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December 15, 2022 | International, Aerospace

Cloud-friendly Air Force has eyes on Pentagon’s JWCC contract

CTO Jay Bonci said U.S. defense leaders "have to think about cloud as being a part of a resilience baseline."

https://www.c4isrnet.com/smr/cloud/2022/12/15/cloud-friendly-air-force-has-eyes-on-pentagons-jwcc-contract/

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    February 16, 2022 | International, Aerospace

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    Epirus has taken its ground-based, high-power microwave capability to counter drone swarms and put it on a drone.

  • Le porte-avions «Charles-de-Gaulle» reprend la mer comme neuf

    January 7, 2019 | International, Aerospace, Naval

    Le porte-avions «Charles-de-Gaulle» reprend la mer comme neuf

    Nicolas Berrod Après deux années de rénovation, le « Charles-de-Gaulle », à nouveau opérationnel, s'apprête à reprendre la mer. Nous avons pu passer 48 heures à bord, au côté de l'équipage, actuellement en pleine phase d'entraînement. « Wave off ! » Le cri de l'officier résonne sur le pont d'envol pour signifier à tout le monde de... « dégager ». Bienvenue à bord du « Charles-de-Gaulle », le seul porte-avions de la marine française, qui vient de subir un lifting intégral d'une durée de deux ans, pour un coût total de 1,3Mds €. Avant de repartir en mission dans quelques mois, ce mastodonte de 42 000 t pour 261 m de long poursuit ses entraînements au large de Toulon, son port d'attache. « On était orphelins, le Charles-de-Gaulle nous a manqué », sourit Christophe, capitaine de frégate et chef des pilotes. Avec ses collègues, ils ont eu beau s'être entraînés sur piste classique et sur un porte-avions américain le temps de la rénovation, rien ne vaut à leurs yeux le prestige du bateau français, en service depuis 2001. Le « Charles-de-Gaulle » aura un successeur, a assuré Emmanuel Macron, lorsqu'il sera mis hors service vers 2040. Coût estimé : minimum 3 Mds€. Et durée de la construction : 15 ans... au moins ! Chiens jaunes Alors, en attendant, la France compte sur son unique porte-avions, véritable village flottant de 2000 habitants - un équipage de 17 à 55 ans, dont 140 officiers de pont, 300 techniciens, 33 cuisiniers, 2 boulangers, 17 % de femmes au total. Après 18 mois passés à la cale, il faut le remettre en service. D'où, en cette fin d'automne, un entraînement intensif en Méditerranée, à quelques dizaines de kilomètres des côtes françaises. Entre quatre et vingt Rafales (NDLR : avions de combat) sont catapultés trois fois par jour, décollant sur une piste d'à peine quelques dizaines de mètres. Au signal des « chiens jaunes », ces officiers de pont reconnaissables à leur gilet coloré, les avions atteignent en quelques secondes les 200 km/h. Ce lundi-là, une poignée de jeunes pilotes - entre 22 et 26 ans - effectuent leur baptême de vol sur le « Charles-de-Gaulle ». Pour pouvoir manœuvrer sur un porte-avions, il leur faut avoir un minimum de 100 heures de vol sur Rafale. « On porte une attention toute particulière à ces jeunes », glisse, l'œil rivé à la piste, Jean-Philippe, chef des « chiens jaunes ». À l'issue de leur vol - ce jour-là dans un ciel dégagé -, ces pilotes doivent accrocher l'un des trois brins d'arrêt situés sur la piste pour apponter. Ces épais c'bles qui stoppent le Rafale d'un coup sont indispensables sur une piste aussi courte. « C'est comme si on pilait sur autoroute », glisse un officier, qui scrute à l'horizon les premiers avions sur le retour. Paradoxalement, au moment de toucher le pont à 250 km/h, les pilotes doivent remettre les gaz à fond. Car, s'ils ratent les brins, il faut pouvoir redécoller à temps ! « On appelle ça un bolter, c'est un peu un bizutage pour les nouveaux », sourit l'expérimenté capitaine Christophe, 2000 heures de vol sur Rafale derrière lui. Article complet: http://www.leparisien.fr/politique/le-porte-avions-charles-de-gaulle-reprend-la-mer-comme-neuf-06-01-2019-7981617.php

  • Why Microsoft (Not Amazon) Could Win The Pentagon Contract

    January 8, 2019 | International, C4ISR

    Why Microsoft (Not Amazon) Could Win The Pentagon Contract

    Beth Kindig Summary The majority of forecasts favor Amazon for the Pentagon contract while overlooking the partnerships that MS has made with the DoD since Nadella became CEO in 2014. By the first quarter of 2019, Azure Government Secret will support "Secret U.S. classified data or Defense Information Systems Agency (DISA) level 6" which is on par with Amazon. The question that remains is if the Pentagon will want to use Amazon for cloud infrastructure while using Microsoft for operating systems and software. In 2019, the biggest cloud customer in the world will be the United States Department of Defense. The DoD is currently reviewing bids to award a single cloud provider a multi-year contract. Obviously, this isn't your typical enterprise IT department, transferring from on-premise servers, or a startup who needs the flexibility of cloud infrastructure to scale. The program is called the Joint Enterprise Defense Initiative, or JEDI, and its purpose is to move the DoD's massive computing systems into the cloud. This one contract is worth $10 billion, or 25% of the current market, which currently stands at $40 billion in annual revenue. Many prognosticators and reporters unanimously believe the contract will go to Amazon Web Services. This belief is so strong that vendors, such as Oracle and IBM, made a rebuttal to Congress, believing the terms of the proposal favored Amazon. However, the majority of these forecasts overlook Microsoft's strength in security and IT, and the alliances Microsoft has been forming with the DoD since Satya Nadella became CEO in 2014. Admittedly, guessing a company other than Amazon will win the Pentagon contract is a pure gamble, however, there are strong indicators for Microsoft that should not be overlooked. Background on JEDI Contract The Pentagon contract will move 3.4 million users and 4 million devices off private servers and into the cloud. The security risks of using servers outside the Pentagon's domain are offset by physically separated government regions and hybrid solutions that extend on-premise servers by adding the cloud where necessary. The benefits of artificial intelligence, deep learning, and other technologies like virtual reality are essential for modern warfare as real-time data will inform missions when soldiers are in the field and also help to prepare them for combat. https://seekingalpha.com/article/4231824-microsoft-amazon-win-pentagon-contract

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