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March 3, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

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  • USAF’s Future Fighter Plan May Limit Growth, Study Says

    October 30, 2019 | International, Aerospace

    USAF’s Future Fighter Plan May Limit Growth, Study Says

    By Jen DiMascio The U.S. Air Force's plan for acquiring future fighter aircraft may crimp the service's ability to grow in the future, a study of the USAF's force structure plans indicates. The study, “The Air Force of the Future,” compares the service's force structure plans during times of peak budgets—in fiscal 2020 and fiscal 1985. In fiscal 2020, a budget of $205 billion could support 5,300 aircraft. This is a little more than half of the number that the same amount of money, adjusted for inflation, could support in 1985—9,400. The same holds true for the number of personnel, the report says. It was released Oct. 29 by Todd Harrison, director of the Aerospace Security Project at the Center for Strategic and International Studies, which examined three different studies of the size of the future force. As part of the report, Harrison drills further into the Air Force's spending habits to find that one factor underlying the inability to afford a larger force is the increase over time in operation and maintenance costs. “The average O&M cost per plane is 74% higher today in real terms than in fiscal 2001,” the report says. Looking more closely at maintenance costs, he finds that the most expensive aircraft to operate are the smallest fleets, such as the Boeing E-4 Advanced Airborne Command Post aircraft, the Northrop Grumman E-8 Joint Surveillance Target Attack Radar System and Northrop's B-2 bomber. “This is because the fixed costs of operating the fleet are distributed across more aircraft in large fleets, which brings down the overall ownership cost per plane,” the report says. “The data suggest that the Air Force could reduce operating costs by divesting aircraft that are maintained in small numbers in the current inventory and consolidating the capabilities they provide into common multimission platforms.” Air Force acquisition chief Will Roper is recommending an acquisition strategy dubbed the “digital century series.” It aims to build new fighter aircraft designed to last 3,500 flight hours in batches of hundreds, rather than the current model of pursuing advanced technology for an aircraft type that will last for decades. But Harrison estimates that the operation and sustainment cost of sustaining five different aircraft types of 72 aircraft, or 360 total aircraft, would cost about the same as sustaining 1,800 aircraft of the same type. “That's something the Air Force has got to consider,” Harrison said. “With the digital century series approach, they may end up with a bunch of small fleets and may limit the ability of the Air Force to grow in the future.” https://aviationweek.com/defense/usaf-s-future-fighter-plan-may-limit-growth-study-says

  • L'achat d'un nouvel avion de combat, un choix militaire et diplomatique

    December 10, 2019 | International, Aerospace

    L'achat d'un nouvel avion de combat, un choix militaire et diplomatique

    Le Rafale, l'Eurofighter, le F-35A ou le F/A-18 Super Hornet: quel nouvel avion de combat la Suisse choisira-t-elle? La décision sera politique. Mais ce choix n'est pas qu'une question de technologie. L'enjeu est aussi diplomatique. Les 26 vieux Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée suisse arriveront à la fin de leur durée d'utilisation au plus tard vers 2030. Après le retrait du suédois Saab, constructeur du Gripen, il ne reste plus que quatre constructeurs en lice pour les remplacer: le français Dassault (Rafale), l'européen Airbus (Eurofighter) et les américains Boeing (F/A-18 Super Hornet) et Lockheed-Martin (F-35A). Les quatre jets ont été évalués entre avril et juin sur la base aérienne de Payerne (VD). Objectif: tester leurs capacités en conditions réelles. Au terme de l'appel d'offres, le Département fédéral de la défense effectuera une recommandation fondée sur l'efficacité opérationnelle, mais aussi sur d'autres critères comme les coûts d'achat et d'exploitation. La décision finale reviendra au Conseil fédéral. Quel avion pour quel partenaire? La compétition entre les quatre candidats se jouera sur les capacités de l'appareil mais aussi sur les contreparties industrielles - les affaires compensatoires - exigées par la Suisse. Moins visible, il existe aussi un autre enjeu, plus diplomatique. Pour le comprendre, la RTS s'est rendue dans la capitale française. Le ministère français des Armées, qui chapeaute l'offre pour le Rafale, lui a exceptionnellement ouvert ses portes. La France, cinquième puissance militaire mondiale, n'exporte pas ses armes comme elle exporte ses voitures, explique Thierry Carlier, chargé du dossier côté français. "Qu'un pays ami acquiert un système qui est le même que celui de la France permet de développer des partenariats très importants. C'est pour ça que notre offre dépasse largement la question du Rafale", affirme-t-il. Pour le directeur du développement international de la Direction générale de l'armement (DGA), cette notion de partenariat est importante. Acheter un avion français permettrait de créer des opportunités au niveau technologique, avec des échanges, mais également sur un plan plus opérationnel: réalisation d'exercices communs, utilisation par la Suisse de terrains d'entraînement français, développement des missions de police du ciel existantes, partage d'expériences, etc. "Europe de la défense" La France n'est pas la seule à vouloir séduire la Suisse avec un partenariat. C'est aussi le cas de l'Allemagne, qui vend l'Eurofighter, fabriqué par Airbus. Acheter cet avion, c'est s'allier davantage à l'Allemagne, comme le relevait ce printemps le lieutenant-colonel de l'armée de l'air allemande Ingo Stüer lors de la présentation de l'Eurofighter à Payerne. "Je pense que les défis pour les armées de l'air en Europe sont tous les mêmes, affirmait-il. Pour l'armée de l'air allemande, c'est important d'être interopérable avec nos alliés, afin d'être capable d'agir ensemble s'il le faut. C'est pourquoi nous cherchons une coopération très étroite avec l'armée de l'air suisse." La France et l'Allemagne, avec leurs offres, proposent aussi à la Suisse "l'Europe de la défense", une certaine vision d'une Europe géographique souveraine défendue par Emmanuel Macron. "Je pense qu'il y a une cohérence des Européens à s'équiper en européen. Je défends beaucoup cette idée", expliquait en juin dernier le président français à la RTS. L'argument économique Si cette "Europe de la défense" n'intéresse pas la Suisse, il reste les deux chasseurs américains. Lors des essais du F/A-18 Super Hornet et du F-35A à Payerne, l'ambassadeur des Etats-Unis en Suisse Edward McMullen adoptait d'ailleurs des arguments différents de ses concurrents européens. Un style diplomatique davantage porté sur les enjeux économiques. "Lorsqu'on parle de développement économique et d'opportunités de marchés, il s'agit d'un partenariat. Nous sommes conscients que la Suisse est neutre et il n'y a aucune alliance avec elle", explique-t-il. Un vote sur le principe, pas sur l'avion L'Europe ou les Etats-Unis? Pour quel partenariat? Le Conseil fédéral se réserve ce choix. Sur ce point, le peuple n'aura pas son mot à dire. Il ne votera que sur l'enveloppe de six milliards de francs destinée à l'acquisition des nouveaux avions de combat sans connaître le nom de son futur partenaire. La votation devrait intervenir à l'automne 2020. https://www.rts.ch/info/suisse/10922471-l-achat-d-un-nouvel-avion-de-combat-un-choix-militaire-et-diplomatique.html

  • House panel eyes billion-dollar Pentagon fund to push commercial tech

    June 23, 2023 | International, Other Defence

    House panel eyes billion-dollar Pentagon fund to push commercial tech

    The bill would establish a hedge portfolio of commercially available systems like low-cost drones, agile computing nodes and AI capabilities.

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