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March 23, 2022 | International, Land

Congress freezes $349 million for Army's next generation goggles

Asked about the cuts March 9, Doug Bush, the assistant secretary of the Army for acquisition, logistics and technology, said: '€œWe're working through that.'€

https://www.defensenews.com/battlefield-tech/it-networks/2022/03/21/congress-freezes-349-million-for-armys-next-generation-goggles/

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  • MDA director provides rough sketch of possible space-based missile defense sensor layer

    August 9, 2018 | International, Aerospace, C4ISR

    MDA director provides rough sketch of possible space-based missile defense sensor layer

    By: Jen Judson HUNTSVILLE, Ala. — Missile defense leaders within the Pentagon as well as Congress are pushing for more missile defense capability in space and the Missile Defense Agency Director Gen. Samuel Greaves laid out a rough idea of what a space-based missile defense sensor layercould look like. The missile defense community has been talking “seriously” about a sensor layer in space “actively over the last year,” Greaves said in an August 8 speech at the Space and Missile Defense Symposium. While many decisions still have to be made regarding requirements definitions, development paths and the acquisition process, “the key thing,” Greaves said, “is that there is serious consideration and support being given to the need to deploy these space sensors because we must do so.” Greaves laid out a very rough sketch of what the agency is looking for to build a robust sensor layer. First, the MDA might use something like a current system from the U.S. Air Force — the Overhead Persistent Infrared OPIR Global Scanning system — to alert and characterize activity in space, essentially “to be the bell ringer if something is going on,” Greaves said. Full Article: https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/smd/2018/08/08/mda-director-provides-rough-sketch-of-possible-space-based-missile-defense-sensor-layer/

  • Switzerland’s $6.5 billion fighter jet plan narrowly passes referendum

    September 29, 2020 | International, Aerospace

    Switzerland’s $6.5 billion fighter jet plan narrowly passes referendum

    Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — Swiss voters have approved a government plan to spend $6.5 billion on new fighter aircraft by a margin of 8,670 votes, with the two U.S. vendors in the race feeling the backlash of anti-Trump sentiments. Sunday's vote translates into a razor-thin majority of 50.1 percent, or 1,605,700 votes, in favor of the acquisition. There was 49.9 percent, or 1,597,030 votes, against. The voter turnout was 59.4 percent, according to figures published online Sunday evening by the Federal Chancellery. Defence Minister Viola Amherd told reporters she considers the result, however close, a mandate to continue ongoing evaluations of the Eurofighter, the Rafale, the F-18 Super Hornet and the F-35A. “The vote represents a long-term investment in the security of the Swiss population and infrastructure,” she said. Prodded by reporters about the the narrowness of the vote, she said: “In a democracy it's a given that we respect the majority decision.” The Swiss legislature last week approved the budget for the Air 2030 modernization program, which includes $6.5 billion for 30-40 new aircraft and $2 billion for a complementary ground-based, air defense system. Amherd stressed that the aircraft budget is to be seen as a ceiling. “If we can get suitable aircraft for less, we will certainly look at that,” she said. All vendors must meet a deadline of Nov. 18 to deliver final proposals. The government will then evaluate the bids throughout the first half of 2021 and make a decision on the aircraft type and missile defense hardware by June. Opponents of the plan could still derail it by seeking another referendum, a step that would require 100,000 signatures and could take years to unfold. The Swiss opposition was energized in part by voters' views about the government of U.S. President Donald Trump, according to local media reports. During the pre-referendum campaign, the two U.S. vendors in the running, Boeing and Lockheed Martin, saw themselves lumped in with his foreign policy approach, considered reckless by many in the wealthy European countries such as Switzerland. https://www.defensenews.com/global/europe/2020/09/28/switzerlands-65-billion-fighter-jet-plan-narrowly-passes-referendum/

  • Opinion | Un plan de relance pour la défense

    May 27, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Opinion | Un plan de relance pour la défense

    Le secteur de la défense pourra jouer un rôle important pour le rebond économique du pays, estime Christian de Boissieu. Il ne se délocalise pas. Il suscite la création d'emplois qualifiés. Un plan de relance dans la défense permettrait ainsi de renforcer la sécurité et la souveraineté, tout en stimulant l'investissement privé. Par Christian de Boissieu (professeur émérite à l'université Paris-I et vice-président du Cercle des économistes) Publié le 20 mai 2020 à 8h50Mis à jour le 20 mai 2020 à 11h03 La crise actuelle affecte l'économie française avec une ampleur inégalée depuis 1945 : la récession est à la fois imparable et profonde. Tous les secteurs sont touchés. L'ampleur du rebond dépendra, entre autres facteurs, de la capacité de l'Etat à accompagner la reprise, ce qui passe par un plan de relance aux deux niveaux, national et européen. L'enjeu est alors d'identifier les secteurs pertinents. Par hypothèse, le secteur de la défense est orienté vers la sécurité et la souveraineté, au moment même où ces valeurs s'affirment avec force. Il pourrait également jouer un rôle important pour relancer l'économie du pays. Le secteur industriel de la défense ne s'est pas délocalisé ; il n'a donc pas à se relocaliser comme d'autres activités stratégiques. Il crée un grand nombre d'emplois qualifiés. Les entreprises de défense occupent une place centrale dans le système national d'innovation. Elles réalisent, pour leurs activités civiles et de défense, 25 % de la R & D effectuée par les entreprises françaises. Elles ont une activité de dépôt de brevets importante, plusieurs entreprises de défense se classant chaque année dans le top 10 des brevets déposés à l'Inpi, et elles participent grandement à la structuration des réseaux de recherche. Efficience opérationnelle Un plan de relance incluant la défense aurait un impact économique notable, renforcé par la dualité militaire/civil des activités de défense. Les dépenses d'équipements militaires ou de R & D sont des dépenses d'investissement ; elles suscitent des retombées de nature à stimuler la productivité. Pour des raisons stratégiques, les chaînes de production et de recherche sont également plus nationales que dans le reste de l'économie. Les études montrent que ces spécificités se traduisent par un effet multiplicateur des dépenses publiques élevé (multiplicateur d'impact sur le PIB d'environ 2 au bout de dix ans). Elles indiquent également que, loin de les évincer, les dépenses d'équipement militaire ou de recherche dans la défense sont complémentaires des investissements privés. Financer la R & D défense permettrait ainsi de soutenir la recherche française à un moment où celle-ci va être fortement affectée. En outre, la relance par la défense non seulement ne dégrade pas la balance commerciale, à la différence de nombreux secteurs, mais, au contraire, l'améliore en stimulant la recherche, en augmentant l'efficacité des processus de production et en renforçant, aux yeux de l'extérieur, l'efficience opérationnelle du matériel militaire français. Par ailleurs, la base industrielle et technologique de défense a toujours eu une forte dimension locale en contribuant à l'aménagement du territoire et au maintien de l'activité dans de nombreuses zones industrielles sous-dotées. Cette proximité ne serait que renforcée par une relance passant aussi, et sans exclusivité, par la défense. Stimuler l'investissement privé Une telle relance doit d'abord être nationale, mais elle doit s'accompagner d'une initiative de l'Union européenne. C'est l'occasion unique de faire enfin décoller l'Europe de la défense. Ainsi, la proposition initiale d'un budget de 13 milliards d'euros pour le Fonds européen de défense pour les six prochaines années, soit moins de 1 % du budget de l'UE, doit être retenue au moment où les autres continents ne cessent d'augmenter leurs dépenses de défense. Un plan de relance dans la défense permettrait ainsi de renforcer la sécurité et la souveraineté tout en stimulant l'investissement privé, la recherche civile et en provoquant un impact économique important. Autant d'éléments nécessaires dans la période qui s'ouvre. Christian de Boissieu est président du Conseil scientifique, de la chaire Economie de défense, IHEDN et membre du Cercle des économistes. https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-un-plan-de-relance-pour-la-defense-1204431

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