense for an ultra-high resolution SAR constellation, under a program called Oberon. Airbus also is a 50 percent partner in OneWeb Satellite, based in Florida, that has been building satellites for OneWeb's planned mega-constellation of 650 Low Earth Orbit (LEO) satellites for Internet connectivity. The fate of that operation has been up in the air because of OneWeb's March bankruptcy. But Emerson said that production for OneWeb is restarting, following the July 3 bid by the UK government, in partnership with Indian firm Bharti Global Ltd, to acquire the firm — with each partner contributing $500 million in investment. Further, U.S. Airbus Space & Defense is working to bring third-party US customers for the broadband communications satellites by modifying them at the Florida plant, he said. “That is a critical asset for us that we are only going to continue to grow in the United States. You'll see more than just one product coming from our capabilities in the US and, we're committed and excited about the business that we have with with OneWeb Satellites,” he added. Under Emerson, the new company will have three sub-units: Airbus U.S. Connected Intelligence led by Didier Cormary; Airbus U.S. Space, led by Debra Facktor; and Airbus US Military Aircraft, led by Jose Antonio de la Fuente. https://breakingdefense.com/2020/07/airbus-targets-nro-imagery-sales-with-new-us-corporate-entity

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